Perversité, quand tu nous tiens…
Les aides aux entreprises naissent souvent d’une bonne intention mais finissent par ressembler à une vaste blague quand on réalise d’où elles viennent. En règle générale, les mauvais calculateurs de Bercy inventent une nouvelle taxe pour sauver… les hérissons en péril… Mais, cette “taxe piquante” devient un peu trop urticante quand on apprend que ces mêmes génies de la "phynance" ont commis une erreur de plus de 10 milliards d'euros sur le budget précédent, si l'on en croit l'ex-ministre de l'Économie Bruno Lemaire, grand expert en carabistouilles. Cela ne les a pas empêchés de dispenser grand train l'argent qu'il avaient prévu d'encaisser. Est-ce une réelle erreur de leur part ou une habitude ancrée dans les mécomptes publics ?
Et quand les entreprises râlent face à une taxe inappropriée, qui pénalise l'activité, ou la boute hors du territoire français, avec tout ce que cela implique en pertes de recettes, ces prestidigitateurs comptables, plutôt que d'annuler l'erreur de jugement, inventent une putative aide compensatoire pour lisser les effets indésirables de la “taxe piquante”.
C'est ainsi que chèques, aides et contre-aides, niches, privilèges, sinécures entre autres joyeusetés dignes des fermiers généraux d'ancien régime, tombent du ciel fiscal au mépris de toute rationalité, voire du plus simple bon sens. Bercy dépense ce que bon lui semble puis se penche miséricordieusement sur la question de savoir qui pourra bien payer à la fin de l'histoire… Cela crée, bien évidemment, du déficit à l'infini. Ce qui nous précipite dans la vrille de la dette, avec des frais financiers qui tendent aujourd'hui à devenir notre principale dépense.
Alors jusqu’où peut-on pousser la taxation ?...
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Quand l'étiquette ne colle plus
L'analyse est d'une simplicité enfantine, mais pourtant, personne ne veut l'admettre. Les électeurs de droite ou de gauche, c'est fini, révolu ! C’est ce qui crée le chaos inexplicable dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Les Français ne veulent plus être rangés dans des cases ! Ils aspirent à la tranquillité, à moins d'impôts, à des emplois pour toute la famille, à une sécurité qui permet de se balader sans crainte, à faire le boulot qui leur plaît, à être solidaires des plus démunis, à aider les personnes en difficulté tant qu’ils le peuvent… Réduire les aspirations des urnes à une orientation radicale, comme dire que les entrepreneurs sont forcément de droite et les ouvriers de gauche, c’est absurde. La majorité des électeurs sont de tous horizons ! L'entrepreneur est l’un des piliers sociaux les plus importants du pays, et l'ouvrier est sans doute le plus patriote. L'entente entre ces deux mondes existe, mais on préfère médiatiser les conflits plutôt que l'harmonie.
Les élus nationaux, qui se démènent comme ils peuvent pour respecter leurs promesses électorales, vivent encore dans un monde réactionnaire. Qui a demandé à un élu d’augmenter les impôts lors des dernières élections ? Personne...
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Le nouveau guide du bâtiment, de la construction et des travaux publics recense les entreprises de la Réunion. Plus de 3000 coordonnées des sociétés sont éditées (Téléphone, Mail, Site, Nom du dirigeant, Gsm…)... et bien d'autres informations utiles pour contacter les entreprises sérieuses. 160 pages au prix de 8 euros.
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Et si on baissait le SMIC ?
Ce qui est cher est rare ! C’est une évidence. Le prix limite en nombre l'accès aux produits et services… accessibles aux seules personnes qualifiées de "riches", des gens ayant les moyens, comme on dit.
Une agence de pub a développé une campagne sur ce thème, en montrant qu’une tranche de jambon, que chacun considère encore aujourd’hui comme accessible aux plus démunis, s'apparenterait à un achat de luxe. Si cette métaphore peut caricaturer un avenir économique en mode "décroissance", stigmatisant un pouvoir d’achat en perpétuel déclin, contrairement à l'inflation, elle induit aussi, en second niveau, la prescience d'un avenir où les présumés "riches" deviendraient l'exception.
Moins de "riches" ? La première solution pour contrôler "les riches" serait d’abaisser le seuil d'accès à la qualification de "riche" à 400.000 euros et plus par an, et d'en multiplier le nombre. Une première dévaluation du statut de "riche"… qui serait suivie d'autres, sans quoi, qui pourrait-on taxer ? Et quand bien même on nivellerait radicalement le seuil de richesse, est-ce que les smicards du futur deviendraient riches pour autant ?
Si l'on baissait le SMIC, les moins riches des riches seraient toujours taxés, mais on embaucherait plus facilement. Il en résulterait de facto une baisse des allocations chômage, moins de dépenses de l’État pour indemniser les chômeurs, moins de taxes… un surcroît de produits et services moins chers et du travail pour tous !...
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La privatisation du secteur public pour plus d’efficacité
En ces temps de difficultés économiques, pour nos finances publiques, nos acteurs politiques doivent d'urgence réfléchir à privatiser un maximum de services publics pour réaliser enfin, les économies nécessaires au redressement des comptes publics de la France.
Si vous souhaitez un exemple incontestable d’efficacité du service privé, il en est un qui a réglé bon nombre de problèmes administratifs. Le Greffe ! Souvenez-vous du temps, pas si lointain que ça, où obtenir un Kbis était long, très long ! La privatisation du service du Greffe des entreprises étant intervenue, le retard de traitement des dossiers accumulés depuis des années s'en est trouvé presque immédiatement résorbé ! Le constat d'une telle différence entre service public et service privé interpelle : pourquoi ne pas généraliser la mise en œuvre de services privatisés réactifs, efficaces, modernes… et moins coûteux ! L’économie aurait tellement à gagner en libérant des contraintes de sargasses paperassières, redoublées d'abysses numériques, des intervenants ayant l’énergie et même l’obligation d’atteindre des objectifs qu’aucun politique ne peut honnêtement attendre de féodalités administratives vouées à l'entretien de leurs prébendes et privilèges constitutifs de statuts avantageux financés sur le dos du privé, plutôt qu’à œuvrer pour l'intérêt général…
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L’Europe la seule chance pour la France
L’Union Européenne est une vraie chance, si ce n’est la seule, pour la France au niveau de son endettement. Imaginez que l’Union accepte de créer un pot commun des déficits ? Dans ce cas la France aura eu raison de dépenser de l’argent public à tour de bras, faisant du moindre quidam français, une âme endettée à hauteur de 45000 euros environ, dès sa naissance sur le territoire français.
Une chance ? Bien sûr ! Car l’UE serait donc dotée d’un seul compte public. Faut-il préciser que le compte de la France est l’un des plus déficitaires d’Europe ? Pourtant tous les pays européens subissent l’inflation et tous ont également souffert de la crise sanitaire. En temps de crise, les pays européens sont généralement solidaires. Mais à causes identiques, la France fait pourtant exception en matière d’endettement… quand il aurait été normal d’aboutir aux mêmes conséquences. On entrevoit une solution, peut-être le début de négociations avec la proposition de notre Président de la République, qui évoque le partage hypothétique de la dissuasion nucléaire française avec les nations membres de l’UE… Notre pays étant, je le rappelle, le seul État européen « doté » depuis le « Brexit »...
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Plus de chômeurs pour aller mieux
En France, les décisions politiques démontrent que l’on n’a pas assez de chômeurs. En obligeant les travailleurs à travailler moins, en sus les empêcher de dépenser leur argent, la France se dirige inévitablement vers un nouveau monde où le travail est malvenu nonobstant le besoin d’activité des Français.
Ainsi le dimanche, seuls les géants de la distribution alimentaire ont le droit de travailler mais interdiction aux commerçants d’ouvrir leur magasin dans les galeries. Imaginez-vous qu’en l’occurrence nous appliquons une loi datant de 1966… à l’instar de celle qui interdisait aux femmes le port du pantalon par les femmes (NDLA : abrogée en 2013 !). A quand l’abrogation de la loi désuète interdisant de travailler – le dimanche - afin que puisse s’exprimer librement la volonté d’entreprendre… Ce n’est pas comme si l’on manquait de protection sociale pour empêcher ces diables de patrons de faire travailler quand ils veulent leurs salariés. De nos jours, en France, le salarié est beaucoup plus protégé que l’entrepreneur qui en vient à être interdit de travail !
À ce rythme pouvons-nous imaginer un monde où le dimanche il n’y aura plus d’hôpitaux ouverts ? Où la gendarmerie et la police n’interviendront plus, quitte à installer, comme les stations-service, des guichets robotisés pour traiter les affaires courantes dominicales…
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L’entrepreneur, force vive, seul créateur de richesse
Les entrepreneurs sont seuls à créer véritablement de la richesse afi n de permettre à notre système administratif de régler ses dépenses. Pas de véritable vie économique pour un pays sans femmes et hommes de talent dont le travail, souvent fruit de leur passion, est la seule source financière fi able en faveur d’une croissance et de protection sociale. Pour autant, si extraordinaires soient-elles, ces personnes ne sont ni valorisées ni considérées pour leur implication de tous les instants… Pas le moins du monde. Et pourtant, elles donnent de leur temps aux dépens de leurs familles, sacrifient régulièrement weekend et jours fériés, se torturent les méninges à chaque décision pour savoir quelles seront les conséquences pour l’outil de travail, les salariés, sans parler des services à rendre aux clients, de la nécessaire réflexion pour innover, conquérir des marchés… Tout ce stress encaissé donne l’impression que l’entrepreneur détient une puissance qui lui permet de tout supporter. Néanmoins dès qu’un problème surgit, le voilà bien seul, sans soutien ni reconnaissance, pas de carte d’immunité, seule la certitude de sanctions inéluctables, fiscales, sociales, juridiques… Seuls survivent, et leurs entreprises avec, ceux qui ne craignent pas de recommencer, ceux qui trouvent une force renouvelée dans l’échec… Réussir après avoir résolu...
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Le cloisonnisme
Compartimenter les couleurs politiques trahit la volonté de cloisonner et bâillonner toute forme de pensée n'étant pas conforme à la vulgate propagée par l'élite aux manettes des institutions, dont le Conseil d’État. Cette juridiction suprême de l'ordre administratif semble gangrénée par le "cloisonnisme" et prétend ficher - politiquement - certains journalistes…
Quelle est dont cette façon de caractériser arbitrairement l'orientation politique présumée d'un journaliste professionnel ? Peut-on décemment imaginer qu’un journaliste soit à ce point "politisé" qu'il serait suspect de ne point rendre compte " objectivement" d’une actualité, quand le monde entier pourrait le démentir… Aujourd'hui il ne peut exister de censure, exception faite des censures volontaires, hors un univers totalitaire, à l'instar de la Chine communiste, la Corée du Nord, l'Iran, la Fédération de Russie entre autres États policiers. Alors l’attitude très "vichyste" du Conseil d’État français, qui prétend se mêler de la liberté d'expression et de la liberté de la presse, partant de la liberté de penser, tout simplement, traduit une tendance à l'excès de pouvoir, car enfin, prétendre ficher a priori les journalistes en fonction de leur "orthodoxie" politique, à savoir qu'il n'est de "bon" journaliste que de gauche, démontre une fâcheuse tendance à fouler aux pieds les valeurs de notre chère démocratie, sans parler de la République.
L’ARCOM, ou "Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique", un machin qui se présente comme...
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Vice non versa
Lorsqu’une décision d’un tribunal européen condamne, par exemple, une entreprise à verser des congés payés durant un arrêt maladie, l'effet est immédiat et montre sans aucune équivoque que l’administration française sait être réactive et obéissante face aux décisions sociales européennes.
Cela dépasse l’entendement ! Il existe une volonté farouche de la part de nos fonctionnaires très motivés dans ce gouvernement à vouloir appliquer les décisions européennes sur notre territoire dès lors qu’elles sont en faveur d’une entrée supplémentaire dans les caisses de l’État. Transférer les charges vers les entreprises sous couvert de décisions européennes fait immédiatement réagir l’ensemble des services administratifs pour une mise en œuvre rapide. On sent bien l’effervescence, les fourmis qui s’agitent, les abeilles qui se ruent sur le pot de miel pour mettre en place une mesure « obligatoire » lorsque celle-ci décharge un budget étatique. Cela pour démontrer que nous sommes européens, lorsque ça arrange le comptable public, quand le même comptable reste bien jacobin lorsque ça lui coûte au niveau social ou fiscal. Parce qu’à y bien regarder, les entreprises françaises appliquent plus de 400.000 normes européennes, et certaines sont bien sévère à l’exemple des agriculteurs concurrencés par des produits européens qui n’appliquent pas ces mêmes normes ! Quelques barrages plus tard, le miracle se produit, le gouvernement va abaisser les obligations contraignantes sur l’utilisation des pesticides autorisés sur les marchés européens. Et qu'importe si les abeilles en crèvent d'abondance…
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Ne plus subir l’histoire
Les responsables français, dirigeants de la nation, subissent l’histoire qui se déroule.
À une époque, pas si lointaine encore, la France écrivait son histoire et le monde réagissait face à ses choix, sa stratégie, son modernisme, son courage… Depuis quelques décennies, la France, en tant que « puissance », semble n’être plus qu’un souvenir. Elle subit, suit tant bien que mal, prétend jouer les arbitres faute d’être un acteur sur l’échiquier international. La France cache les atouts qui lui restent car elle a peur de se les faire voler, et chicane sur tout et rien, histoire de paraître….
Notre nation se meurt, son identité s’épuise, sa cohérence disparaît peu à peu. Résultat ? Nous avons trop de spécialistes. Tout le monde sait tout mieux que personne, et le « web » semble seul à pouvoir contrer certains arguments débiles… On ne respecte plus la Raison, la sagesse des érudits, des philosophes, les scientifiques. Le « net » pense pour nous. Et si l’Intelligence Artificielle, est un beau concept de science-fiction, sa réalité n’est que statistiques dévolues à la reproduction de ce qui a été et reproduction simulée par programmation. Tant que nous, humains, alimentons le web, pitance de tous les chat-machin-chose de la création, la machine reproduit...
Préserver le capital naturel de la grande île
Madagascar est un terreau propice au développement qui attend patiemment d'être stimulé et éveillé de sa léthargie. Un simple déclencheur pourrait suffire à libérer tout son potentiel. La Grande île dispose de tous les éléments nécessaires pour exprimer pleinement son potentiel économique : des terres arables, de l'eau abondante, des ressources minières, une biodiversité exceptionnelle, et une population jeune et dynamique. Pour les défenseurs du développement, Madagascar représente un vaste laboratoire où les opportunités sont nombreuses. Bien que le pays soit confronté à des défis tels que le manque d'infrastructures et la faiblesse du capital humain, son potentiel est à la mesure de ces défis. Le développement du pays peut sembler à la fois accessible et exigeant, car finalement, il reste encore tant à accomplir. Découvrez dans cette édition Mémento Spécial Madagascar les atouts de notre voisine qui vous donneront certainement un regard positif sur le devenir de cette grande île.
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L'amour exaltant
Il n'y a que l’amour… pour exalter nos envies, nos désirs, nos plaisirs, assouvir enfin notre soif de vivre. Il ne tient qu’à nous de transmuter nos relations, notre entourage, notre environnement, en paradis, pour jouir, autant que possible, des créations, qui éclairent ce bonheur auquel nous aspirons, et que nous pouvons susciter spontanément, car nous disposons de la capacité innée de percevoir la fulgurante des instants privilégiés....
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- La pub, à quoi ça sert ?,
- Les anti-pub sont-ils en croissance ?,
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- L'art de communiquer : Découvrez les écoles pour devenir un professionnel de la communication,
- Les erreurs à surtout éviter dans votre communication,
- Quel est le rôle d'une agence conseil en création à La Réunion ?...
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L’arnaque du PGE
Vous souvenez-vous que le gouvernement a décidé d’employer le fameux PGE (Prêt Garantie par l’État), lors de la crise Covid… Aujourd’hui les entreprises doivent le rembourser. Est-ce normal ?
L’enveloppe dénommée PGE créée pour soutenir financièrement les entreprises durant la crise covid est-elle vraiment ce qu’elle prétend ? Un soutien financier pour les entreprises qui traversaient à l’époque une crise. De l’argent fourni par un gouvernement qui prend ses responsabilités pour aider, sauver, sauvegarder les entreprises face à la crise Covid… Tout cela était splendide, le gouvernement a pris des décisions extraordinaires, libéré un Niagara financier avec si peu de restrictions… Certains en ont profité pour investir, d’autres pour s’offrir du confort moral… c’était un eldorado, de l’argent assez facile à obtenir pour les victimes affectées par la crise Covid. Oui, mais… en réalité ce n’est pas le Covid à proprement parler qui a causé un tort économique catastrophique à l’activité de nos entreprises. Ce n’est pas le Covid qui a désorganisé le monde du travail et plombé les entrepreneurs… Ce sont toutes les décisions administratives que le gouvernement a prises. Fermeture des restaurants, confinements, interdiction de se déplacer à plus de 1 km de chez soi, interdiction de voyager, de recevoir du public, d’inviter de la famille, de visiter nos aînés dans les EHPAD…
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Qui dirige l’incompétence ?
Pour gérer de l’argent, une certaine compétence est nécessaire. Quand les ressources sont illimitées savoir dépenser est à la portée de tous. Mais lorsqu’il faut faire des choix ce n’est plus du tout la même histoire. Qui dépense sans limite ? Personne, même pas les milliardaires… car s'ils le sont, c’est précisément parce qu’ils ont fait les bons choix dans leurs dépenses.
L'aptitude à savoir dépenser diffère selon que vous êtes dans le privé ou le public. Dans le premier cas, vous devez obligatoirement faire les bons choix, sinon la sentence est immédiate, sans appel : la faillite ! Et personne ne sera présent pour vous aider, bien au contraire. Dans le public c’est moins stressant parce qu’il n’existe pas tellement de conséquences personnelles face à un résultat désastreux pour les finances publiques parce que personne ne sait vraiment qui dépense et de quel argent il s’agit. C’est tellement le bazar que l’urgence n’est jamais de savoir d’où va provenir l’argent qui sera dépensé… car en pratique, cet argent est dépensé avant même de correspondre au moindre crédit… voilà d’où proviennent les déficits perpétuels. Cette logique financière, dans le public, n’est pas celle du « bon père de famille », l’argent n’étant à personne et à tout le monde à la fois, les organismes publics pensent qu’ils peuvent en disposer librement, ou presque, et dépensent sans accorder aux investissements publics la même rigueur financière qu'ils attachent à leurs affaires personnelles.
Sous prétexte de promesses de campagne, des priorités sont financées alors qu’elles ne sont pas essentielles à la vie des citoyens...
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Le privilège de la fiscalité
Les politiques prétendent se refuser à augmenter les impôts, mais par le jeu d’astuces tordues, sous forme de taxes, impositions nouvelles, contributions obligatoires toutes plus « solidaires » les unes que les autres, il apparaît que pression et charges fiscales ne cessent de s’alourdir aux dépens de nos capacités à seulement les acquitter.
L’un des moyens mis en œuvre consiste à baisser les seuils, mais pas les taux d’imposition. Mécaniquement, cela augmente le nombre d’impôts ainsi que les montants puisqu’il existe un élargissement de l’assiette imposable qui, de fait, engendre collectes et rentrées supplémentaires ; il s’agit donc bien d’une augmentation d’impôt. Autre méthode, faire croire que le taux n’augmente pas, car il suit l’inflation. Sauf que dans le même temps, les cotisations sur les revenus, eux, augmentent mécaniquement, mise à part l’exception permanente de la rente des politiques ; on se souvient encore de l’augmentation en misouk que se sont octroyée les députés et sénateurs. La disette concerne rarement les acteurs de la législation budgétaire. Encore une astuce bien pensée par ces calculateurs bien entraînés, créer de faux budgets pour avoir virtuellement plus d’argent qu’ils n’ont en réalité en caisse. Lorsqu’on vous bassine à coups d’enveloppes, de budgets ou de coûts pour l’État… la plupart du temps...
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L’apocalypse de l’irraisonnable
Le fait de voir un avenir très pessimiste dans tous les domaines suscite, surtout chez les jeunes générations, un état d’esprit irraisonnable.
Nous avons tous un objectif dans la vie. Celui des années 60 était la liberté d’expression, celui des années 70 la liberté sexuelle, celui des années 80 d’être le meilleur dans sa profession, celui des années 90 devenir un génie à force de travail… puis, dans les années 2000, le "trauma" du 11 septembre, l'attentat qui a détruit le symbole du World Trade Center et ses deux tours new-yorkaises, semble avoir imposé l'idée que la vie ne s’arrête pas à la réussite professionnelle et que le travail n’est plus une fin en soi. Cette génération est aujourd’hui majeure et son adolescence a été "bercée" par le terrorisme, induisant un tropisme d'ultra radicalisation générale, quels que soient les débats, avec notamment des poussées paroxystiques dès lors qu'il s'agissait du climat, du progrès, des sciences… Cette même génération pour son entrée dans le monde du travail, a été percutée par la crise Covid19, le "virus chinois" comme disent les Américains, qui a conduit les autorités, dépassées, à réactualiser à l'échelle de pays entiers, des procédures médiévales de quarantaine plus carcérales que sanitaires, au mépris du consentement des citoyens, des individus, qui ont découvert que l'on pouvait les embastiller, les priver de leur liberté de déplacement, sous prétexte de garantir si ce n'est leur bonheur, du moins leur "santé". Et pour couronner le tout, les écologistes décroissants et millénaristes, ont réussi à inséminer dans les esprits une vulgate fataliste selon laquelle l’avenir ne serait qu'une concentration de problèmes créé par les "boomers", parents, grands-parents entre autres aïeux, coupables d'avoir renié le paradis originel, expulsant l'humanité de l'âge d'or, au grand dam des archéo-écolos, damnés quand ils étaient purs et parfaits, évidemment, à l'instar de Savonarole et de tous les fanatiques dont on a retenu le nom...
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Les bons élèves ne sont pas récompensés
Dans le monde de l’entreprise du secteur privé si d'aucuns souhaitent créer leur activité contribuant à moderniser la vie communautaire, ils réaliseront rapidement qu’ils sont seuls à s'en soucier. N’attendez surtout pas du monde politique, et encore moins syndical, des félicitations officielles. Tout au plus vous dira-t-on, entre deux portes, "C’est bien ce que vous faites…" voire, "Vous êtes courageux", ou, "Vos idées sont excellentes"… Autant de compliments dont la signification implicite est synonyme de "Venez me voir si vous n'avez besoin de rien…". Car au fond, pour les uns et les autres, votre activité, votre existence même importent peu, ils n'ont pas besoin de vous… Vous serez donc...
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Théologie fiscale
L’avenir fiscal français sera-t-il basé sur les textes sacralisés de l’Europe ?
La tradition française veut que le système taxe tant qu’il peut ceux qui peuvent payer. Cette lourdeur psychologique est le principal motif de démotivation morale des entrepreneurs. Ces derniers sont à ce point assaillis de prélèvements obligatoires accompagnés par un tel fatras d'artefacts fiscaux, que même les comptables les plus férus se trouvent incapables de prêcher la légitimité du bien-fondé financier. Pour éviter les sanctions et amendes pour non-déclaration, ou retard de déclaration par exemple, les entreprises payent aveuglément tout de suite, puis régularisent à rebours le manque à gagner de leur situation.
Débuter dans la vie active, pour une petite entreprise, commence par la peur bleue de devoir payer ce que l’on n’a pas encore gagné, ce qui tétanise nombre de bonnes volontés. Si encore l’entrepreneur recevait des explications concrètes et claires quant à l’utilité des orientations budgétaires dont découlent les multiples taxes qu'il acquitte, cela pourrait éventuellement provoquer chez lui une certaine satisfaction dans sa contribution à la construction d'un monde meilleur...
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Le futur retour dans le passé
L’objectif des réformes, sans cesse promis, est d’"équilibrer" voire "ne pas mettre en péril" ou encore "protéger" un système qui doit être revu et corrigé pour que l’économie de la France soit sauve. Ça, c'est ce que nous assènent les stratèges plus avides de pouvoir que de résultats.
Lorsque que nous lisons les chiffres de la dette française, il est à se demander si toutes les réformes sont bonnes, mauvaises ou mieux efficaces ? Franchement, les chiffres sont souvent mauvais, voire très mauvais. Balance commerciale et sécurité sociale déficitaires, la justice en manque de moyens, l’armée avec du matériel vieillissant devient une priorité d’investissement… la liste est tellement longue que je vous en passe les détails. Ce n’est pas dans l’économie que nous trouverons une bonne nouvelle pécuniaire. C’est à se demander si la "réformite" ne serait pas à l’origine de tous ces maux économiques. Serait-ce que tout ce que les responsables nationaux ont mis en place n’est qu’une illusion pour justifier leur rémunération ou assouvir leur soif de pouvoir sur les gens et collectivités locales subissant leur diktats hors sol...
