Madagascar a voté un texte de loi pour imposer des peines de castration chirurgicale ou chimique aux violeurs de mineurs condamnés, une mesure jugée "cruelle, inhumaine et dégradante" par Amnesty International. Le texte a été adopté début février par l'Assemblée nationale, puis mercredi par le Sénat, et doit encore être validé par la Haute cour constitutionnelle (HCC), avant que le président Andry Rajoelina ne le promulgue...
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