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Un roulement financier non déclaré
Franchement, mis à part être focalisé sur l’âge de départ à la retraite passant de 62 à 64 ans, que retient-on de cette réforme ?
La pédagogie si importante pour ce gouvernement a produit un retour de flamme inattendu qui a mis le feu aux poudres des syndicats. Ces derniers, toujours en recherche de motifs pour descendre dans la rue, ont trouvé dans la mise à jour du système des retraites français une nouvelle occasion de se faire remarquer. Ne soyez pas dupes, les syndicalistes n’ont qu’un pouvoir de nuisance et ne font jamais de publicité sur un quelconque résultat positif de leurs actions dans les entreprises. Pourquoi ? Peut-être parce que les résultats ne sont pas à la hauteur de leurs espérances ou que sais-je encore. Mais croyez-moi, lorsque qu’un syndicat peut se vanter d’avoir obtenu quelque chose, il ne se prive pas d’en faire la promotion. Quoi qu’il en soit, actuellement, les chefs d’entreprise et leurs collaborateurs assistent à un combat de coqs...
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Un manque d’Agri… Culture
L’agriculture est la source de toutes richesses. L’humain, de tout temps, transforme son milieu naturel pour produire des végétaux, élever des animaux nécessaires aux besoins naturels de son existence. Cette activité est la source originelle de l’économie sans laquelle aucun pays ne peut prospérer.
L’agriculture française est l’une des plus efficaces et saines du monde. Le sol pour l’exploiter ne peut être délocalisé, et la main d’œuvre est en conséquent enracinée sur le terroir français. Quant à la consommation, le marché est lui aussi largement intérieur. Néanmoins, la souveraineté alimentaire française est par trop soumise aux décisions internationales. Il est pourtant question du "droit des peuples à une alimentation saine et culturellement appropriée produite avec des méthodes durables", lequel droit des peuples s'exprimant par leur liberté à définir "leurs propres systèmes agricoles et alimentaires". Ce droit est-il bafoué par des logiques de peur de nos représentants politiques ? Les marchés sont-ils si puissants qu’ils nous dicteront bientôt ce que l’on aura le droit de manger ? Alors pourquoi, si toute la chaîne de production est française, notre politique agricole dépend-elle de normes étrangères… Pourquoi la valorisation du savoir-faire français profite-t-elle plus à l’importation de produits alimentaires internationaux bas de gamme qu'à celle de productions locales voire saisonnières ?
Lorsqu’un problème se présente, les responsables politiques se défaussent immédiatement...
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L’unanimité a-t-elle un jour existé ?
Pour appliquer des décisions importantes en faveur d’une vie communautaire il faut généralement une adhésion collective. La logique démocratique veut que les minorités se soumettent aux lois de la majorité. Ainsi, nous avons intégré des règles basiques, dès notre enfance, de celles qui ne changent jamais, comme par exemple, le feu rouge pour s’arrêter ou encore la priorité à droite… et il apparaît que ces codes immuables de la vie quotidienne, à la ville ou à la campagne, suscitent une adhésion transgénérationnelle unanime. Des convenances claires pour observer une conduite respectueuse, cela fonctionne parfaitement, quelles que soient les populations d’usagers…
Mais, l’être l’humain étant par essence complexe, d’aucuns cherchent une raison de montrer aux autres qu’ils existent, voire qu’ils sont au travail ; ainsi de certains « élus », qui, au lieu de nous simplifier la vie, s’ingénient à réformer à l’infini réglementations et codifications fiscales et sociales, jusqu’à les rendre incompréhensibles, attestant ainsi de motivations plus égoïstes que citoyennes...
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L’insouciance sous contrôle
Le bonheur peut-il s’acheter ? Exister le temps d’une folie passagère ? Absolument ! L’insouciance est un état qui nous autorise certaines « folies », salutaires, parce que le bonheur irradie de ces instants privilégiés, suscite cette latitude propice à l’affirmation de cette liberté si souvent voilée par les convenances communautaires...
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Le bénévolat plutôt que l’impunité
La France manque de moyens. C’est ce que l’on entend de toutes parts, justice, prison, police, hôpitaux, gendarmerie, armée, éducation, agriculture, audiovisuelle, cantines, numérique, écologie, transport… tous manquent de moyens financiers. Pas un mois sans mise en avant des difficultés économiques du secteur public. Pourtant la France est dotée de cette force invisible que sont les bénévoles.
Bon nombre de personnes cherchent à occuper leurs fins de semaine ou même carrément leurs semaines. Seuls ou sans activité parce qu’ils sont à la retraite, à la recherche d’utilité ou pour peu d’entre eux parce qu’ils n’ont pas besoin de travailler pour vivre, ces personnes sont prêtes à faire du bénévolat, à offrir de leur temps pour la communauté. Et ça marche ! Les associations sont nombreuses à exister grâce à ces personnes. Les actions sont incalculables, faites pour offrir des compétences et apporter du soutien à ceux qui en ont besoin. Pourquoi n’est-il pas envisageable d’aider notre mère patrie lorsque des alertes anxiogènes sont en permanence lancées par les élus ou les syndicats de salariés. Des bénévoles pour la...
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L’argent d’ici et d’ailleurs…
De nos jours, il est surprenant de constater le désarroi provoqué par l’irruption d’investisseurs étrangers sur le sol français et plus particulièrement réunionnais…
Qu’en est-il ? Il faut en premier lieu se féliciter de ce que notre « terroir » économique est capable de susciter un certain pouvoir d’attraction… Nous sommes toujours, et moi le premier, à râler sur les joyeusetés fiscales de notre pays et réclamons de la simplicité, à l’instar de ce qui se pratique à l’île Maurice. Ensuite, cette attractivité économique nous la devons aux entrepreneurs, chanceux et malchanceux. Comme vous l’avez constaté, l’économie réelle n’applique pas forcément les stratégies politiques nationales qui se veulent toujours prévisionnelles. Si notre modèle économique, fiscal et social, attire les investisseurs étrangers, l’objectif de notre attractivité ne serait-il pas atteint ?
Cet aboutissement ne semble pas procéder d’une positive attitude. Donc, nous, Français, ne sommes pas contents de notre état et les entreprises étrangères, elles, chercheraient à subir le même sort fiscal, social, que nous… C’est kafkaïen ! Une histoire compliquée à comprendre ? Pas si sûr !...
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Ce guide du bâtiment, de la construction et des travaux publics recense les entreprises de la Réunion. Plus de 3000 coordonnées des sociétés sont éditées (Téléphone, Mail, Site, Nom du dirigeant, Gsm…)... et bien d'autres informations utiles pour contacter les entreprises sérieuses.
Vers l’abondance du rationnement…
Finie l’abondance ? Pas pour tous. Le rationnement énergétique semble se pointer plus vite que prévu. Mais les responsables politiques sont assez rodés en matière de scénarios, multipliant les alertes et les informations dramatiques afin de faire admettre une certaine augmentation des prix, pour éviter une crise « effroyable ».
L’économie a été sauvée grâce à la gestion anticipée des problèmes. En termes de communication c’est 100% gagnant. Pourquoi ? Parce que si le pire est évité c’est grâce aux politiques et s’il advient néanmoins, l’exécutif pourra se draper dans une dignité de lanceur d’alerte victime de l’indifférence ou de l’inconscience des autres… Une stratégie gagnante à tous les coups. Cette crise, dont l’origine est russe, ne peut faire oublier le fait que mis à part EDF, toutes les autres grandes entreprises énergétiques font de belles marges. Pourquoi notre grande et belle entreprise EDF perd de l’argent ? Parce que le gouvernement l’a voulu. Ceci est un bel exemple concret de l’empêchement des décisions politiques sur une entreprise qui devrait sans aucun problème et en toute sécurité, réaliser des marges et au minima équilibrer ses comptes. Sans compter le fait que la « Première Ministre », dans ses interventions, assez cinglantes au travers divers médias, insuffle subtilement dans ses discours l’idée que « peut-être » certains décideurs ayant le pouvoir d’arrêter le fonctionnement des centrales nucléaires pourraient faire partie d’un mouvement écolo-anti-nucléaire...
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Ne pas faire comme les grands…
Le monde de l’entreprise vu par le monde politique est assez intéressant. Les politiques pensent qu’appliquer une nouvelle norme sur les grandes entreprises rapporte de l’argent sans pour autant réfléchir aux conséquences de cette nouvelle charge sur les petites entreprises.
Aime-t-on les petites entreprises en France ? On est en droit de se poser la question tant commerces et autres services de proximité voient la paperasse administrative qu'il leur incombe d'abattre, occuper une place croissante au sein de leur activité… Se substituer aux services administratifs, travailler toujours plus pour l’État n'est en rien la vocation, la raison d'être d'une entreprise. Lorsque que l’on constate, comme moi, que les fonctionnaires se multiplient sans limite apparente, qu'aux 5,7 millions recensés, s'ajoute 1,4 million de contractuels, agents publics de leur état, sans compter les élus richement dotés en privilèges et sinécures, que tout ce beau monde vit aux dépens de 4 millions d’entreprises françaises, on réalise que cet état de fait est inepte au plan financier. Il est temps que bon nombre de fonctionnaires deviennent entrepreneurs voire que certains services dits publics, à l’image des greffes...
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Titulatures sarcastiques
La chasse aux titres ou plus précisément aux indemnités est enfin terminée pour un temps seulement.
Leurs députés une fois élus et bien assis, les électeurs n’auront plus qu’à apprécier le travail virtuel de ces présumés législateurs qui naviguent dans des sphères inaccessibles au citoyen lambda, tant la vie parlementaire est complexe, voire incompréhensible au commun des mortels. A quoi servent tout ce tralala et tous ces élus, si ce n’est à légitimer un présumé travail qui se limite à voter des textes imposés par la majorité présidentielle… Que représente un élu sans parti, sans appartenance à un groupe parlementaire, quel pouvoir pourrait-il espérer ? La somme est nulle, au-delà de l’acte de présence ! A quoi peut-il servir dans ce cas ? À rien, soyez en assurés ! Pourquoi élire une personne pour qu’au final elle ne représente qu’elle-même ? Ne faudrait-il pas changer la donne et limiter les candidatures à celles issues de partis politiques crédibles, ayant l’assurance de former un groupe parlementaire pour exister à l’Assemblée ?
Si les députés avaient le courage de s’appliquer...
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Franchir le Rubicon…
L’entrepreneur n’est vraiment pas aidé dans la gestion de son entreprise face aux discours électoralistes, voire clientélistes, des politiciens.
Il existe deux mondes reliés par un pont que personne n’emprunte. Le monde politique et le monde des entrepreneurs. On pourrait penser qu’ils se connaissent bien, mais en réalité ils sont totalement étrangers l’un à l’autre. Le premier est sensé faire tourner la machine économique en produisant des biens, des services, de la richesse et de l’emploi. Le second est supposé gérer la chose publique, la res publica, au sens propre du terme, en érigeant des conditions propices à la paix, notamment sociales, aux activités économiques et donc à la prospérité. Mais aujourd’hui, ces deux mondes ne communiquent qu’au travers de codex réglementaires, législatifs et jurisprudentiels dont la vocation première, utilitaire et pratique s’est perdue...
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Les miradors de Bercy
Chefs d’entreprise, vous ressentez le lancinant malaise d’être surveillés, par un regard intrusif, et vous éprouvez bien des difficultés à décider sans ingérence de la gestion de votre propre argent… Quand bien même vous n’êtes en rien coupables, cet œil de Caïn fiscal n’a pas fini de vous épier.
Sous des airs de ne pas y toucher, l’immixtion des administrations publiques dans vos comptes, pour les éplucher, tracer le moindre de vos mouvements financiers par le biais d’intermédiaires, est prégnante. Tracfin en est un exemple, ce service administratif de traitement du renseignement financier, très autonome, ne donne pas l’impression d’avoir tari
la circulation d’argent sale. De fait, s’agissant des entreprises, la contrainte de ne plus être en mesure d’accepter un paiement de plus de 1000 euros en espèces, s’avère incompréhensiblement discriminante et inefficace, en ce sens qu’elle ne s’applique qu’à l’endroit de ressortissants français… alors que cette limite n’est pas opposée aux étrangers. On touche là, à la perversité d’un système en proie à l’absurdité administrative française que le monde entier nous envie. Et voici qu’à présent, sous couvert de mise en « confiance »....
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Les créateurs de problèmes
Comment justifier notre énorme système administratif si ce n’est pour légitimer ses acteurs qui en fin de compte ne créent que des problèmes, pour entretenir leur inutilité.
Si notre chère patrie est sans nul doute le pays des droits de l’homme, le berceau de la démocratie, ou encore la terre de la libre expression, elle est aussi à l'origine d’un système qui a tendance à créer plus de problèmes administratifs que de solutions. La finalité de l'entreprise privée est organisée de façon à être efficace et productive plutôt que de brasser de l’air. Mais qu’en est-il des services publics ? A écouter nombre d’entrepreneurs, nos fonctionnaires et autres assimilés du service public, seraient plus enclins à vouloir exister de façon virtuelle. Quezaquo ? Les services administratifs sont de plus en plus fréquemment amenés...
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Les promesses électorales de plus en plus piquantes
Si le coût d’existence d’une entreprise devait être évalué sur l’échelle de Scoville… ça ne piquerait pas… ça brûlerait !
Le coût de production d’une entreprise française est l’un des plus chers au monde. Les impôts sur les entreprises avoisinent 100 milliards d’euros, selon la récente analyse de l’Institut Montaigne et Mazar. Dans ces conditions, comment susciter des vocations entrepreneuriales, quand la volatilité du calcul des coûts prévisionnels est de plus en plus difficile à réaliser. À l’image de l’inflation, comment jauger la valeur d’un service d’ici à la fin de l’année ? Comment quantifier la charge que représente un abonnement énergétique pour une industrie consommatrice d’électricité, ou encore calculer le montant du Smic d’ici septembre prochain, surtout en ces temps d’élection présidentielle ?
Subir toutes les augmentations sans savoir si nos clients seront toujours capables d’acheter nos produits est...
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L’effet tunnel de Bercy
Malgré toutes les alertes rouges, nos technocrates n’ont pas encore eu le courage de simplifier la vie des entrepreneurs… bien au contraire, ils semblent subir un « effet tunnel » qui les enferme dans une seule logique, leur faisant oublier toutes les bases d’une économie saine, en déchargeant sans cesse leur responsabilité sur les chefs d’entreprise.
À l’instar de cette avance de 100 euros par salarié, pour compenser l’inflation au profit des travailleurs gagnant moins de 26. 000 euros net, sur un cumul de salaires de janvier à octobre. Cela montre encore une fois qu’il n’est pas si simple de comprendre la politique économique.
D’une part, il faut en permanence, et de plus en plus dans l’urgence, être à jour de ses obligations administratives, quand la vocation d’un chef d’entreprise ne réside pas dans sa capacité à exécuter les moindres caprices de politiques en mal de réponses simples...
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Retrouvez l'édition spéciale du Mémento consacrée à Madagascar.
Perspectives, bilans, objectifs en 2022 et des interviews exclusives dans les secteurs de l'économie, de la finance, du développement durable, de l'agriculture, de l'agroalimentaire et des nouvelles technologies sont à découvrir dans le Mémento. Les entreprises malgaches vous étonneront par leur optimisme.
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Vers le huitième ciel...
Une entreprise de la communication qui ne communique pas... est-ce vraiment un acte professionnel ?
Grâce au manuel des acteurs de la communication (mac), les entreprises réunionnaises trouveront les professionnels reconnus pour réussir leur com.
Plus de 120 pages présentent les meilleures entrepises de la communication de La Réunion.
Une édition utile !
Zélateurs égocentriques
Le chef d’entreprise a appris, avec le temps, que sa force émane d’une cohésion d’équipe. Il n’est plus un patron qui ordonne, mais un « leader » distribuant des responsabilités. Le politicien, au contraire, surtout en campagne électorale, utilise tous les coups, même tordus, pour se faire élire ou réélire, en misant sur sa « persona ». L’égocentrisme est plus que jamais politique !...
Débiteurs associés à l’insu de leur plein gré
Chefs d’entreprise, si vous pensez déjà être surfiscalisés, préparez-vous à devoir payer davantage. Retraités, attendez-vous à une baisse de votre pouvoir d’achat. Et vous, ensemble des contribuables qui êtes déjà soumis au racket fiscal le plus important du monde en raison d’une dépense publique ayant atteint 57% de notre PIB, contre 27% en moyenne pour les pays de l’OCDE, vous paierez d’une façon ou d’une autre.
De quoi parle-t-on exactement ? D’une dette colossale que l’ensemble des politiques planquent soigneusement prétextant que La France est un grand pays, solide, riche…Et l’argument ultime est d’assurer qu’un État ne fait pas faillite. Pourtant quelle entreprise, foyer ou contribuable peut vivre en dépensant plus qu’il ne gagne ? C’est impensable tant l’imposition est grande et gare à ceux qui ne paient pas suffisamment. La soif fiscale de la politique française a-t-elle des limites ? Il semblerait que...
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Le secteur de la construction fait bien et mieux
Après l’arrêt quasi-total de la filière durant une partie du confi nement, l’enjeu désormais pour la filière construction à La Réunion sera désormais de démontrer sa capacité à rebondir...
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L’aphasie entrepreneuriale
La manie législative des gouvernements successifs, qui toujours prétendent charger la responsabilité pénale de l’entrepreneur, au prétexte d’un rétablissement social ou moral, dans l’espoir d’amadouer les esprits vindicatifs, voire paresseux, pour que ceux qui ne font pas grand-chose, jalousent peut-être moins ceux qui osent, a pour effet induit de cristalliser les dynamiques et favoriser une sorte d’aphasie entrepreneuriale.
Ce trouble, perturbant la communication, entraîne une sorte de paralysie face à l’ambition ou la volonté d’entreprendre. Si le futur chef d’entreprise, vierge de toute initiative, vient à se demander ce qui peut lui être reproché en tentant l’aventure entrepreneuriale, il y a fort à parier qu’il n’hésitera pas à… ne rien faire.
Pour les plus téméraires, le travail au noir sera une première solution car il semble paradoxalement moins risqué de ne pas déclarer son activité que de vouloir être simplement en règle. De fait si le chef d’entreprise est responsable, il l’est de vraiment tout… sauf de la météo ! La preuve : s’agissant des normes...
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Les personnalités d’entreprises sont l’atout crucial
La Réunion se doit d’être pleinement consciente de l’importance de ses entreprises. La création ou le maintien de milliers d’emplois par les auto-entrepreneurs et les dirigeants de TPE est d’autant plus respectable et remarquable qu’elle intervient en temps de pandémie, période hallucinante de contradictions.
Ainsi, cet exemple cocasse qui mérite une attention particulière tant il met en exergue l’aspect schizophrène de quelques têtes pensantes agissant sur la législation en matière d’embauche au sein des entreprises...
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La phygitalisation, l’avenir du commerce
Le développement des entreprises intègre obligatoirement la digitalisation. Cette numérisation ne doit pourtant pas occulter la présence humaine de plus en plus recherchée de la part des consommateurs.
Comment rendre crédible une entreprise ? Il lui faut d’abord un produit ou un service bien fait, apportant entière satisfaction à son client. Il lui faut également une présence ou des outils digitaux. L’essor, parlons plutôt d’explosion tant le rythme est phénoménal, du commerce en ligne ne doit pas faire oublier l’humain car aucune machine ne peut délivrer de conseils avisés que de plus en plus d’internautes attendent lors d’un achat. Les « influenceurs » en sont la preuve ! Acheter en ligne est accessible à tous mais la peur de se tromper est aussi grande que l’envie d’acheter...
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Diminuer les taxes pour créer des emplois
L’idée de créer des taxes pour favoriser l’emploi est totalement farfelue. Le contraire est pourtant une évidence ! La France fait partie des pays européens surtaxant le plus ses entreprises. Tous impôts confondus, elle est même championne du monde avec 46,2% de prélèvements obligatoires selon les dernières statistiques publiées par l’OCDE ! Il est temps d’alléger ce poids pour favoriser la création d’emplois parce que c’est bien l’abondance de taxes qui tue l’emploi pérenne dans le secteur privé. Pourquoi autant de taxes ? D’abord pour favoriser un fonctionnement de plus en plus complexe et de moins en moins rentable des services publics, et devenu tellement obèse que les promesses de régime de chacun des gouvernements successifs n’ont jamais pu être vraiment tenues. Ensuite...
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Un sfumato administratif et financier
Cette définition empruntée au secteur artistique consiste à créer sur une peinture un flou artistique autour d’un sujet peint pour noyer la précision des contours.
Que dire de la stratégie économique pour soutenir les entreprises contre les effets de la Covid 19 ? Si au niveau du chômage partiel, l’État joue bien son rôle, il est beaucoup de secteurs où nombre d’incompréhensions subsistent tant les caractéristiques sont floues pour obtenir une aide financière. L’étape suivante pour les entreprises ne sera pas des plus simples car que se passera-t-il après l’utilisation du PGE ? Les services de Bercy et autres organismes publics seront-ils complaisants envers les petites et moyennes entreprises dans le redémarrage d’une activité « normale » ?...
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Sérendipité
Ce mot est un anglicisme signifiant la capacité à faire par hasard une découverte inattendue et à en saisir l'utilité. À l’exemple de Tatin qui suite à une « erreur » a créé la célèbre tarte encore aujourd’hui au menu des restaurants.
Comme en cuisine, les chefs d’entreprise, peuvent dans leur vie professionnelle commettre des erreurs involontaires. Certains plus que d’autres ont parfois l’aptitude de transformer un inconvénient en atout. Faut-il d’abord oser oser pour faire exister le délit ! Mais lorsqu’un problème survient (et, croyez-moi, nul besoin de vouloir commettre des erreurs pour ça, les autoproclamés bourreaux s’en chargent parfaitement) comment le transformer en avantage ? Ce n’est pas si simple car la priorité est généralement de réparer pour revenir au plus vite à la standardisation bien assimilée par la majorité...
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Sapere aude
Ose savoir, pense par toi-même, pour faire triompher la Raison, voici comment je peux vous traduire cette injonction latine de Horace…
La crise Covid a fait exploser la dette de tous les pays, la France tout particulièrement. Qui paye la crise ? Le secteur privé ! Même s’il faut avouer que le soutien de l’État aux entreprises a été globalement au rendez-vous. Mais quand l’orientation du spectre des dépenses françaises se focalise prioritairement sur le secteur public, pour maintenir le fonctionnement de notre beau pays ; il est plus qu’évident que le dit secteur public profite quand il n’abuse pas allègrement des largesses de cette nouvelle corne d’abondance budgétaire. Souvenez-vous, avant la crise Covid, il était impératif de faire des économies car nos dépenses publiques étaient trop importantes. Elles représentaient déjà plus de 55% du PIB (Produit Intérieur Brut) en 2019. Ce pourcentage était alors présenté comme intenable...
NOUVELLE EDITION
Mémento spécial Madagascar.
Le tropisme
Le fait est naturel et le réflexe automatique. Réagir, prendre des décisions simples dictées par l’urgence tient de l’inné.
La logique vient, après réflexion. En ces temps de marasme pandémique, décider n’est pas simple. Les entreprises sont soutenues par l’État pour amortir le choc des mesures sanitaires du gouvernement ; il faut franchir le cap d’une économie pratiquement au point mort. Nous avons tous été élevés dans le culte du travail, qui finance la dépense publique par la grâce des impôts et taxes. Ce qui nous arrive est tout à la fois inédit et historique ; nous bénéficions d’une forme d’État providence, Covid-19 oblige, et les entreprises sont payées pour qu’elles cessent leur activité !...
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Bienveillance historique
L’histoire est belle. Le Mémento édite son 500e numéro. Pour un mensuel, j’avoue que ce n’est pas mal. Pourquoi ne suis-je pas davantage dans l’autosatisfaction ? Parce qu’à chaque numéro, je considère que je n’en suis qu’au début de l’aventure. Me reposer sur mes lauriers n’est pas dans mon style. Je pense n’avoir encore rien fait, même s’il existe chaque année, une évolution dans la modernisation des outils et la mise à jour constante des méthodes de travail....
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Le marigot entrepreneurial
Le cauchemar est sans aucun doute l’avenir économique de la gestion au fil du rasoir des bourses de nos entreprises. Les aides se tarissent et le bout du tunnel reste très difficile à discerner, provoquant une ambiance anxiogène démotivant toutes les dynamiques.
Vivre ce moment incroyable ! Nous ne sommes pas en guerre, nous luttons contre un virus invisible qui semble être partout et très contaminant. Tueur ? Rien n’affirme actuellement que ce virus tue plus que les autres maladies comme le paludisme par exemple. Le paludisme qui fait des ravages en Afrique où la Covid-19 ne semble pas vouloir s’étendre. Quoi qu’il en soit, entre les bonnes manières de la Suède et les mauvaises informations du reste du monde, l’Europe, surtout la France, est la plus atteinte par ce virus. Le Français serait-il sale ? Serait-il bête ? À en croire tous les sachant, l’erreur ne peut venir que...
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L’effet Nocebo
Tout le monde connaît les placebos, ces faux médicaments qui n’auraient aucun effet, permettant de réaliser des tests afin de savoir s’ils sont réellement efficaces. Son contraire est le nocebo. Son rôle est d’agir exactement à l’inverse, c’est-à-dire de nuire volontairement.
La Covid ou l’afflux d’argent public ? Comment déterminer lequel est ce nocebo ? Face à la Covid le confinement est la solution adoptée par le gouvernement, mais cela engendre un ralentissement de notre activité, et donc oblige à un déferlement d’argent public pour esquiver le pire.
Cette nuisance économique est-elle utilisée à des fins politiques ? Tous ceux pensant que cette hypothèse serait farfelue ne doivent jamais oublier que la stratégie politique n’a rien à voir avec celle sanitaire. On peut le voir avec ces forçats de la revendication, des syndicalistes chevronnés montrant qu’ils n’ont plus aucun sens du devoir civique. Profitant de cette calamiteuse ambiance et pour tenter d’exister médiatiquement, ils rajoutent des problèmes à un moment où il faudrait plutôt être solidaires...
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Une soumission providentielle
C’est indéniable, le gouvernement a trouvé l’argent pour limiter l’impact économique lié au Coronavirus ou à leurs décisions politiques ?
Lorsque l’on agrandit le spectre des conséquences économiques sur l’Europe, comme toujours l’on constate que les pays du Nord sont moins impactés par les crises. Mais d’où vient ce phénomène étrange qui leur permet de donner un sentiment de maîtrise ? Le fait est que le Coronavirus est exactement le même pour tous les Européens, alors pourquoi les conséquences sont-elles différentes ? À l’exemple de la Suède qui n’a jamais confiné, ni obligé à porter les masques, ni fermé ses écoles... Résultat : un pays qui semble maîtriser son épidémie, contrairement aux autres pays européens. La logique permet de penser que les problèmes sont accentués en fonction des décisions politiques sur l’économie. En France, pour limiter les dégâts, l’argent public a été déversé dans tous les secteurs. L’effet est immédiat et permet...
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Le Mémento présente sa nouvelle édition du Mémembat le répertoire du bâtiment 2021, de la construction et des travaux publics de La Réunion. Ce guide recense l’ensemble des entreprises sérieuses et compétentes de l’île.
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L’écologie politique des écoumènes
Ne vous y trompez pas, l’écologie n’est pas devenue le nouvel axe d’une stratégie politique gouvernementale à quelques mois de la campagne présidentielle. Ce stratagème montre l’incapacité de réforme du Président de la République qui pourra bien facilement mettre l’ensemble de ce camouflet sur le dos de la Covid-19. Simplifier le système pour mieux le comprendre ou mieux rentabiliser les investissements publics afin de savoir où et comment est utilisé l’argent des impôts n’a pas été un objectif de l’exécutif, comme les précédents.
La promesse de ce nouveau monde ressemble, en pire parce qu’il n’y a même pas de stratégie claire, à un désastre de la crédibilité de l’action politicienne. Vous mettez un inconnu et il devient populaire tant la déception et l’espoir sont grands face à l’évidence de l’échec. Notre pays s’enfonce dans un marasme démoralisant. Relancer l’économie française ne doit pas être seulement donner envie de consommer, c’est dire aux Français « dépensez pour mieux vivre et vous ferez vivre nos entreprises ». Ce temps n’existe plus depuis que les industries ont quitté notre nation. Aujourd’hui, relancer la consommation française équivaut à relancer l’économie des entreprises étrangères...
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Le manque de mélanopsine
Les politiciens ont-ils pu se rendre compte du coût du travail français ? Toutes ses aides, pour éviter les licenciements, peuvent-elles faire préférer une baisse des taxes afin de favoriser l’emploi ?
À l’image de la Convention Citoyenne pour le Climat, la façade est bien faite, un institut qui sélectionne des candidats au hasard et le résultat est jusque-là bien fait. Mais lorsqu’on lit que « Des spécialistes du dialogue citoyen accompagnent ces échanges, sans les influencer », vous commencez à comprendre. Des spécialistes ? Ont-ils orienté les débats ? Privilégié des sujets ? Le tout sans aucune influence… juste une direction. Le rapport final semble n’avoir pas vécu la crise Covid-19 ! À l’exemple de solutions climatiques...
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Une liturgie contre un tsunami
Après l’essor du Covid-19, la pandémie du chômage est-elle évitable? Le culte de la finance pour sauver notre économie est un rite que le monde économique reconnaît valable pour contrer momentanément le tsunami destructeur d’emplois. Fonctionnaires, restez tranquilles, vous n’êtes pas concernés.
Le monde de l’entreprise est un monde impitoyable, c’est peu de le dire. Chaque chef d’entreprise prie pour ne pas voir son affaire disparaître. Ils ne peuvent qu’invoquer la prise de responsabilité par les pouvoirs publics, les obligeant à une fermeture. L’inconnu est un avenir inenvisageable pour un entrepreneur qui a plutôt la tête sur les épaules et, en gérant prudent, il prévoit souvent le pire pour ne pas être trop optimiste afin de garder une marge financière uniquement pour être à jour de ses cotisations et impositions de tout genre. Quand un entrepreneur devient employeur parce qu’il ose accorder sa confiance à une personne dans l’espoir d’une aide ou pour le soulager dans une tâche basique afin qu’il puisse ambitionner un développement de son entreprise, il n’imagine pas une seconde qu’il ne paiera pas son salarié. Lorsque les affaires vont mal...
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De l’hibernation à la décongélation
Cette pause forcée n’a pas totalement stoppé l’activité mais considérablement ralentit. Comme un ours qui a dû aller hiberner en plein été !
La mise au repos de l'activité économique parce que nous sommes tous menacé par un virus est un scénario digne des plus grandes fictions de film fantastique. Jamais cela ne s’était produit à La Réunion et encore moins simultanément dans l’ensemble de l’océan Indien. Côté Préfecture de La Réunion, le Préfet de La Réunion, Jacques Billant, gère avec la menace d’une possible deuxième vague toujours dans les esprits. Maîtrise, calme, fermeté et compréhension sont des atouts qu’il démontre à chaque intervention. Les chefs d’entreprises ont encore plus de mérite. Entre perte d’exploitations, annulation d’événements, rupture de la chaîne logistique, défaut de livraisons, interdiction administrative d’exercer, etc., la gestion d’une entreprise est une prouesse. L’angoisse se situe désormais sur un redémarrage de l’activité, mais dans quelle ambiance? Les commerçants doivent se préparer à un raz-de-marée de clients heureux de pouvoir enfin sortir tandis que d’autres devront faire face à une concurrence très forte parce que la reprise sera nourrie d’un besoin vital de chiffre d’affaires à tout prix!...
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Inimaginable
Qui aurait pu imaginer il y a quelques semaines la situation que nous vivons aujourd’hui? C’était inimaginable!
Pourtant, nous sommes entrés du jour au lendemain dans une inactivité obligatoire pour contenir un virus invisible qui se répand à une vitesse astronomique. Le fait est que ce ralentissement provoque l’arrêt de l’économie. Quelles seront les conséquences? Les membres du gouvernement, qui ont été aussi surpris que nous des effets de cette pandémie mondiale, font tout pour rassurer les entreprises en prenant des mesures pour sauver les emplois. Pour cela, de nombreux dispositifs ont été décidés (voir notre dossier spécial)...
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Ressources asymptomatiques
Il est bon, en ce mois d’élections, de rappeler au bon souvenir de nos anciens et surtout futurs maires d’où proviennent les ressources financières de nos chères municipalités qui font et défont les politiques ambitieuses de chaque ville. Ne pas oublier l’impact financier des entreprises pour une très large part à l’origine de chacun de leur budget est primordial.
C’est pour compenser — comme les gens politiques aiment le déclarer — une baisse, de plus en plus importante, des dotations de l’État, que les municipalités augmentent les taxes sans au préalable étudier réellement les difficultés sociales qui en découlent et dont elles aiment démentir ensuite la maternité. Ce pouvoir, chaque mairie l’exerce surtout sur la fiscalité locale. Il est bien de rappeler ce que nous subissons tous. De quoi parle-t-on exactement? Les impôts locaux directs ou indirects (on commence à peine à en parler et c’est déjà compliqué) sont composés de multiples taxes…
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L’argent public n’existe pas
Lorsque l’on entend dire qu’il existe une finance publique, il ne faut pas comprendre que le service public crée de l’argent pour le confort de la communauté, bien au contraire.
La création de richesse laisse sous-entendre que de l’argent est créé alors qu’il s’agit plus précisément de création d’activité. L’activité crée de la richesse et non l’inactivité qui ne crée rien. Certains se demandent alors: «et si nos services publics n’existaient pas, la nation serait-elle plus riche?» Il y a dans cette question une part de vérité. Car il est indéniable que les réformes, comme les technocrates aux services des hommes politiques du moment dénomment leur idée géniale, pour soi-disant plus de simplicité dans les services gérés par les gestionnaires publics, il y aurait effectivement plus de richesses pour notre pays. La Cour des Comptes le démontre et le préconise dans chacun de ses rapports. Le mille-feuille, comme le nomment bon nombre de personnes...
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Je vous parle d’un temps que les conducteurs tananariviens de moins de vingt-ans ne peuvent pas connaître… Au début des années 2000, quelques feux de circulations subsistaient encore dans les rues moins saturées de la capitale. Aujourd’hui, la circulation n’est plus régie par ces feux tricolores. Et à l’image de ses feux tricolores, l’économie de la Grande-île s’est étiolée peu à peu à cause des crises cycliques, des mauvais choix et de l’inconstance dans les décisions politiques. Le baromètre de la performance économique de Madagascar alterne le vert et le rouge. Aujourd’hui, tous les feux sont à l’orange. Ils ne sont pas totalement verts, mais ne sont plus rouge...
Une veille des merveilles
Connaître les merveilles offertes autour de vous. Profiter au maximum des choses créés spécialement pour réaliser votre bonheur. Donner envie de se choyer, de faire une pause dans la béatitude d’un moment exceptionnel qui peut être, faut-il se l’avouer, un peu égoïste. Savoir prendre son temps pour avoir le courage de se sentir bien. Tels sont les premiers objectifs de cette édition du Mémento Spécial Luxe. Je vous invite tout au long de l’année à vous rappeler, à chaque ouverture de cet ouvrage, tout ce qui se fait auprès de vous dans le seul but de vous faire plaisir.
Je vous souhaite une savoureuse lecture.
Un gavage amincissant
Le discours, dont ne se lasse jamais un public politisé, consistant à vouloir confisquer aux riches et aux entreprises leur argent pourtant gagné honnêtement, doit faire attention à ne pas décourager toutes les volontés de création d’entreprise seule ressource de richesse nationale.
Aider les plus faibles ou améliorer la vie des plus démunis fait partie des objectifs communs à toutes entreprises françaises. Qui dit entreprise évoque inéluctablement la création d’un meneur, d’un patron, d’un dirigeant. Si une majorité de Français souhaitent devenir ce leader, ce qui est une très bonne nouvelle pour notre nation, l’effort pour y parvenir n’est souvent pas imaginé. Ce souhait est plutôt motivé par une volonté d’indépendance hiérarchique plus que par une réelle envie d’oser se jeter dans le grand bain...
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Chaque année, le manuel des acteurs de la communication (le mac) recense les meilleures entreprises de la communication de l'océan Indien. Véritable bible de la com, ce guide vous apporte toutes les informations utiles (spécialités, noms de dirigeants, téléphone, mail...) afin de choisir le meilleur prestataire pour réussir votre communication.
Avec plus de 160 pages, cette nouvelle édition vous permet de garantir l'expertise confirmée de chaque structure dans leur domaine d'activité. Du studio à l'agence conseil en communication, le mac est le seul guide permettant aux professionnels de la communication de démontrer à leurs clients et leurs prospects qu'ils savent… communiquer.
Le mac, une édition du Mémento, disponible immédiatement sur :
https://www.memento.fr/votre-commande-digital-numero-154-mac-2020
Plasticité neuronale
L’humain a la capacité de s’adapter à son environnement afin de préserver son existence qui a un seul et unique objectif primaire: vivre.
L’entreprise est une conception humaine permettant de proposer des services avec une contrepartie. Ce système crée des échanges, soit pour améliorer la qualité de ses services ou produits, soit pour s’offrir, lorsque les moyens le permettent, du temps en déléguant certaines tâches à d’autres entreprises pour se consacrer au développement des activités. Les contraintes sont multiples et variées parce que la conclusion de chaque affaire passe avant tout par des négociations afin de trouver le point d’accord faisant paraître un équilibre pour concrétiser un échange de contrepartie. Cela nécessite, en permanence, une adaptation humaine intelligente pour comprendre que les deux négociateurs sont gagnants lors de la signature d’un contrat. Si les deux décideurs s’adaptent assez facilement...
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L’exutoire des dolines
Une doline est un phénomène géologique provoquant un effondrement imprévisible du sol engloutissant tout ce qui se trouve dessus. C’est extrêmement dangereux, car difficile à détecter. Une surface a l’air solide, mais en réalité, elle est très fine et donc très fragile. L’affaiblissement du sol, qui ne se voit pas, a pour résultat un trou béant sans vie.
Vous allez me dire, où va-t-il avec cette description de dolines? Pour ma part, la conséquence de ce phénomène devrait inspirer les tacticiens budgétaires français. Le constat est que plus on augmente l’impôt, plus on augmente la dette de la France. C’est incontestable! Alors, si on arrête d’augmenter l’impôt principalement en réduisant celui supporté par les entreprises, il y a de fortes chances de constater une diminution de la dette publique ou, au moins, celle du nombre d’émissions d’emprunts sur les marchés internationaux...
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Le Mémenbat est exclusivement disponible sur le site de memento.fr
Un ethnocide permanent
Les créateurs d’entreprises découvrent dès le début et à chaque étape de leur vie professionnelle qu’il n’existe aucun soutien moral administratif, bien au contraire. Le prix de cette recherche de liberté ou d’indépendance est en réalité une entrée dans un isoloir.
Le gouvernement français arrive à sortir des chiffres sur l’activité de l’économie française via des administrations technocratiques comme l’INSEE qui, et on l’oublie toujours, n’ont jamais besoin de clamer leur indépendance — comme celle de la justice, par exemple. Alors que toutes les mauvaises nouvelles s’enchaînent, entre fermetures d’usines, Gilets Jaunes qui ont détruit l’activité de nombreuses entreprises, la fuite d’un bon nombre de touristes...
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L’exemple des entreprises mauriciennes
En 1960, le Prix Nobel d’économie James Meade écrivait : « ce serait un miracle pour Maurice si celle-ci créait des emplois capables d’augmenter sa productivité sans pour autant réduire son niveau de vie actuel. Mais cet espoir […] est faible ». Et pourtant, en seulement quelques décennies, l’île Maurice a réussi sa transformation économique passant d’un pays en voie de développement au statut de pays industrialisé, passant d’une économie agricole, qui reposait sur la seule culture de la canne à sucre, à une diversification des secteurs et des ressources, grâce notamment au textile, au tourisme et aux services financiers.
L’île sœur continue depuis son ascension, en attirant les investisseurs et accroit par la même son potentiel. Aujourd’hui, l’économie Mauricienne ne cache pas sa fierté, le pays n’a pas connu de période de récession depuis 37 ans. Elle bat ainsi les records jusqu’ici détenu par les Pays-Bas. Le pays est aussi devenu un centre d’excellence dans la région de l’Océan Indien en matière de fiscalité, d’investissement et de finances.
En 2018, Maurice fêtait ses 50 ans d’indépendance, mais surtout, cinquante ans de miracle économique. Pour cette nouvelle édition, « Spécial Maurice », le Mémento revient sur les secteurs, les entreprises et les personnes qui ont contribué à cette économie prospère.
L’exemplarité privatisée
Le monde peut penser que l’exemplarité d’une action appartient nécessairement au domaine public puisque l’argent, dans cette sphère, influence peu cet objectif.
Pour se donner bonne conscience, le gouvernement décide de mettre en place des bonus-malus sur les entreprises utilisant trop souvent des CDD d’usage. Bonus pour les bons comportements et malus pour les mauvais élèves. On apprend que 7 secteurs d’activités (agroalimentaire, publicité, hôtels/restaurants, gestion des déchets/assainissement des eaux, transport/entreposage, industrie du caoutchouc/plastique et industrie du papier/imprimerie) doivent se préparer à subir une augmentation de leurs taxes si elles continuent cette attitude devenue intolérable par ce gouvernement. L’exécutif cherche avec ce dispositif non pas à faire entrer de l’argent dans les caisses, ce serait vraiment mal connaître nos législateurs…
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L’économie de la dépense
L’idée qu’il n’existe pas d’autre solution que de taxer les entreprises pour subvenir aux besoins des services publics ne doit plus exister!
Les calculateurs basés à Bercy doivent changer de logiciel et moderniser leur logique. S’ils ont besoin d’argent pour faire fonctionner les services de l’État, la seule et unique voie à suivre doit être la réduction de la dépense publique. Toute autre solution est vouée à un échec économique lorsque l’on sait que la France est déjà en première place devant tous les pays d’Europe en matière de ponction fiscale des entreprises, de taxation des rémunérations du travail et surtout championne en matière de dépenses publiques. Lorsqu’une entreprise est lourdement taxée, comme actuellement, comment l’État peut-il penser qu’il faut encore mettre en place de nouvelles taxes?...
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Une duperie permanente
Lorsque vous êtes face à un problème et que vous ne parvenez pas à le résoudre parce qu’en réalité, vous avez du mal à accepter le fait que ce sont vos agissements qui l’ont créé est un phénomène courant. La solution ? Trouver le coupable idéal… pour sauver ces petits calculs politiques consistant avant tout à garder ses avantages et à cacher l’arbre moral qui se niche dans la forêt fiscale française.
Les imposés ont compris depuis belle lurette que l’impôt ne crée pas d’emploi et ne rembourse pas la dette. Lorsque ce constat est fait, on est en droit de se demander à quoi peuvent bien servir les milliards d’euros collectés dans les poches des entreprises et des travailleurs honnêtes français. Je rajoute honnête pour ne pas inclure le trop grand laxisme de l’État vis-à-vis du travail au noir qu’il ne combat pas pour entretenir une paix sociale qui, nous le constatons avec le mouvement «Gilets Jaunes», est de plus en plus artificielle. Donc, à quoi sert l’impôt?...
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Pour avoir moins d’impôts, il ne faut plus tourner en rond!
Certains affirment que payer moins d’impôts va obligatoirement impacter les services publics. D’autres se demandent comment est dirigé l’argent des impôts. La vraie question est: peut-on avoir moins d’impôts et, en même temps, un meilleur service public?
Et bien, c’est un grand OUI! Il est possible de diminuer l’imposition sur les entreprises et avoir un meilleur service public. La Cour des comptes (CDC) ne cesse d’éditer des rapports sur des gaspillages et sur des exemples de mauvaise gestion de bon nombre de services publics. Si une entreprise est mal gérée ou propose des services qui ne sont pas adaptés à la demande ou encore ne vit que grâce aux emprunts bancaires, toute la diaspora économique considère comme tout à fait normal et même inévitable une fermeture. Mais dès qu’il s’agit du service public alors là, une magie s’opère et ce même clan, souvent aux manettes de décisions irrationnelles, trouve tout à fait normal de vivre dans les abîmes des déficits budgétaires...
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Un bordel budgétaire discret
Entrepreneurs, il vous faut patienter encore l’année prochaine pour avoir une normalité de traitement dans l’obtention de la déclaration de création d’activité communément appelée Kbis.
Il se dit, çà et là, que le Greffe de Saint-Denis de La Réunion manquerait d’effectif et que s’il n’est pas augmenté, c’est parce qu’il s’agit d’une question de moyens. Mais de quels moyens parle-t-on exactement? Au niveau des compétences, l’île battant des records de nombre de chômeurs, de personnes qualifiées pouvant être embauchées pour ce type de poste, l'existence d'une offre est réelle parce que l’on se doute bien qu’il n’est pas nécessaire d’avoir une pléthore de certifications pour postuler à des postes administratifs consistant à enregistrer les déclarations émanant de formulaires préétablis par l’administration pour créer le sésame de l’officialisation...
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Maître noyeur sur ses comptes percés
Lorsque vous êtes à la piscine publique, la présence d’un maître nageur est obligatoire afin de faire exister une surveillance, tant pour faire en sorte que l’attitude de tout un chacun puisse rester pudique et d’un civisme normal que pour porter secours à une personne en difficulté pour ne pas qu’elle se noie. Ça, c’est dans la vie réelle, celle qui se voit, celle qui est concrète.
Pour le chef d’entreprise qui se lance dans le grand bain de la création d’une activité professionnelle, lui n’a pour surveillant qu’un maître noyeur. Il est là pour démontrer que si l’entrepreneur pense pouvoir vivre de son travail, c’est à la seule condition de le noyer dans les obligations fiscales, normatives, législatives, sociales... dont je crois que ce gouvernement simplifie les démarches pour mieux multiplier les obligations.
Au niveau social pour les PME et TPE qui ont réussi à sortir des comptes exacts en fin d’exercice avec les multiples changements de taux survenus en 2018, je les félicite. Le noyeur était-il satisfait? Faut croire que non! En 2019, rebelote: après la Dame sociale apparaît le Roi fiscal. Sous couvert de simplification…
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Que signifie le titre de notre “Spécial Madagascar” qui, chaque année depuis plus de 10 ans, ambitionne de révéler “la photo”, la plus fiable possible, de l’économie malgache et de son environnement des affaires ? L’économie malgache fut effectivement, plus que jamais, otage de la politique au cours de l’année 2018. Décisions sans cesse reportées ou événements politiques et sociaux qui ont perturbé le bon déroulement des activités justifient, à eux seuls, ce titre...
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Une édition spéciale fêtes 2019.
Le pouvoir d’achat augmente... mais il est fiscal
Le seul pouvoir de l’ensemble des décisions économique des élus en place depuis des générations est celui de forcer le chef d’entreprise à acheter de la fiscalité.
Dans le commerce, cette pratique, forçant les consommateurs à souscrire à un contrat ou à acquérir un produit/service dont ils ne veulent pas, est encadrée par une législation L.121-1 très stricte du code de la consommation. Selon la loi, le premier article dit «se prétendre signataire d’un code de conduite alors qu’il ne l’est pas» ou, selon le seizième article, «d’affirmer faussement qu’un produit ou une prestation de services est de nature à guérir des maladies, des dysfonctionnements ou des malformations», et ces deux phrases peuvent sans aucun problème être appliquées aux mensonges politiciens...
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Outil de travail indispensable pour réaliser votre communication. Le Mac (Manuel des Acteurs de la Communication) vous présente les entreprises régionales les plus professionnelles et performantes du secteur de la communication pour l'année 2019.
Cette édition vous permet de gagner du temps en vous permettant de choisir en toute confiance et rapidement le prestataire idéal en fonction de vos souhaits de communication.
Pourquoi chercher ? Le mac l'a trouvé pour vous !
Une mutation morale indispensable
La volonté de reconstruire la puissance économique de la France sur des bases plus modernes, et non plus innovantes, repose sur une obligation de simplification de notre système administratif qui, au fil des dernières décennies, aime exister au travers d’une complexification résultant d’accumulation de normes et autres obligations créant de multitudes de services publics coûtant très cher aux contribuables et surtout aux entreprises. Je rappelle que nos politiques publiques, plus clientélistes que pragmatiques, ont fini par obtenir ce beau résultat qui est que le travailleur français est le plus taxé au monde. Nous sommes, par miracle, encore une grande puissance, mais le temps est compté, car tout change très rapidement désormais. Alors, entendre qu’il est nécessaire d’harmoniser l’Europe pour faire exister une cohérence...
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Une catharsis administrative
Pour réformer les services de l’État afin de pouvoir réaliser, non pas des coups de rabot, mais de vraies économies d’échelle sans pour autant diminuer la qualité des services, le gouvernement a commandé un rapport afin de savoir précisément, et, pour la énième fois, où il était possible de faire des économies budgétaires.
Pourquoi les entreprises souhaitent-elles moins de fonctionnaires? Les chefs d’entreprises gérant des effectifs restent effarés, et cela grâce à leur expérience professionnelle, leur obligation de savoir gérer un effectif, de voir qu’il existe toujours un gavage de fonctionnaires derrière les bureaux publics. Ils savent combien coûte une absence, combien coûte un remplacement, combien coûte une réorganisation… Lorsqu’on leur assène depuis Paris qu’il faut offrir un service public de qualité, franchement c’est de la rigolade! Il serait bon que, dans chaque service administratif, il existe déjà une personne physique qui en soit responsable. Les ministres qui font les déplacements sur le terrain ne se doutent pas que tout est mis en oeuvre pour que ce représentant gouvernemental ne constate pas le laxisme au niveau de la gestion du personnel, que le rapport du «responsable», trop souvent planqué aux usagers, peut être tronqué pour relater un travail plus satisfaisant que la réalité ?…
Construire quand l’État déconstruit
Bernard Siriex, président de la FBTP - Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics de La Réunion -, fait le point sur une situation tendue. L’ensemble des acteurs économiques de l’île multiplient ainsi les propositions faites à l’exécutif pour relancer un secteur qui joue un rôle clé au niveau économique, mais également social...
Un commerce mondial antisocial
Lorsque nous regardons la planète, et plus particulièrement les pays, nous constatons que l’exception est la règle lorsque l’on souhaite combiner évolution sociale et dynamisme économique. Le pays qui règne en grand maître de l’économie mondiale est sans conteste les États-Unis. Ce dernier a décidé de faire du protectionnisme son cheval de bataille. Et ça marche! Diriger le monde en bloquant les affaires des autres pour faire prospérer les siennes est l’objectif de Trump. L’effet, pour le moment, est une conquête des marchés financiers réussie avec un dollar fort et une bourse au plus haut historique. Quant au niveau social des États-Unis, c’est toujours le temps du western si l’on regarde avec des yeux européens! Là bas...
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La nouvelle édition du Mémento montre l’activité actuelle de l’île sœur. Les mauriciens construisent de nouvelles infrastructures, sous l’impulsion de Pravind Jugnauth son Premier Ministre, à l’exemple du Métro-Express dont la livraison est prévue l’année prochaine. Une prouesse pour cette île indépendante.
Dans ce numéro 472, le Mémento a fait le point sur le secteur du tourisme, celui de l’agriculture ou encore celui concernant le développement durable et bien d’autres sujets qui vous feront découvrir ou redécouvrir l’île Maurice sous son angle économique très dynamique.
Pour ceux souhaitant ouvrir une entreprise ou trouver des prestataires de services, vous découvrirez dans ce dossier de nombreuses entreprises mauriciennes pouvant répondre à vos attentes.
Bonne lecture.
Le sophisme sournois
Le sophisme est le fait qu’une minorité, c’est à dire une faible représentation, bat une majorité qui pourtant représente l’expression la plus forte. Est-ce que cela existe? Malheureusement oui! À l’exemple des syndicats de salariés ne représentant que 8% de l’ensemble des travailleurs français, qui n’ont pas moins de 5 représentations nationales syndicales. Autre exemple, le pouvoir en place est lui aussi élu par une minorité! Même Emmanuel Macron, pourtant en face de Marine Lepen au second tour de l’élection présidentielle l’année dernière, n’a pas récolté la majorité auprès des électeurs inscrits sur les listes électorales...
L’entreprise n’est pas un thaumaturge
Les entreprises ne sont pas des faiseurs de miracles à l’instar des thaumaturges. Il est trop souvent annoncé que le secteur privé est la source de la création d’emplois. Si cette source est indéniable, les entreprises ne peuvent pas pour autant en avoir l’entière responsabilité. La création ou le développement d’une activité n’est pas forcément synonyme de créations d’emplois. De plus en plus de responsables publics tiennent un discours de déresponsabilisation face à la lutte contre le chômage.
Lorsqu’une personne devient chef d’entreprise, après avoir créé sa structure, sa première motivation n’est pas de créer un emploi, mais plutôt une activité! Cette personne prend des risques à vouloir changer son mode de vie pour devenir dépendante de la faiblesse publique. La logique, dont l’illusion est sans cesse entretenue par des administrations très compétentes, est de maintenir l’idée qu’une entreprise va créer des postes de salariés pour fonctionner. L’objectif est de convaincre l’opinion que la principale responsabilité des entreprises serait d’embaucher pour faire baisser le chômage, c’est oublier trop rapidement que le secteur privé n’est pas responsable du chômage, bien au contraire…
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Un véritable ascenseur social
L’entreprise est l’axe principal de l’évolution sociale pour toute nation. Sans entreprises, l’existence d’un système démocratique avec une évolution sociale positive n’existerait pas.
L’entreprise est-elle importante face aux attentes d’évolution sociale pour une collectivité? C’est indéniable. Cette prise de conscience n’est pas populaire, l’entreprise est généralement cantonnée à la création d’emplois d’un pays. Toutes les politiques économiques comptent sur les TPE (Très Petites Entreprises), les PME (Petites et Moyennes Entreprises), les ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire) et les Grandes Entreprises qui, elles, n’ont pas d’abréviation — mis à part celles présentes en bourse, comme les Entreprises du Cac 40. Les résultats financiers ou stratégiques de ces dernières sont trop souvent pris en exemple pour stigmatiser le monde de l’entreprise, le dépeignant comme un univers sans pitié avide de faire des profits...
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L’inévitable modernisation des services publics
La triste réalité est de constater que l’entreprise se soumet, elle se plie, elle obéit sans se révolter aux nouvelles et trop nombreuses exigences des services publics. Si l’organisation des entreprises s’adapte à l’air du temps avec des records de réactivité pour certaines d’entre elles, il semble juste que ceux qui décident de ces changements de règles puissent en faire autant. Se mettre aux ordres d’une autorité qui se fiche de montrer l’exemple est difficile à admettre, d’autant plus si ces mutations entraînent des frais supplémentaires pour sa mise en œuvre et pour maintenir un contrôle de bonne exécution. Je rappelle que les frais supplémentaires entraînent une réduction de marge pour l’entreprise qui est dans l’obligation de garder une marge pour exister. «Faites ce que je dis, pas ce que je fais», disent les beaux parleurs publics, souvent donneurs de leçon, sans pour autant mettre en pratique leurs conseils...
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Évidente tautologie
S’il existe des taxes, c’est uniquement pour financer les services de l’État. Tout autre objectif n’est que leurre.
Si les entreprises et salariés du secteur privé payent des taxes, c’est pour subvenir aux besoins d’argent des services publics. Pensiez-vous vraiment que cela servait au final à quelque chose d’autre? Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si cela avait des résultats, mais plus il y a de taxes, moins la qualité des services de l’État existe. S’il faut créer une taxe pour subvenir aux besoins financiers de l’État parce que ce dernier n’a pas su gérer correctement l’argent récolté des plusieurs centaines, pour ne pas dire presque un millier, de taxes précédentes et qu’au final il est dans l’obligation d’en imaginer de nouvelles sous couvert de sauvegarde de l’environnement par exemple, il serait peut-être temps de taxer cette mauvaise gestion sur le portefeuille de celui qui ne sait pas tenir un budget. Ah, mais non...
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La capacité des opérateurs économiques, installés dans la Grande-île, à s’adapter à un environnement des affaires instable, force l’admiration. Non seulement ces entrepreneurs résistent mais, en outre, investissent, innovent et se mettent aux normes. Certes, quelques grandes familles, notamment d’origine indo-pakistanaise, ont décidé au cours de l’année 2017 de prendre quelques distances avec le pays mais, davantage pour des raisons sécuritaires qu’économiques. La micro-économie malgache (un PIB inférieur à celui du désertique Mali ou du minuscule Bénin) qui ne pèse que l’équivalent d’un petit département français a beau être en récession, rien n’y fait : de nombreux chefs d’entreprise continuent d’y croire...
Par Richard BOHAN
Un faux bon sentiment
L’entreprise semble être enfin une préoccupation politique pour 2018. Le patron qui doit toujours payer plus est désormais derrière nous. L’exemple du RSI (Régime Social des Indépendants), géré depuis le début de cette année par la sécurité sociale, démontre (enfin) une certaine reconnaissance d’un besoin de protection sociale pour les chefs d’entreprise. Puis la mise en ligne de lettres types de licenciement qui serviront essentiellement aux petites structures donne non pas la clef pour réaliser depuis sa mise en ligne des licenciements, mais plutôt celle pour éviter des procédures devant les tribunaux des prud’hommes. Ce n’est pas du goût des syndicats, pourtant très friands du respect des procédures...
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La magnificence
Que recherche-t-on lorsque nous acquérons une chose que l’on désire ? D’abord, il s’agit avant tout de ressentir, de façon égoïste, sa joie d’avoir réussi à obtenir à force d’effort la récompense voulue. Puis, le temps nous amène à chercher à enrichir cette émotion en créant de la gaieté chez les êtres que nous aimons en leur faisant les cadeaux des plus surprenants. Ce geste reste néanmoins égoïste car le but est bien de savourer, en même temps, le délice d’avoir offert du plaisir. Il est désormais temps de passer à l’étape suivante, celle de continuer à le faire mais cette fois avec surprise et sans aucune obligation, juste avec l’envie de partager son amour avec magnificence.
En pleine cogitation
Les chefs d’entreprise sont généralement unanimes pour vouloir moderniser leurs outils de travail afin d’offrir aux clients un produit ou un service correspondant à l’air du moment. Pour y parvenir, il faut leur faciliter l’existence. Lorsqu’est évoquée la modernisation pour simplifier leur vie professionnelle, cela montre à quel point l’entrepreneuriat s’est considérablement complexifié.
La mise à jour de votre entreprise est devenue permanente au fil des décisions souvent législatives, à tel point qu’il est aujourd’hui impensable de ne pas intégrer dans votre organisation des dépenses en faveur de professionnels pour vous conseiller ou pour vous informer des nouveautés applicables dans votre activité. Qu’il s’agisse de normes, de comptabilité, d’organisation, d’administration, de droit salarial ou autres, les entreprises doivent se mettre à niveau en permanence...
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La référence des références !
L'édition 2018 du manuel des acteurs de la communication est disponible.
Le mac est l’outil indispensable pour découvrir ou redécouvrir les vrais professionnels du secteur de la communication, de la publicité, des médias, de la production audiovisuelle, de l’organisation d’événements… Le guide de la communication est la référence sur les bureaux des acheteurs.
Etre présent dans le mac montre une réussite professionnelle et apporte une visibilité auprès des décideurs des entreprises de la Réunion, de Mayotte mais également de l’île Maurice, des Comores et de Madagascar.
Investir dans une communication dans le mac met en avant votre ambition de vouloir offrir un service sérieux et professionnel. Cela permet également de faire connaître votre entreprise auprès de nombreux secteurs d’activités (Industriels – Collectivités - Grandes entreprises - PME…).
Face à la concurrence, il n’est plus permis de ne pas être remarqué. Vous devez acquérir, affirmer ou encore réaffirmer votre existence. Votre présence dans le mac permet d’asseoir votre entreprise comme étant une référence dans votre secteur d’activité, cela pour optimiser vos chances d’être « short listé » lors de consultations.
Le mac est partenaire officiel du prestigieux concours Créatives et sera distribué lors de la soirée des remises des prix.
L’umami entrepreneurial
Avec l’acide, l’amer, le sucré et le salé, l’umami est l’une des cinq saveurs de base. Les chefs d’entreprises connaissent parfaitement celles-ci, mais ils découvrent, avec les objectifs politiques en faveur des entreprises, l’umami qui est le fait de savourer un vrai potentiel d’avenir pour leur métier.
Durant les dernières décennies, le patron d’entreprise a connu l’acidité des stéréotypes affirmant que la réussite d’une entreprise est forcément due à un réseau, un fayotage… Ces juges sont souvent ceux qui n’ont jamais eu le courage de créer une entreprise avec leurs moyens personnels ou ceux qui n’ont pas su ou pas pu se poser les bonnes questions pour se remettre en selle et repartir à la conquête de marché avec un produit ou un service plus adapté à la demande...
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Des organisations contradictoires
Si de nombreux syndicalistes croient que grâce à leur organisation, les salariés du public peuvent se sentir à égalité avec les chefs d’entreprises, c’est oublier trop rapidement que ces derniers subissent directement le pouvoir de l’État, et ce dès le début de la création et même avant le commencement de leur activité. L’idée de bannir la hiérarchie dans une organisation telle que l’entreprise, comme le veulent certains syndicalistes peu enclins à constater la réalité du marché économique, est une hérésie fondamentale. Pourquoi cela est-il impossible? Abattre la subordination, c’est-à-dire en finir avec la hiérarchie dans l’entreprise, veut tout simplement dire qu’il n’existe plus aucune organisation possible pour exécuter une tâche. Mais qui sont les premiers créateurs de subordination? Les syndicats! Ils se dénomment aussi organisations syndicales et ce sont ces organisations qui veulent combattre un système hiérarchique dans le but d’une lutte des classes sociales pour imposer le bien de leur humanité, une obligation de transformation à leur image...
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La réforme d’un Titanic
La France doit se réformer, c’est une obligation. Les nouveaux dirigeants politiques doivent concevoir une nouvelle économie pour notre nation afin de valoriser un système capitaliste plutôt qu’une idéologie de plus en plus tournée vers un communisme décrit ou perçu comme une idée bien pensante sociale surtout par ceux ne souhaitant pas que leur responsable puisse avoir le bonheur de constater qu’il existe des jeunes gens plus efficaces tout en étant moins débordés que leur aîné n’ayant que de cesse de vouloir protéger leurs conditions avantageuses. Le capitalisme n’est pas une horrible conception, c’est un créateur d’emplois et de richesses. En réalité, le capitalisme d’aujourd’hui est une arme sociale très efficace...
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Des modifications très attendues des normes et des index
2017 sera pour le secteur du BTP une période charnière. En l’espace de quelques mois, La Réunion a adopté de nouvelles normes locales pour le bâtiment et de nouveaux index afin de mieux coller à la réalité économique locale. Une nécessité pour le secteur, qui représente 6,6% de la valeur ajoutée de l’île...
Mieux connaître l’île Maurice
Le gouvernement mauricien se donne-t-il les moyens de réaliser ses ambitions? Déjà, on parle de digitalisation du pays, avec l’installation de 350 points wifi, le remplacement des câbles Internet par la fibre optique et bientôt l’accélération des services gouvernementaux en ligne. Première cible directe, les hôpitaux qui deviendront «Paper Less». L’adoption du Land Drainage Authority Act récemment au parlement annonce un autre vaste chantier pour l’installation des drains d’évacuation d’eaux de pluie et bien sûr il ne faut pas oublier le démarrage, officiellement annoncé par le Premier ministre mauricien Pravind Jugnauth, de la construction du métro léger qui permettra de relier Port-Louis à Curepipe…
Le ras-le-bol syndical
Il est temps de simplifier la vie des entreprises et des entrepreneurs afin de libérer leur capacité de développement et réduire leurs trop nombreuses contraintes.
Que signifie simplifier? En politique, cela veut dire légiférer sur de nouvelles caractéristiques. En clair, compliquer davantage. Pourtant, simplifier la vie des chefs d’entreprises est aisément accessible, même aux plus dénués de bon sens économique. Il ne faut pas changer quoi que ce soit, mais supprimer tout un tas d’obligations françaises qui viennent s’accumuler à celles européennes. Ôter, faire disparaître, abolir, abroger, annuler, effacer, révoquer… c’est tout ce qu’il faut faire. L’objectif n’est plus de légiférer de nouveau ni d’ajouter une règle créant des exceptions, mais bel et bien de réduire les normes, les obligations… Veut-on rester enclavés sur le territoire français ou donner la possibilité aux entreprises, et encore plus pour celles basées en Outre-mer, de conquérir de nouveaux marchés? Si l’on doit choisir le chemin européen, il faut cesser d’emprunter ces détours...
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Tribunal de l’injustice
La justice remet en cause en permanence la stabilité d’une activité économique par des décisions incohérentes fondées sur une prétendue sauvegarde de l’emploi qui en réalité met à moyen terme en péril les emplois stables d’aujourd’hui.
Que penser lorsqu’un juge prend des décisions contraires au bon sens économique? Lorsqu’il décide de maintenir une activité non rentable depuis des décennies face aux entreprises du même secteur qui sauvent leur peau à chaque prélèvement de leurs obligations sociales et fiscales? Qui peut considérer que le juge prend une décision juste lorsqu’il décide de maintenir une activité déficitaire? Pourtant, l’activité d’une entreprise est très encadrée par la législation qui dit entre autres qu’il faut être à jour de ses cotisations sociales pour prétendre pouvoir accéder aux marchés publics. Cette règle a été modifiée pour donner la possibilité aux déficitaires temporaires de pouvoir continuer à répondre aux appels d’offres des marchés publics. Mais qui est le gagnant dans cette histoire? On peut se demander si l’administration souhaite sciemment continuer à bénéficier de vente à perte de la part d’entreprises en difficulté...
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Ah, qu’est-ce qu’on est bien!
Savez-vous ce qu’il y a de bien pendant une campagne présidentielle? Quoi, vous ne l’avez pas remarqué? C’est une période durant laquelle vous pouvez enfin respirer parce qu’il y a une pause de décisions ou de projets législatifs!
Les dirigeants du pouvoir ont exactement le même comportement vis-à-vis de l’entreprise qu’un pitbull: ce sont des molosses, parce que ces gens-là ont le pouvoir lorsque l’appareil d’État est mis à leur service. Leur flair cherche en permanence, au travers de sondages ou pour les plus courageux de visites sur le terrain, les décisions les plus populaires à des fins électoralistes pour ne pas dire clientélistes. Les oreilles courtes parce qu’ils n’écoutent que les conseillers les plus proches et surtout pas l’ensemble de ce peuple qui ne sait pas ce dont il a réellement besoin...
De véritables tartufferies
Franchement, quand vous allez chez votre boulanger, chez votre médecin ou chez votre boucher… vous ne vous posez pas la question de savoir s’il est de gauche ou de droite? Les seules choses intéressantes sont le coût du produit, sa qualité, l’amabilité des personnes vous réceptionnant, l’ambiance… Vous imaginez un monde où vous auriez des a priori uniquement parce que certains trient les entreprises en fonction de leur prétendu bord politique!...
Nul besoin d’énumérer les incommensurables potentialités économiques de Madagascar. Qu’il s’agisse de ses ressources minières, agricoles ou bien encore touristiques voire humaines. De là à transformer ces atouts en véritables richesses, il y a un “grand bond” à accomplir que la Grande Île ne semble pas encore, tout au moins à très court terme, être capable d’effectuer. Privilèges et petites rentes de situation continuent, en effet, de prendre largement le pas sur l’intérêt général....
Par Richard BOHAN
L’excédent déficit
C’est aberrant… L’Allemagne, deuxième exportateur mondial derrière la Chine et premier exportateur européen, réalise une magnifique année 2016 avec 252,9 milliards d’euros d’excédent commercial. Les pays européens devraient être très heureux et prendre exemple sur cette extraordinaire réussite, mais ils préfèrent critiquer plutôt que de valoriser le modèle à suivre.
Ce qu’il manque à tous les candidats à l’élection présidentielle est une vision excédentaire des comptes français. Tous arrangent leurs petits calculs d’apothicaires pour ainsi pouvoir promettre une lente, très lente guérison. Leur remède est de rester malade. Qui veut diminuer la dette ? Personne. Les gouverneurs, actuels et futurs, vous proposent seulement de réduire le déficit ! Un chef d’entreprise qui gérerait ses comptes de la même manière n’aurait aucune chance de se voir prêter le moindre euro et serait certainement assimilé à un escroc...
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Guide du Bâtiment de La Réunion
Démolissage bureaucratique
Pour l’économie d’un pays, créer de l’activité, et donc des entreprises, est indispensable. Aucun modèle économique ne peut exister sans entreprises. Les politiques clament haut et fort qu’ils simplifient les démarches administratives. Si cela est vrai pour les formalités de création, c’est la vie après cette étape qui peut devenir un enfer. Attention au mal de dos tellement l’administration vous poignarde.
Que faut-il pour créer une entreprise? De l’envie, mais surtout aucune volonté de reconnaissance de la part de vos services publics. Tout le monde est gentil avec vous avant l’ouverture de votre «boîte». Pourtant, le nouveau chef d’entreprise n’a pas le temps de recevoir son matériel pour démarrer son activité qu’immédiatement, il se prend en pleine poire des courriers officiels l’obligeant à passer la plupart de son temps à faire le travail de l’administration plutôt que d’aller chercher des clients ou des marchés. Et ça devient vite l’enfer si vous ne répondez pas, «en urgence» bien entendu, à toutes leurs demandes de renseignements ressemblant plus à un flicage qui n’aurait en réalité qu’un seul but… vous éponger votre capital social le plus rapidement possible...
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Le déséquilibre permanent du laxisme et de la rigueur
L’entreprise a toujours été solidaire, bon gré mal gré, pour aider les comptes de l’Etat en payant les taxes nécessaires pour sortir l’économie française de son marasme afin de créer de la croissance, mais elle n’accepte plus d’être spoliée.
La seule solution, pour résoudre les problèmes budgétaires, est d’augmenter les taxes et prélèvements, c’est ce que pensent les gestionnaires pour faciliter leur politique électoraliste afin de combler les trous de leur très mauvaise administration. Une fois de plus, ces fabuleux financiers ont prouvé, encore cette année, que nos craintes sont belles et bien fondées. Avec 7 milliards de dépenses supplémentaires, non prévues, mais bien réelles, dans le budget national de 410 milliards pour 2016, eux appellent ça un dérapage, mais il serait préférable de qualifier ce résultat budgétaire de catastrophe. Leur maîtrise, leurs savoir-faire, leurs affirmations… montrent que les gens du pouvoir sont loin d’être des intelligences économiques...
L’oxymore présidentiel
Faire ce qui n’est pas dit et dire ce qui n’est pas fait est en résumé la politique présidentielle menant l’activité de nos entreprises vers des hausses inéluctables des taxes et prélèvements.
Vous, chef d’entreprise de La Réunion, des Antilles ou de toute autre zone d’outre-mer que le pouvoir et l’Europe appellent souvent ultramarines pour englober leur méconnaissance de ces régions tant en termes d’économie que de savoir-faire, oui, vous, vous n’existez pas, car vous avez… de l’importance! Je ne vous rassure pas, vous allez, comme à chaque fois, devenir des votes convoités au fil des mois, à l’approche des élections. Il s’agit de votre seul moyen d’exister pour grappiller quelques voix, là où les électeurs ultramarins permettront aux candidats de faire la différence dans les urnes...
L’impôt à la source… des inégalités
La France a bel et bien changé. Si la fonction publique était jadis un exemple, maintenant, elle est un problème.
Autrefois, être fonctionnaire était un gage de sérieux, d’honorabilité et de réussite. Aujourd’hui, un demi-siècle plus tard, les postes dans la fonction publique sont assimilés à une planque, un réservoir à arrêts maladie, à une disparition de responsabilités... Pourquoi en est-on arrivé là ? La plupart du temps, cela est dû à un système de clientélisme politique donnant aux fonctionnaires toujours plus d’avantages à chaque élection. Par exemple, les promesses coûteuses des campagnes électorales aux salariés de la fonction publique sont toujours tenues, comme celle de supprimer le jour de carence, qui pourtant avait produit un effet très positif sur les arrêts maladie de courte durée et faisait économiser plus de 200 millions d’euros par an toutes administrations confondues. L’ensemble de ces avantages a eu pour conséquence de ralentir la modernisation du service public. Sans argent et beaucoup de promesses d’embauches, d’augmentations, de primes…
À quand un zoroastrisme administratif ?
La fiscalité est nécessaire pour un bon fonctionnement mais trop de fiscalité entraîne un désordre administratif. Le zoroastrisme est une religion admettant les opposés dans un même corps mais tend à un équilibre parfait.
Le principe du Zoroastre est par contre très déséquilibré en France. L’Administration a besoin du paradis des entreprises sans quoi l’économie d’une nation ne peut exister. À l’inverse, si la nation ponctionne l’entreprise plus qu’il ne le faudrait, c’est l’enfer fiscal et la débâcle au niveau de la gestion. Une des origines de ce désordre est la collecte de multitudes de prélèvements obligatoires, la Cour des Compte en a recensé 233 ! C’est devenu tellement compliqué que certains d’entre eux coûtent plus cher à percevoir qu’à supprimer. Mais que faire des fonctionnaires chargés de ces collectes si ces impôts sont supprimés ? Les politiques préfèrent laisser en place une dépense et un système organique de plus en plus complexe plutôt que de vouloir réellement simplifier car le gain électoral est quasi nul. D’ailleurs, presque plus aucune entreprise ne sait vraiment à quoi sont destinés in fine les prélèvements. Car nous sommes conscients que l’absurde logique est...
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La croissance de l’inégalité
Lorsqu’une entreprise souhaite réaliser des économies, que fait-elle ? Elle dépense moins pour accumuler de l’argent afin de pouvoir acquérir ce qu’elle convoite. La logique gouvernementale, elle, est tout autre. Lorsque les responsables décident d’économiser cela passe par des augmentations de primes, de salaires des fonctionnaires, des points d’indices… Jacques Martin aurait fait une émission spéciale Incroyable Mais Vrai !
Toutes les administrations, réclamant à cor et à cri du matériel neuf, des locaux plus spacieux, des emplois dans les hôpitaux, dans la police, dans les gendarmeries, dans les tribunaux ou mieux encore tout simplement, avoir un budget pour acheter des rames de papiers A4 tout au long d’une année, sont heureuses de savoir qu’un professeur gagnant déjà en moyenne 2 475 euros net par mois en métropole, va toucher, en moyenne aussi, 1 200 euros de plus par an à partir de 2017 ! Donc, à La Réunion je vous rappelle qu’il existe une surrémunération de 52 pour cent, cela signifie que la moyenne de la rémunération d’un professeur est de...
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Un coup d’État… démocratique
La loi travail va permettre de libérer un peu les moyens de gestion salariale dans les entreprises.
C’est la fin des 35 heures et la diminution d’une pression syndicale sur les entreprises. Cette loi va, à mon avis, dans le bon sens. Quoi ? Que m’arrive-t-il ? Je suis d’accord avec l’action de ce gouvernement ? Oui, une fois n’est pas coutume, je suis favorable à cette loi travail qui fera du bien à nos entreprises mais pas à ceux qui les représentent au niveau national. Certes, les syndicats patronaux vont perdre en influence, ce qui est regrettable, mais les syndicats de salariés aussi et, ça, c’est une très bonne nouvelle pour les entreprises toujours soumises aux réflexions acerbes de certains de leurs représentants plus en mal de pouvoir que de bien-être des salariés conduisant systématiquement à des blocages dans des entreprises et à une perte...
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Les fonctionnaires sont des rentiers
Savez-vous que tous les fonctionnaires sont des actionnaires ayant des dividendes chaque année sans que cela ne pose problème à personne dans l’éthique de la morale bienveillante du service public ? L’action principale, celle la plus rentable, celle qui rapporte, dans leur CAC 40 des services administratifs : la titularisation ! Cela signifie la sécurité de l’emploi et le versement de primes de toutes sortes. C’est une distribution à vie grâce à l’obtention d’une seule action (la titularisation) qui rapporte de l’argent jusqu’à la fin de leur existence et, seulement pour ses détenteurs, permet de ne plus jamais avoir de problèmes financiers. Autre avantage de cette action, décidément très rentable pour les fonctionnaires...
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L’iconoclasme autocratique
Réformer tout en décidant de ne rien faire est le symbole d’une volonté politique emprisonné par les fausses actions économiques des gouvernements.
À chaque création, modification ou proposition de loi, un seul mot revient sans cesse dans la bouche des exécutifs en place : réforme. Le législateur réforme, soyez rassurés, il change tout, il modernise, il pense à vous, à vous protéger, à vous conforter… ce gouvernement ose, les ministres ont de l’audace… tout en ne faisant rien ! La France est malade de son administration et en overdose de communication. Comment le législateur peut-il convaincre qu’il est au travail si vous ne constatez pas chaque jour qu’il dit vrai ? Imaginez une semaine sans politicien, un bonheur ! Il y a une journée pour tout aujourd’hui : la journée de la femme (8 mars), la journée sans viande (20 mars), la journée de la courtoisie (24 mars), la journée du fromage (8 avril), la journée des ordures (18 mai)… il faut mettre en place...
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Travailler… c’est trop dur !
L’action des gouvernements successifs depuis des décennies a consisté à dégrader la valeur du travail.
Sous prétexte de mener une bonne politique, aux fins purement électoralistes, les responsables législatifs ont mené tambour battant une campagne, dite sociale, en ne ciblant qu’une seule catégorie de personnes, beaucoup moins nombreuse et, donc, moins importante dans les urnes, il s’agit des chefs d’entreprise, des entrepreneurs, des décideurs. Cette caste a été intellectuellement et fiscalement torturée, massacrée, insultée, crucifiée, harcelée, martyrisée, tenaillée, violentée, persécutée… et malgré cet acharnement psychologique que souhaite une grande majorité des Français : monter leur entreprise.
Les politiciens au pouvoir ne connaissent pas l’entreprise...
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Travailler… c’est trop dur !
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Les secrétaires de la République
Plus il existe de fonctionnaires, plus le travail administratif s’accumule sur le bureau des chefs d’entreprise ! Est-ce logique ? Absolument pas !
Lorsque quelqu’un veut créer son entreprise, en général, c’est pour se sentir plus libre. C’est pour vivre de son travail, être indépendant, ne compter que sur soi. Qui mieux que vous-même peut s’occuper de votre confort. Confort moral, confort matériel… Et lorsque vous créez votre activité, vous relativisez ce confort parce qu’il correspond au travail fourni et à la rencontre de la réussite de votre produit ou de votre service.
L’indépendance s’arrête exactement là où vous pensez qu’elle commence ! Vous n’avez pas le temps de mettre en place votre organisation que déjà, vous recevez des factures, des obligations, des paperasses à n’en plus finir pour vous taxer sur un chiffre d’affaires non encore réalisé. Le rêve se transforme en cauchemar administratif pour bon nombre. Pas parce que le produit ne se vend pas mais parce que vous n’avez pas le temps de le commercialiser...
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Les vieux au chevet des futures créations d’emplois
Hollande peut-il faire baisser la courbe du chômage avec ses décisions économiques ? La réponse est non. La seule réforme qu’il envisage est d’attendre que le temps passe, simplement.
Avec les derniers événements survenus à Paris, l’économie est reléguée au second plan, ce qui est tout à fait compréhensible. La France a besoin de renforcer sa sécurité, de retrouver son patriotisme et surtout de constater qu’il y a un décideur à la tête du pays. Lorsque l’on résume un peu l’action du président socialiste : déploiement militaire sur le territoire national, autorisation du port d’arme aux policiers municipaux, autorisation du port d’arme en dehors des services pour les gendarmes et policiers, remise des contrôles aux frontières, interdiction d’organiser des manifestations, interdictions de se rassembler dans les lieux publics… Jean Jaurès se retournerait dans sa tombe. Hollande n’aurait jamais cru une seconde qu’en prenant ses mesures très autoritaires, qu’il gagnerait en popularité, ce qui pourrait même peut-être l’inciter à en faire un peu trop selon certains écologistes. Dans cette focalisation sur le terrorisme, François Hollande n’en profiterait-il pas pour faire passer des augmentations fiscales impopulaires ? Par exemple, il est désormais prévu...
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Réformer les réformes…
L’entreprise, lorsqu’elle souhaite atteindre un objectif, doit obligatoirement s’adapter aux fluctuations du marché pour offrir un produit ou un service correspondant aux attentes des consommateurs.
Si les dirigeants d’entreprise ont compris que l’essentiel de leur activité est obligatoirement lié aux attentes du marché, ils doivent désormais faire face, malheureusement de plus en plus souvent, aux décisions législatives dénuées de bon sens économique. La France est un ancien pays industriel où étaient employés de nombreux ouvriers. Au vu de son coût, l’ouvrier français est en voie de disparition car la concurrence mondiale ne permet plus à notre nation de créer ce type de contrat. La politique keynésienne fonctionnerait parfaitement, si et seulement si, la France avait encore cette forte industrie. Ce n’est plus le cas. L’industrie ouvrière se trouve aujourd’hui en Chine, en Inde, en Europe de l’Est… pour la majorité des cas. La vision que portent les politiques est la même que celle portée dans les années 1950. Sauf que le monde a changé. Les transports des biens et des marchandises ne représentent plus une contrainte mais plutôt un atout. Le résultat ? Mener une politique orientée majoritairement vers une augmentation de la consommation des ménages en voulant leur faire croire qu’ils retrouvent « enfin » du pouvoir d’achat n’enraye plus la perte de l’emploi en France ; bien au contraire, ce système contribue...
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La plénitude électorale
Vous, les acteurs de la vraie économie, ne vous laissez pas piéger une fois de plus par des promesses et des visions angéliques des candidats aux prochaines élections régionales.
Nous sommes des chefs d’entreprises, des décideurs, et surtout les principaux acteurs de la fiscalité… Les entreprises créent des emplois tous les jours et font tourner la machine des finances publiques. Sans entreprises, il n’y a pas d’économie. C’est pourquoi, il est de moins en moins supportable, lors de campagnes électorales, de constater la stigmatisation des électeurs. Soit, vous êtes de droite, soit vous êtes de gauche : ce temps est révolu ! Personnellement, je ne suis ni de droite, ni de gauche… je suis pour une politique économique cohérente et favorable à notre région ! Malheureusement, de moins en moins de citoyens s’intéressent réellement aux programmes de nos candidats et n’entendent que les promesses qui leur conviennent. Vous le savez tous, les vraies promesses, en faveur d’une bonne économie, ne sont jamais tenues.
Bien entendu, au final, il faut voter et nous devons comme tous les votants, faire notre choix. Néanmoins, posons-nous la bonne question : qui est réellement le candidat le plus valable pour offrir à La Réunion la meilleure voie économique afin que les entreprises puissent se développer, puissent obtenir...
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La fixation salariale
La manoeuvre des gouvernements consiste à compliquer volontairement les choses pour faire passer de nombreux objectifs, dans cette brume d’embrouilles incompréhensibles, pour de la création d’emplois. Le principal problème, tout le monde est d’accord, c’est de favoriser la création d’emplois. François Hollande a utilisé toutes ses cartouches avec ses dizaines de milliers d’emplois « avenir » dont les maires de son parti en ont signé un maximum avant les municipales. Désormais, cette stratégie est mise à mal avec la perte d’une majorité de mairies qui n’obéissent plus au chef de l’État dans sa quête d’une politique compréhensible qui s’est avérée inefficace au vu des chiffres des augmentations du nombre de chômeurs en France. C’est un fait et toute personne ayant encore l’audace de penser que notre président est un merveilleux stratège, tacticien accompli ou encore un homme d’une intelligence extrême, ne peut contester son désastre en matière économique. Pourtant, les choses simples sont possibles pour favoriser la création d’emplois, mais pas que, pour aussi redonner de la confiance, du dynamisme et surtout pour requinquer l’optimisme chez les entrepreneurs existants et donner l’envie à bon nombre de chômeurs de se lancer dans une entreprise…
La nouvelle édition du Mémenbat, le guide du bâtiment et des travaux publics de La Réunion est disponible sur :
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La fixation salariale
La manoeuvre des gouvernements consiste à compliquer volontairement les choses pour faire passer de nombreux objectifs, dans cette brume d’embrouilles incompréhensibles, pour de la création d’emplois. Le principal problème, tout le monde est d’accord, c’est de favoriser la création d’emplois. François Hollande a utilisé toutes ses cartouches avec ses dizaines de milliers d’emplois « avenir » dont les maires de son parti en ont signé un maximum avant les municipales. Désormais, cette stratégie est mise à mal avec la perte d’une majorité de mairies qui n’obéissent plus au chef de l’État dans sa quête d’une politique compréhensible qui s’est avérée inefficace au vu des chiffres des augmentations du nombre de chômeurs en France. C’est un fait et toute personne ayant encore l’audace de penser que notre président est un merveilleux stratège, tacticien accompli ou encore un homme d’une intelligence extrême, ne peut contester son désastre en matière économique. Pourtant, les choses simples sont possibles pour favoriser la création d’emplois, mais pas que, pour aussi redonner de la confiance, du dynamisme et surtout pour requinquer l’optimisme chez les entrepreneurs existants et donner l’envie à bon nombre de chômeurs de se lancer dans une entreprise…
Innover est-il encore possible ?
Comment innover si les gouvernements successifs multiplient sans cesse les normes ? Comment innover si vous ajoutez aux normes françaises celles de l’Europe ? L’innovation est quasi impossible dans de nombreux secteurs ! L’innovation signifi e inventer. Inventer signifi e créer des produits inexistants. La France avec Léonard de Vinci — cet illustre personnage qui était à la fois artiste, scientifi que, ingénieur, inventeur… — bravait les interdits pour offrir une nouvelle ère artistique, une nouvelle façon de l’exprimer et surtout une liberté d’expression totale dans la création. À l’époque, les inventions et les découvertes n’étaient pas forcément appréciées, par l’Église notamment, et l’Histoire montre que François 1er a su protéger et encourager le grand artiste contre les foudres du conformisme. Imaginez également si Johannes Gutenberg avait dû inventer l’imprimerie en appliquant les normes d’aujourd’hui… l’imprimerie n’existerait tout simplement pas. Le monde aurait-il connu la révolution industrielle telle que nous la vivons ? Certainement pas ! De nos jours, la situation est inversée...
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Une éducation à émanciper
Au moment où il existe une polémique sur une nouvelle réforme des collèges, nos représentants ont perdu la notion la plus essentielle, celle de travailler pour réussir. Autrefois, lorsqu’un élève avait une mauvaise note, ses responsables, ses parents, ses éducateurs… le pressaient de faire ses devoirs et de devenir plus sérieux, s’il voulait réussir à obtenir son premier diplôme. C’est un principe naturel qui était enseigné à l’école, mais quand les professeurs sont devenus des responsables politiques, ce n’est plus le même refrain, et, a fortiori, plus du tout le même résultat !
Imaginons qu’un élève obtient une note de 8 sur 20. Bien… peut mieux faire. S’il se met au travail, s’il s’organise pour faire ses devoirs et s’il se concentre pour comprendre… tous les professeurs de l’Éducation nationale peuvent le confirmer, cet élève obtiendra un meilleur résultat. Donc, appliquer une méthodologie naturelle consistant à travailler pour réussir est l’une des clefs les plus importantes vers de bons résultats. Si malgré ça, et après être certain que les efforts n’aboutissent plus à une évolution de l’amélioration de la note, cela signifi e généralement que l’élève est arrivé au maximum de ses capacités et qu’il doit s’orienter vers un cursus adapté à ses possibilités. Mon dieu, que c’est logique tout ça ! Si on applique ce principe, très naturel, et que l’on imagine que la France est un élève dans la classe Europe, que le principal de l’établissement est président de la République et que ses ministres sont les professeurs, la logique d’une amélioration de la note par le travail est totalement arrangée derrière une façade de multiples faux-semblants...
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La nécessaire flexi-mobilité !
Pour donner l’envie de créer des emplois aux entreprises, il est impératif de lever les contraintes, pas au niveau de l’embauche mais bien au niveau de la séparation !
Pour embaucher, c’est simple, il suffit de faire une déclaration. C’est un seul et unique document qui vous engage pour une période. Simple et efficace. Donc, le problème de la création d’emplois ne se situe pas dans les formalités d’embauche mais plutôt dans celles de la rupture. Comment un chef d’entreprise d’une petite et moyenne entreprise (PME) ou d’une très petite entreprise (TPE) peut savoir si la personne qu’il embauche sera parfaite pour le poste ? Il a pour lui l’application d’une période d’essai. Lorsque celle-ci n’est pas concluante, il peut se séparer de la personne ne convenant pas au poste. Rien que pour cette période et quel que soit le contrat proposé, il est obligatoire de fournir de multiples papiers administratifs qui ne se résument plus à une simple feuille comme lors de l’embauche. Il faut fournir une attestation, un certificat de travail, un reçu de solde de tout compte et un bulletin de salaire, c’est le strict minimum. S’il s’agit d’une rupture conventionnelle d’un salarié, qui n’est plus en période d’essai et avec lequel vous réussissez à maintenir un dialogue, il faut rajouter dans la procédure de séparation des entretiens, un courrier en lettre recommandée avec accusé de réception à la Direction des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DiECCTE)…
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Qui endette la France ?
L’économie de la France est toujours en déficit. Ce qu’il faut préciser, ce n’est pas le « pourquoi ?» mais plutôt le « qui ? » crée cette situation.
Le fonctionnaire ne peut pas dire, ni prétendre, ni même affirmer qu’il ne coûte rien. Son salaire, ses primes, sa sécurité de l’emploi, ses avantages… sont payés avec les deniers issus des entreprises. Et de l’autre côté de la barrière, vous, les chefs d’entreprises, vous, les salariés du privé, pouvez-vous croire un instant que vous êtes à l’origine de la dette française et de ses constantes augmentations ? Je vous l’affirme, le secteur privé n’est en rien responsable du moindre euro de déficit des finances publiques. Les responsables sont uniquement les politiques au pouvoir au travers leurs errances décisionnelles. Qui emprunte de l’argent au nom des Français sans leur demander leur avis pour appliquer une « meilleure » stratégie économique qui n’a en réalité jamais fonctionné ? Qui engage la responsabilité financière de la France sans en discuter avec les contribuables ? Qui mise sur l’épargne des Français sans les avertir ? Ou encore, qui cautionne l’argent se trouvant sur votre compte bancaire ? Comment, dans ces circonstances, peut-on encore avoir le culot d’affirmer que le secteur privé doit payer davantage pour les décisions non concertées et sous l’égide d’une solidarité inexistante envers le peuple de travailleurs français ? Le plus terrible est qu’il existe encore des personnes tenaces survivant dans un contexte anti-patrons(nes) français travaillant honnêtement dans un contexte hyper stressant car personne ne sait jamais vraiment la température de la douche fiscale qui va être appliquée sur l’activité économique des entreprises...
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Escapade, Mémento du Tourisme est le guide des loisirs et de la détente de La Réunion.
Le fonctionnement tue l’emploi
La limite des dépenses en frais de fonctionnement des services administratifs a-t-elle été atteinte ?
En 2006, les dépenses de personnels des collectivités locales de notre France étaient de 40,7 milliards d’euros. Déjà, à l’époque, les débats existaient sur les comparaisons avec les pays européens voisins. En 2010, le livre « Absolument débordé ou le paradoxe du fonctionnaire » dénonçant l’overdose d’inactivité, était un récit criant de vérité sur l’activité au sein de services publics ; pourtant, la contradiction étant le sport cérébral favori national, le montant de cette dépense est en constante augmentation et avait, l’année de la sortie de ce livre, dépassé plus de 50 milliards d’euros. Il y a quelques semaines, un reportage télévisé sur l’activité du ministère de l’Économie a mis en avant des bureaux fermés et des fonctionnaires fantômes...
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Spécial Madagascar 2015
L’entreprise doit cesser de subventionner l’État !
Lorsque l’on parle de subvention, on imagine obligatoirement un système à sens unique qui laisse croire que seul l’État est le bienfaiteur de l’entreprise. Pour cela, d’innombrables moyens ont été inventés comme les niches fiscales, les emplois aidés ou encore divers abattements, avantages… Les gouvernements ne cessent de répéter qu’ils font beaucoup pour les entreprises et cela représente des milliards d’euros… Vous connaissez parfaitement la rengaine.
Comment calculent les responsables gouvernementaux ? En schématisant, les montants des subventions allouées sont comparables à des « remises » et sont des décisions prises par des politiques. Comme nous le savons, la France n’a pas les moyens de ses ambitions. Son économie est déficitaire depuis de trop nombreuses décennies et cela à cause des décisions politico-économiques prises à des fins électorales. La réflexion immuable politique est : comment faire croire qu’il existe une augmentation des subventions en faveur des entreprises et imaginer un budget en augmentation afin de démontrer que l’État est impliqué pour soutenir leur activité et non pas pour ponctionner encore l’activité des créateurs de richesse ? Le principe est assez simple. Lorsque l’entreprise subit l’imposition d’une augmentation...
L’harmonie de vos envies et le bien être d’être avec celle ou celui qui vous convient ne doit pas être un luxe mais une priorité. Satisfaire vos désirs, la volonté d’avoir un moment agréable et le plaisir d’obtenir votre excellence sont des moments de conforts qu’il est nécessaire d’assouvir avec passion. Laissez envahir votre volonté de bonheur afin d’atteindre l’objectif principal d’une vie, celui de vous permettre d’accéder à la joie d’éprouver la concordance des plaisirs selon vos désirs.
L’inexpugnable intelligence
L’entreprise semble, enfin, devenir doucement une qualité en France. Les discours sont prononcés, reste à les concrétiser par des actes en cohérence. Ce qui ne semble pas du tout à l’ordre du jour.
La confiance ne peut jamais exister sur des malentendus. Depuis des années, les entreprises payent des taxes pour améliorer la vie de nos concitoyens. Pour autant, aucune taxe sur les salariés de la fonction publique n’est prélevée pour remercier les entreprises d’exister. Il n’est pas question d’avantages, d’aides ou de subventions qui sont les uniques moyens d’excuser les décisions des augmentations ou de créations de nouvelles taxes parce que l’ambiance au sommet de l’État oblige à une certaine fermeté économique, qui, par lâcheté, s’oriente inexorablement vers une ponction monétaire supplémentaire sur les forces vives plutôt que sur celles obscures des dépenses publiques beaucoup trop importantes. Pourtant, des économies de dépenses étaient acceptées comme le jour de carence appliqué à la fonction publique qui a vu pendant sa mise en place une remontée spectaculaire de la santé de nos salariés du secteur public. Cela faisait économiser plus de 200 millions d’euros par an et par jour de carence. Alors, plutôt que d’avoir la volonté d’aligner le système du public sur celui du privé, François Hollande a préféré abolir cette mesure...
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La spoliation du secteur privé par celui du public
Prenez les chiffres. L’ensemble des cotisations, des taxes… payé par les entreprises et les salariés du secteur privé. Qu’obtenez-vous ? Le PIB de la France hors travail au noir. Il n’y a pas besoin d’extrapoler, l’ensemble des contributions du secteur privé est très largement supérieur à l’ensemble des dépenses en faveur du secteur privé. Le problème est que cet argent issu de l’activité privée devient de l’argent public très mal utilisé. Le montant de l’argent alloué pour le fonctionnement du service public, par exemple, devrait correspondre à celui récolté pour, au minimum, équilibrer les comptes, et, cela même en intégrant l’idée absurde qui nous conduit sans aucun doute vers une faillite ou un défaut de paiement, que le secteur public ne doit pas faire de bénéfice. Du coup, comme le service public vit au-dessus de ses moyens car il ne vit que sur des prévisions toujours trop optimistes, l’exécutif n’a pas d’autres choix que...
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L’archaïsme des seuils
Les chefs d’entreprises vivent au rythme de la modernité. Ceux refusant de se mettre au niveau pour obtenir de meilleures optimisations de temps et de qualité de leur travail sont certains de constater une baisse de leur chiffre d’affaires et cela même pour les entreprises les plus traditionnelles.
Vous ne pouvez pas ne pas l’avoir entendu tellement on vous le répète à chaque discours politique qu’il faut moderniser, qu’il faut innover, qu’il faut des prix compétitifs… Beaucoup de chefs d’entreprise ne sont pas d’accord car ils ont investi et offrent déjà cette modernité. Mais c’est quoi leur modernisation ? C’est avoir une machine qui produise plus ? C’est investir pour vendre moins cher ? À quoi cela sert si une entreprise répond correctement aux demandes ?
Toute la journée, les conseils pleuvent provenant de toute sorte de gens qui n’ont jamais géré d’entreprise et qui ont l’audace de nous apprendre notre métier simplement en regardant des documents de synthèse. Les raisons de ce manque de modernité ne se trouvent ni dans le management, ni dans les outils des entreprises et encore moins dans l’innovation de leur produit. Non, il se trouve dans la gestion globale de notre système administratif...
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Des engagements aux perspectives
La différence entre celui qui travaille pour gagner de l’argent afin d’honorer toutes ses obligations administratives, fiscales, monétaires… et celui qui se fait élire pour subvenir à son besoin de pouvoir, est que l’un, s’il ne respecte pas ses engagements, ferme boutique, alors que l’autre transforme ses engagements en perspective !
Il n’y a pas plus dangereux que celui qui ne sait pas compter ou qui confond chiffre d’affaires et bénéfice dans le monde du patronat. La charge de travail d’un chef d’entreprise est immense lorsque quelqu’un décide de créer son activité et devenir son propre patron pour acquérir une certaine liberté d’actions, de décisions… avec pour objectif d’améliorer son confort, si cette idée existe encore car elle est sur le point de disparaître chez les futures générations. Aujourd’hui, un dirigeant d’une petite et moyenne entreprise est submergé d’obligations administratives. Il doit fournir chaque année de plus en plus de renseignements et doit désormais en plus vérifier le montant de ses taxes parce que le système est devenu tellement compliqué que même les agents ne sont plus à l’abri d’erreur de calcul. Cette responsabilité de chef d’entreprise a-t-elle un statut avantageux ? Absolument pas ! Le chef d’entreprise n’a en contrepartie...
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Votre sang en cadeau !
Imaginez que vous n’ayez pas le choix, vous avez l’obligation de donner votre sang. C’est pour sauver des vies, pour aider des personnes malades ou encore pour être solidaires car il faut créer du stock afin de subvenir aux besoins des urgences médicales.
Tout le monde sait, sans être un professionnel de la santé et sans avoir fait la moindre année en études de médecine, que lorsque l’on prend trop de sang à une personne, elle peut en mourir car cette personne ne peut pas donner plus que ce qu’elle a besoin. Nous savons tous aussi qu’une personne ayant donné son sang doit avoir un temps de repos pour repartir sans encombre car ce prélèvement fatigue l’organisme humain. Si la tentation de prendre trop de sang, qui devient de plus en plus grande parce qu’il n’y a pas assez de donneurs, a le dessus sur la santé, les problèmes vont se multiplier et cela va créer inévitablement une désorganisation qu’il faudra résoudre en urgence. La première solution est de réinjecter du sang pour que le donneur puisse survivre. Imaginez le spectacle : un donneur avec d’un côté une seringue dans les veines prélevant son sang et sur le même donneur à l’autre bras, une autre seringue lui injectant un autre sang pour qu’il ne meure pas. Est-ce acceptable ? Bien sûr que non ! Est-ce que l’organisme peut tolérer longtemps cette situation ? J’en doute. Pourtant, cette image d’une personne transfusée de tous côtés pour qu’elle puisse rester en vie dans le but de toujours lui prélever une partie de sa production sanguine, est celle du monde de l’entreprise en France. Non, je n’exagère pas. C’est exactement la situation de votre entreprise actuellement...
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Votre sang en cadeau !
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L’entreprise est le vrai amortisseur social
Dans ce contexte actuel, créé par les politiciens parisiens au pouvoir, l’entreprise est peinte comme quelque chose de tragique. Esclavagiste pour les uns, ultra capitaliste pour les autres, antisociale pour bon nombre et que sais-je encore…
Le résultat de cette débâcle adverbiale, très à la mode depuis que François Hollande est arrivé au pouvoir, est une mentalité de travail atone avec une sorte de sécurité morale pensant que la nation va de toute façon soutenir le non-travail. En clair, ce gouvernement donne la possibilité de vivre sans travailler. Ce qui provoque, sous couvert d’égalité sociale, un fossé entre les salariés payant de plus en plus d’impôts sur leur revenu et un certain nombre de « chômeurs » sachant très bien calculer leurs allocations pour obtenir autant voire plus avec les avantages que ceux allant au bureau chaque jour de la semaine. Et cela sans évoquer les nombreux salariés titulaires de la fonction publique qui démontre que leur seule force est leur nombre. Cette masse est le moyen d’obtenir toujours plus au détriment de la dette nationale que ces mêmes salariés creusent sans complexe, ni même conscience. On ne peut que calculer chaque année, depuis des décennies, l’ampleur des dégâts au niveau de la confiance, des emplois, des encaissements fiscaux, du travail au noir… Les jeunes Français pensent qu’ils peuvent vivre sans travailler.
Cette nouvelle génération arrive sur le marché du travail après avoir été persuadée de faire de longues études, pour retarder leur arrivée sur le marché le plus tard possible, et pense ainsi choisir leur métier. L’insensé est que personne ne s’adapte à la demande du marché. Tout le monde arrive avec le même savoir et dès que l’entreprise exprime des souhaits qui deviennent des exigences au vu de la dégradation de l’économie, les syndicats crient, les politiques écoutent et les entreprises subissent l’immobilité économique nationale...
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Ne plus opposer l’intérêt collectif et le profit
Le monde économique actuel réside sur le fait que l’individu est un consommateur agissant directement sur l’activité des entreprises qui produisent pour obtenir un gain, c’est-à-dire un profit. Le service public gère et doit régler au travers ses administrations et sa législation l’intérêt collectif sans aucun bénéfice financier. Pour obtenir une harmonie d’une nation, il ne faut surtout pas opposer les profits d’une entreprise à l’intérêt collectif. Dans une économie saine, les politiques ont le devoir de protéger leurs marchés, leurs citoyens, leurs intérêts. Pour cela, l’État doit réguler son marché intérieur pour favoriser les échanges, la consommation, l’exportation, les transports, la sécurité, la justice…
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Un pacte d’irresponsabilité est nécessaire !
En France, l’entreprise est généralement la personne morale la plus attaquée dès qu’un problème économique apparaît. En terme de choc de simplicité, les «taxeurs» sont à la pointe de la technique de remplissage de préjugés visant principalement le monde du secteur privé pour faire passer toute sorte de doctrines concernant l’activité des entreprises dans l’unique objectif de nier la réalité est que l’entreprise est le seul carburant qui alimente le moteur des finances publiques.
Il y en a, malheureusement de plus en plus, qui par manque de conviction, de charisme ou, le plus souvent, pour détourner l’attention de l’inexistence de leur action, ou encore de leur manque d’initiative, trouvent toujours le moyen de se livrer à bon nombre de vindictes contre les entrepreneurs. Leur démagogie consiste à démontrer que l’entreprise serait la cause des déficits publics. Qu’entreprendre serait trop coûteux pour le contribuable car selon ces fossoyeurs de la République avides de bulletins de vote, les entreprises «ne feraient pas assez d’efforts en terme de création d’emplois». Leur solution ?
Supprimer les aides aux entreprises ! Ce genre de discours politisé qui assimile dans le même temps les salariés à des «esclaves», des «exploités» ou encore des «travailleurs» d’un monde sans pitié qui ne demande qu’une chose horrible : être rentable. Notez que la notion du «travailleur» employée par ces politiques exclut sournoisement le chef d’entreprise laissant planer un doute sur l’appartenance des dirigeants à la classe des travailleurs. Mais, la vraie question est de savoir si un état ou tout autre système économique peut vivre sans entreprise et, donc, sans chef d’entreprise. Je vous la fais très courte : c’est impossible ! C’est comme si l’on demandait d’avoir des règles, sans respecter...
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L’hypnotique objectif du néant
Le monde de l’entreprise est mis à mal depuis des mois. Si l’objectif de retour à la croissance est sincère, il n’en reste pas moins utopique au vu des décisions gouvernementales favorisant toujours l’augmentation des dépenses de fonctionnements publiques au détriment de l’investissement productif. À l’exception de la nouvelle structure minière, qui est, à mon sens, un très bon projet et qui, si cette entreprise est bien dirigée, sera un atout providentiel pour notre pays, le reste de la politique stratégique en matière d’entreprise et par conséquent de création d’emplois, est pratiquement nul sinon sans objectif. Pourquoi ? Parce qu’à mon avis les dirigeants politiques ne savent pas ce que créer un emploi veut dire. Créer un emploi, ce n’est pas des contrats de générations, ni des contrats d’avenir, et encore moins des contrats aidés.
L’emploi se crée grâce aux besoins des entreprises pour répondre aux besoins du marché et aucune logique nationale n’a favorisé la nature même de la création d’emplois. Les résultats, par ailleurs décevants, montrent que les décisions pour lutter contre le chômage sont hors sujet sinon la situation serait...
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Mémento Spécial Madagascar
La Cour des “Contes”…
Depuis des lustres, les dirigeants politiques français luttent en faveur de l’emploi. L’objectif ultime étant le plein-emploi, toutes les stratégies y passent. Pourtant, depuis que cette lutte existe, depuis que les politiques ont décidé d’appliquer leurs solutions, depuis que les élus s’ingèrent dans l’économie, depuis que ces élites ont le remède quand ils ne sont pas en poste et déblatèrent toutes sortes de sorcellerie keynésienne à chaque campagne électorale, depuis tout ce temps, depuis toutes ces années, depuis qu’ils ont été élus la première fois il y a près de quarante ans pour bon nombre d’entre eux, et, à chaque passage aux manettes du pouvoir, la situation n’a fait que se dégrader sous couvert d’une crise qui ne trouve jamais de solutions aux travers les “représentants” du peuple. La question est de savoir pourquoi ? Pourquoi y a-t-il du chômage ? Pourquoi le nombre augmente ?
Tout d’abord, les politiques doivent cesser de faire croire. Car le politique fait croire beaucoup de choses. Qu’il inversera la courbe du chômage, tout en taxant davantage les entreprises, par exemple. Cette solution est-elle viable ? Qui a pu penser l’ineptie consistant à faire croire que plus il y a de taxes, plus il y aura d’emplois ?...
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Une rigueur dépensière !
Les gouvernements successifs sont de plus en plus dépensiers. Pour preuve, il suffit de constater qu’en 2011 le budget de dépense de l’État était de 365 milliards d’euros, puis en 2012, il est passé à 374 milliards d’euros. Pour 2013 : le minimum prévu, fin 2012 par les lois de finances, est une dépense de 378 milliards d’euros. Avec un dérapage constaté de 3,5% à la fin septembre, on peut s’attendre sans surprise à une dépense en 2013 proche des 390 milliards d’euros. C’est environ 25 milliards d’euros de plus par rapport aux dépenses réalisées en 2011 soit plus 1 milliard d’euros de dépenses publiques supplémentaires par mois pour les 24 derniers mois. Les ministres appellent ça dans leur langage de technocrates : la rigueur budgétaire !
Tous les chefs d’entreprises aimeraient pouvoir s’offrir autant de “rigueur”, mais s’ils géraient leur prévisionnel comme les surdiplômés de l’État, c’est la faillite en moins de 6 mois. Mis à part les diplômes obtenus il y a des lustres, comment peut-on gérer aussi mal les finances d’un pays ? La réponse est qu’entre les propagandes électorales et les négociations avec les représentants de toutes sortes d’entités comme par exemple les syndicats d’enseignants ou les représentants syndicaux d’ouvriers, il ne reste plus grand-chose à économiser…
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Le guide de la communication de l'océan Indien. Agence, studio, mailing, régie... retrouvez les plus compétentes entreprises du secteur.
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Entrepreneur : l'esclave de la République !
Il y en a qui dépensent et d'autres qui payent. Le dépensier le fait pour ses intérêts avec une stratégie personnelle tout en faisant plaisir à son entourage. Les gouverneurs de notre beau pays donnent les ordres sous forme de lois, de décrets et encaissent en fiscalisant de plus en plus le travail qu'ils n'accomplissent pas. Spectateurs et non acteurs du travail pour la richesse nationale, ces "Ténardiers" dépensent sans même remercier. "C'est un devoir de patriotisme économique", déclarent-ils en haut de leur forteresse dans leur bureau feutré.
Ne pas voir ou faire semblant de se préoccuper de l'activité économique, ces locataires du pouvoir ne voient que leurs postes à pourvoir. Les autres sont ceux qui récoltent, ceux qui travaillent chaque jour pour nourrir leur famille. Ces travailleurs, du dimanche inclus, n'ont pas le temps de se révolter. Ils doivent travailler, tout le temps, toujours plus, pour payer plus d'impôts, de taxes, de cotisations, de frais… afin de pouvoir exercer légalement dans un pays qui n'aime que s'arranger avec l'illégalité. Tous les voyants sont au rouge et l'exode est en plein essor depuis que le Président Hollande a décidé de combattre l'entreprise et les "riches" en les taxant d'une manière outrancière...
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La vérité de La Palice
Souvenez-vous… La dépense publique 2013 a été calculée avec une prévision de croissance de 1,2 % à la fin 2012. Une prévision que l’on sait mensongère aujourd’hui. Ce gouvernement espère désormais 0,1 % au final. Pour autant, a-t-il révisé ses dépenses publiques à la baisse pour cette fin d’année ? NON ! J’admets que l’erreur est humaine mais un écart de 1,1 %, ce n’est plus une erreur mais de l’incompétence ! Que penser de l’annonce de 0,9 % pour 2014 ? Ce sont les mêmes conseillers qui prédisent aujourd’hui cette croissance pour l’année prochaine afin de justifier leurs dépenses politiciennes. Ne vous leurrez pas, les dépenses des gouvernements se font uniquement par rapport à un bénéfice électoral. De ce fait, jamais d’économies ne se feront au niveau des avantages des fonctionnaires qui sont aujourd’hui beaucoup trop nombreux et pèsent donc trop pour réaliser des dépenses publiques plus intelligentes et plus saines pour la nation. Donc, comme l’État ne peut pas économiser sans fâcher une bonne partie de ses salariés, tous préfèrent augmenter les impôts plutôt que de diminuer les dépenses inutiles et non rentables. C’est pour cela que nous assistons tristement à de plus en plus de dysfonctionnements des discours des ministres. La vérité de La Palice est en permanence utilisée chez nos locataires du pouvoir actuel. Un exemple : Pierre Moscovici a déclaré : «la dette atteindra un maximum, et puis elle va décroître». Une très belle phrase, sauf qu’il ne précise pas le montant maximum de la dette, ni quand celle-ci va commencer à décroître. Mais rassurez-vous, la diminution de l’augmentation a commencé. Du coup, le simple fait de ne plus avoir confiance dans les discours politiques provoque une vérité. C’est un désastre car l’attitude des ministres en place décrédibilise...
Le BTP dans l’attente d’une vraie relance
Touché de plein fouet par la crise depuis octobre 2008 avec l’effondrement d’un tiers de son activité, le secteur du bâtiment a du mal à remonter la pente. Après une stabilisation en 2010, l’année 2012 n’a pas été terrible et l’année 2013 ne s’annonce pas miraculeuse. Pourtant, le potentiel de développement est bien réel avec un besoin de 9 000 logements neufs par an. Les incertitudes sur le maintien des dispositifs de défiscalisation ont rendu les investisseurs fébriles. Avec l’annonce du statu quo sur le logement social et le démarrage en fin d’année du chantier de la Nouvelle route du littoral, les professionnels du BTP espèrent retrouver un nouveau souffle...
Où est la panne de la création de l’emploi ?
Avant d’expliquer pourquoi la création d’emploi est négative ou bien savoir comment faciliter cette création, il serait temps que les dirigeants politiques se demandent QUI peut créer des emplois ?
Nous savons que seules les entreprises sont capables de créer des emplois. Plus elles sont petites et plus la possibilité de créer l’emploi est possible. C’est pourquoi beaucoup de calculs politiciens se mettent en branle avec des statistiques véridiques mais des scénarios économiques totalement far felus. Le problème est que les élus ne savent pas ce qu’est un emploi dans la fonction privée. Pour eux, il suffit d’embaucher pour créer de la richesse, du chiffre d’affaires… en faveur de l’entreprise. Si seulement c’était aussi simple, ce serait le paradis ! C’est vrai que les embauches faites par les élus n’ont rien à voir avec une quelconque notion de richesse, elles sont même à l’opposé de cette logique pour les administrations car les politiciens n’ont toujours pas compris que plus ils embauchent des fonctionnaires plus ils appauvrissent la France et ils augmentent la dette nationale pour en faire un boulet qui ne sera jamais remboursé. Alors ils préfèrent voter des taxes...
La suite de l'édito dans le Mémento N°407
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Travailler va-t-il devenir illégal ?
Travailler est-il encore nécessaire en France? Peut-on vivre sans effort? L’avenir appartient-il à ceux qui ne veulent rien faire?
La France s’enfonce inexorablement dans un avenir économique de plus en plus faible. La justice sociale des rémunérations passe-t-elle par celle du temps de travail ? L’avenir du travailleur récompensé par ses efforts ne semble plus être un objectif gouvernemental. La favorisation de celui qui ne fait rien au détriment de celui qui travaille est-elle devenue un argument politique ? Au vu de l’accroissement du nombre de chômeurs, il faut malheureusement croire que oui.
Sous couvert de justice sociale, le message politique est très clair : lorsque vous travaillez trop, vous serez dans l’obligation de redistribuer votre surplus d’effort pour le donner à celui qui travaille peu ou pas. La solidarité du partage de ce temps de travail va indiscutablement fatiguer ceux donnant beaucoup, qui sont toujours les mêmes, et force est de constater qu’au final, malgré l’augmentation de leurs cotisations en faveur de cette solidarité, cela ne produit aucun dynamisme, ni remerciement, ni honorabilité auprès de ceux qui se laissent vivre sans aucune obligation de participation à la vie collective d’un pays. Ont-ils tort de profi ter du système ? Absolument pas ! Pourquoi user ses muscles dans un travail lorsque quelqu’un d’autre s’en charge ? Ne rien faire est tellement facile et la mode actuelle est à celui qui en fait le moins. Pis, “si tu travailles, t’es qu’un con”, peut devenir le slogan de la future jeune génération de chômeurs tant le sentiment de fierté de cette situation s’accroît comme celui des voyous fi ers d’être allés en prison...
La suite de l'édito dans le Mémento N°406
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Mise en examen de François Hollande
L’évidence est flagrante ! Les commissaires européens ont mis en examen le Président de la République afin de lui signifier que l’Europe doit désormais contrôler la stratégie économique et fiscale de la France pour lui éviter le “choc” de l’incompétence de son Gouvernement qu’il a mis en place depuis plus d’un an.
Cet examen est le résultat du déni gouvernemental face aux problèmes économiques français. La récession est une réalité, toutes les études non françaises le prouvent. Si les Français veulent la vérité sur les comptes de leur nation, ils doivent lire les journaux étrangers car en France même certains journalistes de la capitale sont aveuglés par l’incompétence ministérielle. Les commissaires ont-ils voulu se rassurer sur l’état mental au niveau fi scal du représentant de la France ? Il faut croire qu’il y avait de très bonnes raisons de faire passer cet examen au Président de la République Français.
Pourquoi ? Malgré les chiffres, les réalités, les constats… le Gouvernement persiste à croire que leur politique d’austérité est bien orientée. Pourtant, aucun effet bénéfique pour la France existe depuis que François Hollande est au pouvoir. Pire, Pierre Moscovici, ministre de l’économie, ne cesse de se dédouaner des difficultés de la France déclarant perpétuellement que cette situation est un héritage. À aucun moment le ministre évoque des solutions viables dont il serait à l’origine. À aucun moment, il rassure les entreprises sur l’avenir de leur future cotisation, taxe… À aucun moment, il n’endosse de responsabilité sur un quelconque sujet ou esquisse ne serait ce qu’un projet économique. Ce ministre donne l’impression d’être un responsable de rien ! Que fait-il à Bercy ? Que fait-il de ses journées ? Peut-être est-il temps que les ministres s’intéressent au pourquoi du déclin économique Français. Je rappelle que l’Allemagne a une balance commerciale excédentaire de plus de 188 milliards d’euros pour l’année...
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Une politique économique incohérente
Alors que l’ensemble des pays européens souhaite une harmonisation fiscale, Jean-Marc Ayrault préfère prendre exemple en Suisse ! La politique économique fiscale du Gouvernement menée par Jean-Marc Ayrault est en opposition avec celle voulue par l’Europe. Que souhaite réellement la France ? Etant un des pays fondateur de l’Europe, nous pouvions croire que c’est vers cette Europe que se dessinerait l’avenir de l’hexagone. Avec l’annonce de vouloir établir une limite sur les rémunérations des grands patrons en prenant exemple sur la Suisse, le Gouvernement envoie un signal très incompréhensible. Pourquoi vouloir cette mesure, soudainement, alors qu’aucune polémique, ni aucune actualité n’existe aujourd’hui sur ce sujet ? Souhaite-t-il détourner l’attention ou part-il à la recherche de quelques points pour améliorer sa popularité perdue auprès des Français ? Les deux mon capitaine ! Le Gouvernement semble incapable de mener une politique pour redynamiser positivement l’économie alors, comme à leur habitude, le “riche” que les socialistes confondent trop souvent avec le mot « patron » est pris à partie.
Cela devient carrément de la haine à ce niveau tant ces “riches” ou ces “patrons” semblent spolier la France de revenus qui pourraient être redistribués au travers une solidarité économique, qui en réalité...
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L’amnistie syndicale est une honte républicaine !
Vous pouvez devenir délinquant et agir comme un voyou… seulement si vous êtes syndiqué !
L’amnistie syndicale voulue par les socialistes est l’exemple flagrant d’une inégalité de traitement envers l’ensemble des Français que souhaite le Gouvernement. Mettre en opposition les salariés contre le patronat est le rôle des syndicats de salariés. Si un patron se défend en répliquant à l’agression physique d’un syndicaliste par une réponse similaire, il est condamné et conspué par l’ensemble de la classe politique, lui intimant le conseil de créer un dialogue plutôt que de sombrer dans le jeu de ses opposants l’incitant à employer la manière forte. Sauf qu’aucun chef d’entreprise n’a jamais eu, à ma connaissance, une amnistie quelconque pour un tel acte de violence.
« La justice est indépendante » ne cessent de déclarer les politiciens, mais cette indépendance s’arrête aux portes des violences syndicales. Le Gouvernement a créé une justice à plusieurs vitesses ! Désormais, les syndicalistes délinquants peuvent compter sur le soutien des socialistes pour continuer à abattre les entreprises face à leur pouvoir de nuisance. Honte sur la République ! Rien ne peut m’interdire de penser que cette amnistie serait acquise grâce aux dernières élections présidentielles. Je suis convaincu qu’un pacte entre un syndicat et le candidat Hollande était le socle de cette mesure. Pourquoi ? Parce que des syndicalistes, fait rare lors d’une élection présidentielle, ont appelé à voter pour un candidat. C’est le cas de Bernard Thibault, ancien secrétaire de la CGT, en faveur de François Hollande. La récompense… une amnistie sur les délinquants syndiqués. Au départ, cette loi devait concerner les faits avant mai 2012 pour être finalement étendue jusqu’à février 2013.
Où est le droit pour les responsables d’entreprises séquestrés ?...
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Numéro spécial Mémento du Tourisme, Ile de la Réunion
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Vers une VIe République
Nous sommes dans un tournant de l’activité mondiale. L’avenir économique de la France, en ce qui nous concerne, et du monde en général, est soumis qu’à un seul baromètre, celui du prix du pétrole. Cette seule ressource naturelle encore disponible dirige l’économie mondiale. Les premiers producteurs mondiaux ont compris que le changement s’opère et qu’il est désormais nécessaire de muter leur façon d’attirer les capitaux vers leurs territoires en vu de la pénurie du pétrole annoncée d’ici à 50 ans.
Les acteurs du pouvoir ne peuvent plus se passer de cette manne financière gigantesque taxée à des taux exorbitants pour subvenir aux besoins économiques des dépenses de l’État. Mais comment faire exister une économie française si cette seule ressource disparaît ? Quelles sont les solutions envisagées ? Quelles décisions prendre pour cet avenir inéluctable afin d’accompagner cette transition ? La facilité emporte un large lot de consensus pour que ces questions ne soient pas à l’ordre du jour. Cette problématique n’atteint pas nos dirigeants car cette mutation n’est pas leur problème.
La vraie question est de savoir si une économie peut exister sans pétrole ? La réponse est : OUI ! La découverte et l’utilisation du pétrole ont révolutionné le XXe siècle. Pourtant, l’économie d’un pays et du temps des anciennes civilisations, existait avant l’ère du pétrole, il est certainement temps de se le rappeler. Que peut-on faire sans pétrole aujourd’hui ? Pratiquement rien. Que faisait-on sans pétrole autrefois ? Pratiquement tout et même plus encore. Un exemple : les pyramides d’Égypte ont été construites il y a plusieurs milliers d’années sans machine et notre civilisation, qui se pense supérieure intellectuellement, est incapable d’en construire une équivalente avec autant de précision et ce, malgré toutes les technologies disponibles. Que faut-il en penser ? Le pétrole a créé une fainéantise physique et intellectuelle. Si la France pense uniquement aux problématiques d’un avenir proche qui se résume à un quinquennat le plus souvent, comment notre économie pourra-t-elle faire face à la mutation mondiale ? Le constat est que certains pays ont déjà choisi cette nouvelle orientation et font d’énormes investissements pour ne pas devenir un désert sans intérêt. Qui sont-ils ?...
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Il faut supprimer le Ministère de l’Outre-Mer !
L’Outre-Mer est de plus en plus « diabolisé » en métropole. Pourquoi ? Parce que l’on évoque que très rarement les atouts de ces territoires français. Lorsque le Gouvernement discute de défiscalisation par exemple, l’ensemble des acteurs économiques considère cet avantage fiscal comme trop avantageux et au fil des débats, laisse penser que les départements d’outre-mer sont « sur financés » par l’État et qu’ils seraient « peut-être » en partie à l’origine des difficultés fi nancières du Gouvernement. Ces technocrates prétendant avoir une science économique exacte à partir d’études et de sondages, se heurtent malheureusement à une méconnaissance de l’activité économique et sociale sur le terrain de l’Outre-Mer. D’une part, parce que pour un certain nombre de ces conseillers ne s’est jamais rendu ou s’est rendu il y a des lustres dans l’un des départements ultramarins, préférant rester dans leur sphère géopolitique située exclusivement dans la capitale plutôt qu’accepter de sortir de temps à autre de leur région parisienne afin de constater qu’il existe aussi une économie importante dans l’Outre-Mer. Certes, cela n’équivaut pas à celle de la région parisienne ou à celle de l’économie globale française mais l’Outre-Mer est bel et bien une économie réelle et doit être pris en compte dans l’ensemble des stratégies économiques et politiques de tous les ministères. Pourquoi ? Parce que...
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La Terre des enfants
Madagascar est habituellement appelée la terre des Ancêtres. La terre où il est bon d’être enterré à grands frais et, dans certaines régions, déterré avec encore plus de dépenses. Pourtant la réalité est bien là : avec 70% de la population qui a moins de 30 ans, n’est-il pas aujourd’hui le moment d’ouvrir les yeux et de se poser la question de l’avenir de nos enfants plutôt que l’éternité de leurs grands parents ?
Sans langue de bois et outrepassant les tabous anachroniques qui font tant de mal à l’économie, n’est-il pas le moment, alors que ce pays si riche reste en queue du peloton des économies mondiales, de se demander si le poids des traditions, par chefs familiaux, coutumiers et religieux interposés, n’est pas le véritable mal profond du pays ? Ce mal qui se traduit par l’investissement dans le spirituel au détriment du quotidien. Quand on met toutes ses économies dans une cérémonie traditionnelle, quitte à laisser sa famille le ventre vide des mois durant, ou quand on ne fait aucune économie productive dans l’unique but de contempler son troupeau grossir et dans l’espoir d’un passage dans l’au-delà par la Grande Porte, ne faut-il pas y voir les vraies raisons d’un sous-développement chronique ?
Bien sûr chacun y va de sa propre version, souvent schizophrène et hypocrite, pour expliquer les raisons profondes de la pauvreté. Ne voit-on pas encore aujourd’hui, plus d’un demi-siècle après l’indépendance, des soi-disant professeurs d’économie à l’Université mettre dans la tête de leurs étudiants que tous les problèmes sont dus à la période coloniale ! Comme si une parenthèse historique de 6 décennies avait modifié à jamais quelques 1000 ans d’Histoire. Mais chut, le « notable » érudit a parlé !...
Edito signé Jacques Rombi, Rédacteur Mémento Madagascar.
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Et la déflation n’existe plus !…
Le Gouvernement tente par tous les moyens de justifier une soit disant diminution des dépenses de l’État alors qu’en réalité les dépenses publiques augmentent ! L’État a prévu de dépenser, en 2012, 370 milliards d’euros. Le Gouvernement annonce, dans le cadre de la rigueur budgétaire, qu’il diminue ses dépenses de 10 milliards d’euros. Je rappelle que la rigueur c’est d’augmenter les impôts et en même temps de diminuer les dépenses publiques. Le plan finance 2013 prévoit un peu de croissance pour 2013 (+0,8%) et surprise, une dépense de l’État de…371 milliards. Un milliard de plus ! La majorité explique qu’en réalité, c’est une diminution des dépenses publiques de 10 milliards. Prend-on les Français pour des imbéciles ? Certainement pas ! Mais comment avec un milliard de dépenses en plus, l’État peut économiser 10 milliards par rapport à l’année passée ? Une partie de la réponse consiste à déclarer que ce n’est pas l’État qui va réaliser les économies, mais ce sont les collectivités locales ! Bien, super effort de la part de nos gérants !
Pour faire croire à un effort, le Gouvernement sort pour l’autre partie de son raisonnement la baguette magique de l’inflation. C’est génial cette formule inflationniste, grâce à cela vous pouvez créer de l’argent virtuel que vous ne dépenserez pas et donc vous faites des économies. L’inflation arrange beaucoup de problèmes « mathématico-politiques ». Donc, pour 2013, cette inflation providentielle serait de 2 %. Si vous faites le calcul, nous avons 370 milliards X 2 %, ça donne 7,4 milliards d’euros moins bien entendu le milliard supplémentaire de dépenses, et bien la galipette exceptionnelle de ce calcul monumentalement ahurissant est une économie de 5,4 milliards d’euros sur le budget de l’État. Elle est pas belle la vie gouvernementale ! Passer une augmentation pour une diminution, les sommets du mont de l’hypocrisie mathématique est atteint. Si l’État économise ses dépenses uniquement sur une prévision de l’inflation, pensez-vous réellement que les collectivités n’en feront pas de même ? Résultat, toutes les collectivités peuvent augmenter leurs dépenses d’un peu moins de 2 % l’année prochaine, cela équivaut à une diminution des dépenses. On économise où exactement ? Le Gouvernement pense que plus il y aura d’inflation et plus l’État économisera ? C’est vrai ! Pourquoi ? Parce que qui dit inflation dit augmentation des prix… mais dit aussi dévalorisation de l’euro et par conséquent une dévalorisation de la dette globale. Pourtant, le raisonnement du Gouvernement est contradictoire...
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Un traité en guise de règle d’or
Le traité budgétaire européen adopté est en réalité la règle d’or que ne souhaitait pas François Hollande. Malgré ses intentions et ses affirmations le Président de la République Française n’a eu aucune marge de manoeuvre pour négocier quoique ce soit. L’adoption de ce traité n’a, en réalité, pas été vraiment souhaitée par les acteurs du pouvoir car cela signifie que la France a donné son accord à l’Europe pour se faire sanctionner plus sévèrement au niveau des dérives des dépenses publiques. Malgré la volonté farouche de Jean-Marc Ayrault d’afficher une majorité sans faille à l’Assemblée nationale, ce traité a été adopté avec une très courte majorité de députés socialistes.
C’est, en réalité, une mauvaise nouvelle pour l’Elysée. Pourquoi ? Car désormais, l’Europe obligera la France a adapté ses finances et ses objectifs aux priorités européennes avant celles françaises. A partir du 1er Janvier 2013, la France ne pourra plus décider seule de ses futures dépenses. Il s’agit bien d’une perte de souveraineté. Les conséquences ? Des prises de décisions encore plus lentes et plus en adéquation avec Bruxelles qu’avec les collectivités locales. Cela pose un sérieux problème aux ministres en place car la politique menée depuis le début du quinquennat n’est pas du tout en adéquation avec celle de l’Europe. Bruxelles veut plus de compétitivité, plus de flexibilité dans le travail, plus de dynamisme dans l’investissement et surtout donner une priorité...
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La schizophrénie gouvernementale
Jean-Marc Ayrault a plus ou moins réussi son intervention télévisée. Ces paroles ont été plutôt rassurantes pour «9 ménages sur 10» selon ses propres chiffres. Il a aussi déclaré que la TVA n’augmenterait pas durant les cinq prochaines années et son Ministre Pierre Moscovici, lui, à la sortie des studios de France Télévision a confi rmé que la CSG n’augmenterait pas en 2013. Le budget des dépenses tel qui l’est actuellement semble en phase avec la rigueur nécessaire face à l’endettement et surtout à l’objectif d’atteindre les 3% de déficit français pour l’année prochaine. Sauf qu’à y regarder de plus près, il est certain que ce but ne sera pas atteint.
Tout d’abord on peut se demander pourquoi le Gouvernement est de plus en plus impopulaire auprès de l’ensemble des Français. La raison semble trop simple pour être compris par les acteurs du pouvoir en place : ils ne sont pas sincères. La sincérité créée la base de la confiance, elle est inexistante au Gouvernement actuellement. Pour gagner en popularité, il faudrait enfin que l’ensemble des Français ressent une «certaine» vérité dans les propos du Gouvernement. Le vieux pays qu’est la France est aussi le pays des vieilles traditions et la plus courante lorsque les gouverneurs ne sont plus compris est celle de la révolution. Lorsque qu’il y a de mauvais chiffres, ceux du chômage en tête, l’excuse est de plus en plus enfantine «c’est pas notre faute, ce sont les autres»...
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Guide du bâtiment et des travaux public de La Réunion. Plus de 5.000 contacts d'entreprises.
L’inaction est un ami mortel
Le changement c’est maintenant… et c’est bien vrai ! Après la crise voici la dépression qui apparaît. Après la croissance voici la récession.
Tous les calculs du Gouvernement sont à changer. Les promesses faîtes pendant la campagne présidentielle ne sont plus adaptées au
contexte économique de notre nation. Les prévisions de l’époque ne correspondent pas à la réalité d’aujourd’hui. Le Président tablait
sur une croissance de 0,5% du PIB, et cela était une prévision pessimiste, aujourd’hui elle est plus proche de 0,3% pour cette année
car les deux derniers trimestres ont eu une croissance l’une négative de - 0,1% et l’autre à 0%. Un zéro qui en réalité cache un chiffre
d’une croissance encore négative à -0,045%. La récession officielle a été sauvée à 0,005% prés ! Pourtant, la France est techniquement
en récession. Malgré ça le Gouvernement se borne à ne pas changer ses promesses pour s’adapter aux réalités économiques actuelles,
comment fera-t-il pour éviter une banqueroute ?
Pour les acteurs du pouvoir la solution est très simple...
La suite dans le Mémento du mois de Septembre abonnez-vous !
A droite toute !
L’Europe voit les relations se dégrader entre les pays. Le schéma se dessine : les pauvres contre les riches. La Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal… le tout amener par la France… cela donne la citation suivante de la part d’Angela Merkel « la médiocrité ne doit pas devenir l’Etalon en zone euro». Tous pensent qu’il ne faut pas que la Grèce sorte de l’euro et notre Président de la République, François Hollande, prospecte de nombreux pays pris dans de grandes diffi cultés fi nancières pour rallier sa volonté de créer de la croissance en créant encore plus de dettes. Je rappelle que pour un prometteur du changement, à ce niveau rien ne change depuis plus de 35 ans ! De la dette, de la dette, de la dette… et toujours de la dette… Quoiqu’il en soit, un plan de 120 milliards représentant 1% du PIB de l’Europe a été accepté pour relancer l’investissement de grandes infrastructures publiques. Est-ce une défaite d’Angela Merkel ? Pas sûr du tout ! Car la chancelière a toujours réussi à négocier très habillement ses accords. Si elle a accepté c’est qu’elle a su tirer une contrepartie très intéressante pour l’Allemagne...
Il faut sanctionner les absents !
La réalité des chiffres est bien là. Le Ministère de l’Education est le 5ème employeur mondial avec plus de 1.050.000 personnes. Ce chiffre n’inclut pas les personnels des autres ministères participant à la formation comme la défense, l’agriculture ou la santé mettant à disposition un certain nombre de leur effectif en faveur de l’Education. L’effectif offi ciel n’inclut pas non plus tous les emplois dit «précaires» servant à remplacer au pied levé les absences non prévues. Alors pourquoi cette corporation n’arrête t-elle jamais de faire croire qu’ils sont les moins bien lotis de la
République.
Je vous rappelle que le nouveau gouvernement est composé de 18 Ministères et que la France emploie un peu plus de 5 millions de fonctionnaires. Faites le calcul. Plus d’un million uniquement pour l’Education et donc moins de 4 millions sont partagés par les 17 autres Ministères (santé, défense…). Les enseignants sont des personnes importantes pour l’éducation, mais le pouvoir de leur nombre les incite à multiplier des exigences qui ne sont absolument plus réalistes. Les enseignants créent eux-mêmes leurs difficultés.
Expliquez-moi pourquoi un élève du secondaire doit aller près de 30 heures en cours, s’il ne prend pas d’option sinon c’est plus, alors que les professeurs eux c’est au maximum 18 heures ? Vous allez me dire que les enseignants travaillent chez eux pour corriger les devoirs mais personne ne veut penser à rajouter aux 30 heures de présence de l’élève en cours les heures passées à faire les devoirs chaque soir à la maison ! Donc, l’élève doit réaliser chaque semaine deux fois plus d’heures de «travail» par rapport à un professeur. Le professeur, c’est bien connu, fatigue beaucoup plus vite qu’un élève. L’élève lui n’a pas le choix car il joue son avenir et donc doit se plier aux exigences et s’adapter face aux pouvoirs de chaque « Maître » de la classe. La République accepte, pour le confort de ces fonctionnaires, de créer une génération éduquée par le stress avant même leur entrée dans la vie active. Les politiques n’arrêtent pas de demander aux entreprises d’innover...
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L’indispensable entreprise
Il est nécessaire de rappeler ce qu’est un chef d’entreprise et surtout ce qu’il représente. Pourquoi ? Parce qu’aucune administration étatique ne peut se passer des entreprises pour subvenir à ses besoins financiers. Les chefs d’entreprise sont trop souvent mis à contribution par l’ensemble des acteurs législatifs. Des taxes, il en faut, il n’y a pas de problème sur ce sujet, car un pays en a besoin pour fonctionner. Mais surtaxer les entreprises pour financer les promesses électorales des candidats, cela doit cesser ! Notre pays est endetté en grande partie à cause du dopage de l’embauche dans les administrations au début de chaque mandat électoral. Avez-vous remarqué des postes supprimés après une élection ? On parle toujours de mutation ou de mise au placard. Sauf que toutes les personnes concernées sont toujours salariées, aux frais de l’Etat et donc, aux frais du contribuable. Les nouvelles personnes embauchées, elles, accèdent directement à des revenus confortables et à un statut privilégié en remerciement de leur loyauté ou de leur soutien public durant la campagne ! Sinon, pourquoi retourneraient-ils aussi souvent leur veste ? Si ce n’est pour être aux côtés du gagnant afin de continuer à profiter du système économico-politico-démocratique financier. Vous cumulez l’ensemble des acteurs du milieu politique bénéficiant de ces largesses salariales depuis des décennies et vous obtenez une dette publique abyssale.
Trop souvent ces mêmes acteurs crient, de temps à autre, surtout pour réorienter l’actualité, qu’il faut cesser l’abus financier des chefs d’entreprise. Que les entreprises ont trop...
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Un parti politique anti-démocratique
Il existe un parti politique connu, même très connu, pourtant il n’a aucun candidat, aucune affi che, aucun siège, aucune représentativité et n’a jamais gagné une seule élection ! Ce parti politique de plus en plus populaire, réussi et ce, malgré sa totale absence, à réaliser des scores prodigieux. Des résultats qui font pâlir d’envie l’ensemble des candidats en lice à une élection. Ces mêmes candidats ne cessant jamais de changer leur programme pour courtiser les électeurs inscrits... mais sans succès !
Ce parti, extrémiste, convainc de plus en plus. Pourtant, aucun institut de sondage ne communique sur une éventuelle progression ou diminution de son score. Pire, l’ignorance totale de son existence semble être le mot d’ordre de l’ensemble des acteurs qui ne veulent pas y croire. Malgré les ornières pré-électorales de l’ensemble des partis politiques reconnus, celui méprisant tous sens politique réapparait sans cesse et sans relâche, rattrapant toujours la véritable démocratie, s’exprimant sur les soidisant multiples "choix" de candidats présents lors du premier tour d’élections.
Concernant ce parti, toute la classe politique est unanime : il faut le combattre, l’anéantir, le faire disparaître... Pourquoi ? Parce que...
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Pauvre, très pauvre future France
La France est vraiment dirigée par des fonctionnaires assis sur leur salaire garanti à vie. Pourquoi stigmatiser les riches ? Quel est ce plaisir avoué de vouloir leur faire payer très cher leur réussite ?
Ce syndrome est bien Français et l'adage "pour vivre heureux vivons cachés" est une fois de plus prouvé. La réalité, celle qui existe, pas celle des discours, ni celle des promesses et encore moins celle des ratisseurs de voix électorales, est que la plupart des riches ont réussi par la force de leur intelligence et grâce à cela ils créent des emplois.
Si une personne riche n'a plus le moindre avantage à installer sa production en France et n'a plus les moyens de rester sur une terre qui ne le remercie pas de percevoir déjà plus de 60% de ses revenus en impôts, et bien non seulement cette personne dite "riche" s'en ira mais en plus, elle partira avec son savoir-faire, son intelligence, son travail et son entreprise. Vaut-il mieux avoir un "riche" qui emploie ou plusieurs chômeurs ?
N'oubliez pas que pour quitter un pays et en même temps son imposition l'Europe est une alliée extraordinaire car la liberté de mouvement des biens et des personnes sera utilisé à très bon escient. Est-ce que le monde politique pense que les riches sont idiots ? N'ont-ils pas les moyens de partir ? Aiment-ils devenir les boucs émissaires de l'inaptitude des politiciens à équilibrer le comptes publics d'un pays en crise depuis plus de 30 ans ?
A l'instar de la peur du communisme lors des élections présidentielles de 1981, les entrepreneurs français peuvent aujourd'hui avoir peur de la justice socialiste. Cette justice, telle que présentée aujourd'hui par le candidat...
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Les syndicats ont-ils trop d’argent public ?
Le Député du nouveau centre, Nicolas Perruchot, s’est vu confier au mois de Juin dernier, la réalisation d’une enquête parlementaire sur le fi nancement des syndicats et des organisations professionnelles. Son rapport de 288 pages avec ses 29 propositions a été mis au “placard”. C’est la première fois depuis 1958 qu’un rapport parlementaire est classé “secret” pendant 30 ans.
La vérité doit être extrêmement indésirable. Pourquoi avoir commandé ce rapport alors? Est-ce une stratégie politique pour s’armerlors de négociations ? Mettre aux pas les fauteurs de troubles que sont les syndicalistes à l’approche des élections ? Personnellement, je pense que le Président est un fin stratège et qu’il ne réagit pas dans l’instant. Avec la Loi du 20 Août 2008, obligeant la certifi cation des comptes syndicaux à partir du 1er janvier 2012, il avait déjà pensé à préparer ses munitions. Le monde politique est rude et les coups bas ne s’arrêtent jamais. Difficile de tous les connaître, tant ils en existent. La fi délité et l’amitié sont les pires ennemis chez nos élus. Les syndicats copinent sans cesse avec le pouvoir et négocient en permanence des matchs qui sentent le trucage à plein nez. Le deal ? “Il faut mettre en scène des confl its entre nous, pour d’une part rassurer nos militants et adhérents sur nos actions, et d’autre part pour montrer que le chef de l’Etat ne se laisse pas faire !” C’est du donnant-donnant ! Tout le reste est un enfumage de professionnels de la communication.
L’objectif étant établi, il est intéressant de savoir ce que nous révèle ce rapport. On commence par apprendre que les syndicats ont chaque année un budget de fonctionnement de 3,8 milliards d’euros. Apparemment, ils n’ont pas vendu que des T-shirts !...
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La vérité doit être extrêmement indésirable. Pourquoi avoir commandé ce rapport alors? Est-ce une stratégie politique pour s’armerlors de négociations ? Mettre aux pas les fauteurs de troubles que sont les syndicalistes à l’approche des élections ? Personnellement, je pense que le Président est un fin stratège et qu’il ne réagit pas dans l’instant. Avec la Loi du 20 Août 2008, obligeant la certifi cation des comptes syndicaux à partir du 1er janvier 2012, il avait déjà pensé à préparer ses munitions. Le monde politique est rude et les coups bas ne s’arrêtent jamais. Difficile de tous les connaître, tant ils en existent. La fi délité et l’amitié sont les pires ennemis chez nos élus. Les syndicats copinent sans cesse avec le pouvoir et négocient en permanence des matchs qui sentent le trucage à plein nez. Le deal ? “Il faut mettre en scène des confl its entre nous, pour d’une part rassurer nos militants et adhérents sur nos actions, et d’autre part pour montrer que le chef de l’Etat ne se laisse pas faire !” C’est du donnant-donnant ! Tout le reste est un enfumage de professionnels de la communication.
L’objectif étant établi, il est intéressant de savoir ce que nous révèle ce rapport. On commence par apprendre que les syndicats ont chaque année un budget de fonctionnement de 3,8 milliards d’euros. Apparemment, ils n’ont pas vendu que des T-shirts !...
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Contre ou contre ?
Bientôt l’élection présidentielle et il faudra choisir entre les candidats inscrits pour conquérir ce poste convoité autant pour sa fonction prestigieuse que pour son pouvoir… et la France dans tout ça ? Les dernières élections politiques nous ont montré que l’on ne vote plus pour le candidat que l’on souhaite mais plutôt contre celui que l’on ne veut pas voir élu. Nous sommes désormais, en politique, dans le déni permanent. Cela arrange bien les affaires de tous car aucun politicien en lice pour la présidentielle ne peut se vanter d’avoir réussi une chose favorable pour tous les français… sinon à berner de plus en plus de votants.
Pour 2012, la stratégie de communication politique a l’air de se diriger vers un seul objectif : installer la peur. Voteriez-vous pour avoir peur ? Non, mais plutôt pour le candidat qui la fera disparaître. Coïncidence, ce sont les mêmes qui installent actuellement ce sentiment de crainte. Augmenter la peur chez les Français afi n de maîtriser leur vote est désormais un des enjeux. Comment installe-t-on la peur ? En affi chant que les mauvaises nouvelles et en ne donnant aucune solution car tous veulent garder leur miraculeuse croissance économique pour l’après élection. Toujours après et dès qu’ils sont élus, ils s’efforcent à faire oublier leur programme ou à réorganiser leur priorité… car du concept économique à la concrétisation réelle des projets il y a un problème de taille : celui de savoir quel est le projet le plus populaire ? Le temps de trouver la réponse et c’est déjà l’heure d’une nouvelle élection…
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L’explosion de plaisir
Pourquoi associe-t-on le grand plaisir au Luxe ? Parce que l’on apprend avec l’expérience que ce plaisir se trouve dans la qualité. La qualité d’un produit tant pour son contenu que pour son aspect est une priorité absolue.
L’explosion de plaisir se produit lorsque vous apercevez un objet créant en vous un abandon cérébral, votre esprit se dédiant exclusivement, pendant un cours instant, à une hypnotique splendeur.
Ce petit instant composé d’un mélange d’étonnement, de surprise et d’adhésion, ce petit instant précédant les interrogations, les envies de compréhension, ce petit instant trop éphémère est la preuve d’un objet de grande beauté.
Le plaisir se prend, n’hésitez plus !
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Contre ou contre ?
Bientôt l’élection présidentielle et il faudra choisir entre les candidats inscrits pour conquérir ce poste convoité autant pour sa fonction prestigieuse que pour son pouvoir… et la France dans tout ça ? Les dernières élections politiques nous ont montré que l’on ne vote plus pour le candidat que l’on souhaite mais plutôt contre celui que l’on ne veut pas voir élu. Nous sommes désormais, en politique, dans le déni permanent. Cela arrange bien les affaires de tous car aucun politicien en lice pour la présidentielle ne peut se vanter d’avoir réussi une chose favorable pour tous les français… sinon à berner de plus en plus de votants.
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Guide de la Communication de l'Océan indien, le mac est l'outil indispensable pour réussir une campagne de communication ou simplement trouver une entreprise sérieuse !
Le serment d’hypocrite
Qu’attendons-nous de la médecine ? Un diagnostic précis avec la prescription d’un remède adapté en vue d’une guérison. Je ne sais pas s’il y a plus de malades mais ce dont je suis certains c’est qu’il existe de plus en plus d’erreurs médicales. Une hanche artifi cielle mise à l’envers, l’ablation d’un rein en bonne santé, une opération bénigne se terminant par un coma, un décès d’enfant en bas âge lors d’un transport sanitaire suite à l’ordonnance de l’arrêt de son traitement, un médecin condamné pour viol pendant l’exercice de ses fonctions en administrant du Valium à ses patientes et qui excerce encore...
L’omerta se fragilise fortement et les erreurs sont de plus en plus connues. Pourtant les plaintes sont rares. Les familles des victimes concernées sont très certainement persuadées, par une tripoté de confrères, de ne pas faire de scandale préférant accuser la malchance plutôt que remettre en cause officiellement ces médecins s’excusant à peine devant ces cas “extraordinaires“ !
Suite à toutes ces informations, je me suis mis à la lecture du serment d’Hippocrate, ce serment que les médecins et pharmaciens prêtent lors de leur “mise en service“...
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Le Boucher de La Réunion
Eric Le Boucher est venu à La Réunion dans le cadre du Grand Forum, manifestation prestigieuse organisée par le Crédit Agricole Mutuel de La Réunion, Société Réunionnaise du Radiotéléphone (Groupe SFR), Tereos Océan Indien, Groupama Océan Indien et Air France Océan Indien. Les chefs d’entreprises présents ont eu la belle et heureuse surprise d’entendre un économiste dont la réputation n’est apparemment plus à faire. Je suis pratiquement d’accord sur l’ensemble de ses propos qui correspondaient exactement à mon édito du mois dernier (Mémento Septembre N°378). Par contre, Monsieur Le Boucher a totalement pris au dépourvu l’assistance en déclarant que La Réunion doit «abandonner l’Europe», que notre «avenir n’était pas de ce côté là» et qu’il serait préférable...
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Déficit public, remboursement privé !
Il ne faut pas se tromper : si le pays est défi citaire ce n’est pas la faute des riches, ni des pauvres, ni des patrons, ni des salariés du privé et surtout pas des entreprises françaises mais bien exclusivement celle des politiciens dont la gestion économique a pour résultat une dette abyssale. Des décisions dépensières prises par une minorité, certes élue, mais qui seront fi nancièrement supportées par le secteur privé !
Cela vient de nous être démontré encore une fois avec la création de nouvelles taxes, décision prise par quelques personnes. Ces Ministres ont le pouvoir de créer des “recettes supplémentaires“ mais surtout, malheureusement, le pouvoir de continuer à dépenser.
Sont-ils responsables ? Bien évidemment que non, car c’est la crise ! Cela fait plus de 35 ans que notre pays est en crise...
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La nouvelle édition du Mémenbat comprend plus de 200 pages de coordonnées (mail, portable, tel...) mis à jour des entreprises sérieuses du bâtiment de l'île de la Réunion.
Prime de “Présentéisme"
L’Assemblée Nationale a soumis une série de propositions dans le cadre du durcissement de la lutte contre la fraude sociale parmi lesquelles fi gure une “prime de présentéisme“. Selon Dominique Tian, rapporteur de la mission, la fraude est estimée à 20 milliards d’euros. Si les millions de chefs d’entreprises honnêtes acceptent sans problèmes les nouveaux moyens mis en oeuvre pour lutter contre les fraudeurs en multipliant les contrôles et en créant un fi chier inter-régime ou encore un fi chier des personnes ayant une interdiction de gérer, il est très étonnant que la seule réponse trouvée pour lutter contre l’absentéisme dans la fonction publique soit la création d’une “prime de présentéisme“ ! Qu’est-ce que cela veut dire ? Un fonctionnaire faisant son travail normalement, sans plus, aurait droit à une prime de présence ? Cela veut dire qu’il faut aujourd’hui créer une prime pour espérer obtenir une présence normale dans les services de l’administration ?
Avec la création de toutes sortes de nouvelles primes, de surrémunérations supplémentaires…
Petits commerces et grande distribution : Peuvent-ils cohabiter ?
C'est "Drachmatique"
La Drachme est l’ancienne monnaie utilisée par les Grecs avant le passage à l’Euro et peut-être va t-elle redevenir la monnaie nationale en Grèce. Nous assistons à une fulgurante dégringolade d’un pays qui n’a su gérer ni son fonctionnement, ni sa politique, ni ses atouts. Nous dirigeons-nous vers une première mondiale : la faillite d’un pays européen? L’Europe se fait de plus en plus distante, de plus en plus critique et de moins en moins solidaire. Actuellement, sous nos yeux, une page se tourne. Laquelle? Celle des limites dépassées par les politiques, en matières de gestion d’un pays, qui sont devenus, au fil de leur élection, ingérables. Regardons bien, malheureusement, la situation de la Grèce. Scrutons la en détail et apprenons vite, très vite ! Là où un pays s’effondre, là où la solidarité de l’Union Européenne s’arrête, là où le laxisme économique règne, là où l’absentéisme des fonctionnaires corrompus par la fainéantise est légendaire.
L’absentéisme des fonctionnaires en France est-elle maîtrisée? Encore un sujet tabou !…
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L’ingérence primaire de la République
Avec l’annonce des responsables temporaires de la République Française obligeant les entreprises de plus de 50 salariés du secteur privé à verser une prime s’ils distribuent plus de dividendes à leurs actionnaires que leur dernier exercice, ces “responsables”, Président de la République en tête, s’ingèrent dans la gestion autonome des sociétés françaises. Si l’on gérait nos entreprises comme le font ces politechniciens avec les finances publiques, il est plus que probable que celles-ci se dirigeraient vers la faillite. Depuis plus de 35 ans, la Nation ne cesse de ponctionner de plus en plus, au travers de multiples taxes diverses et variées, la valeur des produits de l’entreprise pour combler les dépenses de fonctionnement des services de l’Etat. Bien sûr, pour se défausser, il n’y a qu’à prendre l’exemple de l’Allemagne. Mais, dans ce cas, pourquoi ne pas faire du protectionnisme et protéger l’industrie française en taxant davantage les produits importés de Chine afin de favoriser ceux fabriquer en France ? Malheureusement, cette solution est beaucoup trop compliquée et moins populaire à l’inverse de celle consistant à faire croire aux salariés du privé que le bon samaritain, c’est lui.
Pourquoi s’adresser aux salariés du privé ?...
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La confiance avant la croissance
Les résultats de l’IEDOM (Institut d’Émission des Départements d’Outre-Mer) ont été dévoilés concernant la croissance dans les départements d’outre-mer en 2010. Un retour à la croissance pour La Réunion, une année morose pour Mayotte, une reprise en demi-teinte pour la Martinique, les premiers signes de reprise pour la Guadeloupe et une amélioration en fin d’année pour la Guyane.
La Réunion, avec la mise en chantier des programmes de construction de logements sociaux et les accords de Matignon, va relancer cette année les secteurs du bâtiment. Le célèbre adage “quand le bâtiment va, tout va !” devrait encore une fois se confirmer. Mais cette fois, les pièges devraient être évités grâce au Haut conseil de la commande publique dirigé par Margie Sudre, pilotant l’agenda des mises en chantier, de façon à éviter les “pics” d’activités de ce secteur...
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Soutenons nos entrepreneurs !
L'industrie réunionnaise connaît de profonds changements. Nous constatons que nos plus célèbres industriels et chefs d'entreprise réunionnais connaissent des passages difficiles qu'ils doivent surmonter. François Caillé, Xavier Thiéblin, Frédéric Foucque... nous devons soutenir, au moins moralement, ces entrepreneurs qui ont fait de La Réunion ce qu'elle est aujourd'hui : une terre exceptionnelle d'entreprises. Il ne faut pas oublier, par exemple, que c'est François Caillé qui a révolutionné le marché de la distribution à La Réunion...
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Serait-il plus économique de supprimer les sur-rémunérations ou les niches fiscales ?
Alors que cette année sera consacrée à la valorisation de l’ensemble de l’Outre-mer en métropole au travers de diverses manifestations tout au long des mois à venir, l’Outre-mer devra dans le même temps se battre avec le gouvernement pour sauvegarder l’activité économique. Cette année verra naître le 101e département de France avec la départementalisation de Mayotte, mais l’année 2011 verra aussi très certainement le combat de nos entreprises ultramarines dont l’objectif est de ne pas souffrir gravement du changement de cap économique de l’État en recherche constante de diminution des dépenses publiques, et c’est une très bonne chose...
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C’est un véritable pari que fait le gouvernement de transition pour 2011 : en faisant cavalier seul dans le processus de sortie de crise, le jeune président de la HAT marque ainsi son ras le bol de tous ses débats interminables dans lesquels les intérêts personnels ont dominé sur le collectif, cela depuis des décennies. Enfin !
Qu’est-ce que le Luxe ? Pour ma part, c’est le plaisir passionné d’une chose ou d’une activité. Le plaisir de regarder, de sentir, de ressentir et de toucher. C’est comme l’amour que l’on porte à l’être qui nous est cher.
Le Luxe est l’expression de cet amour. Création exceptionnelle et beauté éblouissante résument simplement la béatitude. L’envie de donner le plaisir, toujours à la conquête de son ultime, et en retour, recevoir la joie procurée par la satisfaction du bonheur de l’autre, telle est l’essence même du Luxe.
Ces pages vous donneront quelques idées afi n de susciter le plus de plaisir passionné, à offrir durant l’année 2011.
Vivre sans taxe : ce n'est vraiment pas possible !
« Les deux dernières années écoulées ont souligné plus que jamais le rôle essentiel des entrepreneurs dans cette sortie de crise qui se dessine, pour créer et faire grandir les PME qui assureront la croissance, créeront les emplois dont nous avons besoin, et façonneront la compétitivité économique de la France en ce début de XXIe siècle. Le succès du statut de l'auto-entrepreneur et le nombre record de création d'entreprises témoignent de la vitalité « entrepreneuriale » en France en 2010. Le crédit d'impôt recherche (CIR), le dispositif ISF-PME, les montants investis dans les PME de croissance grâce au FSI France Investissement, le soutien aux investissements d'avenir des PME grâce au Grand Emprunt, l'autonomie des universités, les moyens mobilisés pour la recherche sont autant de changements profonds mis en place depuis 2007 qui témoignent de l'importance pour la France de construire et cultiver un écosystème « entrepreneurial » performant. Celui-ci est déterminant pour construire notre croissance et notre compétitivité dans l'économie du XXIe siècle qui reposera sur le développement des pays émergents, les innovations technologiques, la croissance verte. L'enjeu est que nos PME grandissent et que nous multipliions le nombre d'entreprises de taille intermédiaire capables d'apporter une plus grande agilité à l'économie française, de se projeter à l'export sur les marchés à fort potentiel de croissance, et créer ainsi les nouveaux emplois pour revenir au plein-emploi. (Précision : il faudrait déjà être capable de se souvenir de la date de cet historique événement car ma génération n'a jamais connu une France avec le plein-emploi). Nous devrons renforcer les passerelles entre la recherche des universités et les entrepreneurs, mieux enseigner le rôle de l'entrepreneur à l'école, orienter l'épargne des Français vers les entreprises. Je souhaite le plus grand succès aux « Journées de l'Entrepreneur » qui depuis quatre ans, en France et dans 92 pays dans le monde, célèbrent le rôle économique et social déterminant des entrepreneurs. À l'heure où la France assure la présidence du G20, je souhaite que l'initiative du G20 des entrepreneurs se poursuive en 2011 pour témoigner du rôle essentiel des entrepreneurs dans la reprise de la croissance mondiale. »
C'était le message de soutien du Président de la République aux Journées de l'Entrepreneur. Il a été prononcé par le Directeur Général du Trésor lors des Journées de l'Entrepreneur qui ont eu lieu en métropole à la mi-novembre...
Le mac : Le guide des agences et des médias
Monter à la station agence, 1er changement à média planing, prendre la direction brain storming, aller jusqu'au terminus shooting,
prendre debriefing, changer à affichage … un campagne a réalisée, une formation média training à faire, ou une simple recherche d'un imprimeur …
Trouvez votre chemin avec le mac, le manuel des acteurs de la ommunication.
Ont-ils fait grève ?
Lorsque nous voyons dans les cortèges beaucoup de politiciens : Martine Aubry, Ségolène Royal... de syndicalistes comme Bernard Thibault, François Chérèque... et des salariés de ces mêmes syndicats, je me demande si toutes ces personnes sont vraiment des grévistes ?
Alors que tous leurs camarades salariés se voient déduire une partie de leur salaire pour répondre à l'appel des syndicats afin de former un grand cortège et ainsi faire entendre, grâce à leur nombre, leur désaccord sur les décisions du gouvernement, ces mêmes dirigeants syndicaux subissent-ils également des retenues sur leur salaire ? La solidarité des politiques, présents en général au premier rang des manifestations, a-t-elle pour frontière leur bulletin de salaire ? Est-il envisageable qu'un cortège soit composé de personnalités appelant à la grève alors qu'elles-mêmes sont non-grévistes ?
Quand on regarde les reportages, on voit une foule et on pense naturellement que ces gens sont tous des grévistes subissant en fin de mois une diminution de salaire entraînant des conséquences sur leur pouvoir d'achat et aussi sur leur cotisation retraite puisqu'ils ne sont pas payés les jours de grève, et c'est normal.
Il est facile de minimiser ces conséquences salariales quand ce sont les syndicats qui appellent à une large mobilisation. Il faut faire des efforts pour être entendu car la seule voix des dirigeants syndicaux ne suffit plus. Mais cet effort n'est peut-être pas aussi unanime que cela car un certain nombre de personnes ne seraient pas de vraies grévistes ! Faire grève tout en travaillant, nouvelle astuce syndicale ?
Il serait très amusant de publier les sommes qui sont retenues (ou pas) sur les bulletins de paye des dirigeants de syndicats...
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Le Mémento a 40 ans !
Né en octobre 1970, Le Mémento a été fondé par Catherine Louapre-Pottier. Imaginez ce que La Réunion était à l'époque. Imaginez la place de la femme dans le milieu économique. Imaginez la vie publicitaire papier qui n'existait qu'entre l'annuaire téléphonique de la Poste commercialisé par Havas et le Journal de l'Île de La Réunion. Une fois le contexte mis en perspective, je vous confirme sans aucune ambiguïté que cette femme d'entreprise était une femme extraordinaire et exceptionnelle !....
... 1996 une année noire, un accident de la route prend les vies de Wilhelmine (ma sœur aînée travaillant pour l'entreprise) et de Catherine. Un mois auparavant, un accident d'avion de tourisme au niveau de la forêt de Bélouve faisait perdre la vie à Napoléon (mon frère). Il était destiné à une belle carrière dans l'aéronautique.
À partir de ce moment et malgré la forte volonté de mon père de vouloir fermer l'entreprise, j'ai décidé de continuer l'œuvre de ma mère. Quelques mois plus tard, mon frère Jérôme a rejoint l'entreprise à la sortie de son école de commerce pour m'aider.
Les « ladilafé » de 1997 à 1999 fusaient de toutes parts donnant pratiquement aucune chance de survie au Mémento. C'est après avoir fêté les 30 ans du Mémento que la revue commence à être considérée comme un « vrai » concurrent. Voyant la vie de notre entreprise perdurer, certains ont arrêté de se frotter les mains et se sont mis « enfin » à nous prendre au sérieux. Cela a stimulé d'autant ma volonté de conquérir le monde. Et franchement, mes objectifs utopiques et mon dynamisme irréfléchi du plus « jeune rédacteur en chef de France » comme me surnommaient certains de mes confrères, me manquent un peu. Être un peu fou, dieu que c'est bon ! Plus on vieillit, force est de constater qu'un homme de 39 ans, père de quatre enfants et marié à une fabuleuse épouse Corinne qui supporte, plus que personne, mes humeurs, n'est plus un jeune homme, ni un ado, et donc il faut agir en conséquence.
... Pour l'heure, je tiens à remercier tous nos lecteurs et l'ensemble de nos annonceurs pour leur loyauté et leur confiance. Je vous garantis que nous ferons tout pour vous apporter le meilleur de l'information économique au travers de nos pages.
Pour retrouver l'intégralité de l'édito N°365... abonnez-vous !
Raboter oui ! Mais partout !
Pour avoir une économie en bonne santé, il faut avant tout savoir où l'on va, vers quel objectif se diriger. Les politiciens sont trop impliqués dans la vie des grandes entreprises sans avoir la connaissance de celle d'une PME. Oui, tous sont très forts en statistiques, en données Insee, en sondages, en chiffres du chômage... mais leur seul objectif est de se faire élire ou réélire. C'est normal, c'est leur métier. Mais les petites et moyennes entreprises subissent de plein fouet les changements de cap des gouvernements selon leur ressenti plus ou moins juste du marché. Des cracks boursiers, il y en aura encore et de plus en plus souvent. Pour les éviter, il faut changer notre culture d'entreprises et ne plus réaliser une structure économique autour d'une seule source, celle du pétrole.
Pour le moment, nous pensons que l'accalmie s'éternisera. Mais changer le mode de production d'énergie est en pleine expansion à l'île de la Réunion, notamment, avec les panneaux solaires, l'hydraulique, l'éolien, la houle... et les nouvelles technologies qui prennent du temps à être mises en place et nécessitent beaucoup d'investissement...
Retrouvez l'intégralité de l'édito dans le Mémento N°365.
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Pour avoir une économie en bonne santé, il faut avant tout savoir où l'on va, vers quel objectif se diriger. Les politiciens sont trop impliqués dans la vie des grandes entreprises sans avoir la connaissance de celle d'une PME. Oui, tous sont très forts en statistiques, en données Insee, en sondages, en chiffres du chômage... mais leur seul objectif est de se faire élire ou réélire. C'est normal, c'est leur métier. Mais les petites et moyennes entreprises subissent de plein fouet les changements de cap des gouvernements selon leur ressenti plus ou moins juste du marché. Des cracks boursiers, il y en aura encore et de plus en plus souvent. Pour les éviter, il faut changer notre culture d'entreprises et ne plus réaliser une structure économique autour d'une seule source, celle du pétrole.
Pour le moment, nous pensons que l'accalmie s'éternisera. Mais changer le mode de production d'énergie est en pleine expansion à l'île de la Réunion, notamment, avec les panneaux solaires, l'hydraulique, l'éolien, la houle... et les nouvelles technologies qui prennent du temps à être mises en place et nécessitent beaucoup d'investissement...
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Reprise et rigueur, un bon équilibre
Dans les départements d'outre-mer, le contexte économique est contrasté suivant les régions. La Guadeloupe attend une reprise avec 112.000 touristes enregistrés à la fin mars, c'est le meilleur résultat des quatre dernières années, d'où un optimiste ambiant pour ce secteur. La Martinique rebondit avec une consommation en hausse depuis le début de cette année. C'est timide, mais la plupart des secteurs économiques enregistrent une légère amélioration. En Guyane par contre c'est l'inverse, l'IEDOM (Institut d'Émission des départements d'outre-mer) a observé un net repli de tous les secteurs d'activité notamment concernant l'investissement des entreprises. À l'île de La Réunion, à part le secteur du BTP, la reprise de la consommation des ménages commence à se faire ressentir avec une nette amélioration du climat des affaires.
Il y a, paraît-il, une reprise, selon les institutions économiques. Personne n'a vu venir la crise mais beaucoup plus de spécialistes ou de politiques voient arriver une amélioration grâce à une reprise des affaires. Il est vrai qu'à force de clamer l'arrivée de cette reprise, elle finira par arriver. Le contraste politique vient de la rigueur avec laquelle l'État gère ses budgets au moment de cette reprise ; alors que du temps de la crise, ce sont les créations de nouveaux budgets et l'argent qui coulaient à flots pour les banques, ou les garden parties par exemple. En tout cas...
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Une gestion étatique
Les chefs d'entreprise sont en majorité de bons gestionnaires, dans le cas contraire leur entreprise, même en ayant les garanties les plus honorables, s'ils présentent sur une longue période un bilan déficitaire leur banque cessera de leur prêter de l'argent car le risque serait trop important. Cela ne s'applique qu'au secteur privé car pour le public c'est une autre histoire.
À quand remonte le dernier bilan équilibré de la France ? C'était en 1974 sous la Présidence de Valéry Giscard d'Estaing. Depuis plus de trente ans, la France s'endette à cause principalement de l'augmentation constante des dépenses publiques. La France perd de l'argent chaque année au lieu d'en gagner donc il faut qu'elle s'endette. À l'époque c'était pour vivre. Aujourd'hui c'est pour survivre. Un foyer ne peut emprunter plus de 30% de ses revenus annuels, l'État en était à un endettement représentant plus de 77% de son PIB (Produit Intérieur Brut) en 2009. Si l'État était une entreprise privée, elle serait proche de la faillite. Pourtant les banques et autres États continuent à lui prêter de l'argent creusant encore plus le déficit de la France.
Un État peut-il faire faillite ? Tous (politiques, économistes...) clamaient avant la crise, l'impossibilité qu'un État puisse faire faillite. Entrer en récession, ça oui, mais la faillite n'était pas concevable.
Avant la Grèce, tout le monde pensait qu'un pays aussi important que la France pouvait dépenser sans problème. Pourquoi ? Parce que la France est solvable ! Avec plus de 12.430 milliards d'euros de patrimoine, représentant plus de six années de PIB, et une dette publique de 1.489 milliards d'euros...
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Mise à plat des retraites
La fonction publique ne voit pas d'un « bon oeil » la réforme des retraites. Celle-ci met en avant les inégalités existantes entre le service public et le privé. Loin de moi l'envie d'augmenter cette fracture, mais il faut tout même que les syndicats de la fonction publique cessent de clamer qu'ils ont peu d'avantages et qu'envisager un calcul de départ à la retraite comme celui du privé, c'est-à-dire sur les vingt-cinq meilleures années au lieu des six derniers mois pour les fonctionnaires, n'est pas un avantage aussi important que cela.
Concernant les Dom-Tom, les fonctionnaires bénéficient de majorations, d'une part, pour aller y travailler et cela peut aller jusqu'à 75 % du montant moyen du salaire, hors primes, pour un poste à responsabilités en Polynésie, 35 % pour La Réunion. D'autre part, s'ils décident de s'y installer au moment de leur retraite, cette majoration reste acquise.
Autre avantage pour valider un trimestre chez les fonctionnaires : ne travailler que 45 jours, soit la moitié du temps suffit ! La possibilité pour un fonctionnaire de valider 162 trimestres en ne travaillant que 81 est réelle. Si vous en avez l'occasion, comparez un bulletin de salaire du privé et du public. Pour un même montant "Brut", la différence du montant "Net" est impressionnante. Pourquoi un tel écart ? Les fonctionnaires cotisent moins et ...
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Le regrettez-vous ?
Avec le départ de la Présidence de la Région Réunion de Paul Vergès, c'est un mythe, une légende, une histoire qui s'arrête.
Paul Vergès a été, pendant de nombreuses années, un représentant de l'Etat dans la région Océan Indien et a «joué» le jeu de cette représentation. Avec l'arrivée du Préfet de l'époque, Pierre Henry Maccioni, la donne a changé. Une de ses missions : reprendre la représentation de l'Etat pour la région. Et le travail du Préfet a été de faire savoir à tous les pays qui entourent l'île de la Réunion (Seychelles, Madagascar, Maurice) qu'il n'y a qu'un seul représentant de l'Etat Français dans la zone : le Préfet. Cela avait le don d'agacer Paul Vergés et les relations entre les deux hommes étaient plus qu'agitées. Il est clair que cela n'a pas joué en faveur de Paul Vergès et a certainement pesé dans le scrutin, car au fil des années, les comportements du Président et de son fils, Pierre Vergès, ont fait défaut, notamment sur le prix de l'essence face aux transporteurs mécontents...
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Il faut plus de niches fiscales !
L'avenir des Dom-Tom passe par la Loi pour le Développement de l'Outre-Mer (Lodéom). Ce projet de loi vise à favoriser les exportations en allégeant la fiscalité des entreprises, mais aussi et surtout en préconisant l'arrêt des "mécanismes dont l'efficacité n'est pas avérée".
L'État, par l'intermédiaire des ses Ministères, a pris pour habitude de ne jamais être clair et net dans ses écrits. Nous perdons donc beaucoup de temps à décrypter les messages. Guy Dupont, Président de la Fédération des Entreprises de l'Outre-Mer (Fédom), travaille actuellement sur ce projet de loi afin de proposer les modifications nécessaires et d'éviter que cette loi ne soit inadaptée au développement propre à chaque région. La Cour des Comptes, en rendant son rapport annuel, a titré son chapitre en prenant pour exemple la Nouvelle-Calédonie et Wallis & Futuna "Coût disproportionné de certaines niches fiscales". Cette institution estime qu'il serait moins coûteux pour l'Etat d'allouer des subventions que de laisser perdurer ces avantages fiscaux. En effet, s'il fallait taxer les produits de l'investissement cela serait beaucoup plus bénéfique pour les comptes de l'État aujourd'hui. Il est vrai que l'on peut le calculer ainsi. Mais revenons en arrière, s'il n'existait pas de niches fiscales...
Suite dans le numéro 358 du Mémento.... Abonnez-vous !
Une élection de pouvoir !
Que constate-t-on de plus en plus lors des campagnes électorales ?
Il ne s’agit que d’euros, de financement, de calculs pour maîtriser les coûts des prédécesseurs… Où sont les nouvelles idées, où est l’homme politique acharné qui aime son peuple et sa région pour vouloir, à plein temps, améliorer la vie de chacun et moderniser son territoire ?
Que voit-on à la place ?
- Des cumuls de mandats : J’ai toujours été impressionné ! Certains politiciens ont cette faculté immense de pouvoir occuper plusieurs postes en même temps. N’est-ce pas un manque de respect envers les électeurs précédents de se présenter à d’autres élections, ce qui diminuera forcement le temps alloué à sa responsabilité politique de son premier mandat ?
- Une lutte pour le pouvoir : Il ne s’agit plus de servir la population. C’est devenu un défi personnel pour atteindre un poste ou pour représenter un groupe politique. Une fois le but atteint, le confort du pouvoir et du nouveau salaire l’emportent souvent sur l’application des idées. On a l’impression...
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Difficile de terminer cette année par une note d’optimisme. 2009 aura été l’année de tous les excès dans une succession d’évènements encore jamais vus dans le pays à la fois par leur rapidité et leur violence. Une crise politique qui a pris racine dans le mal profond d’une population aux abois, prête à tout à la moindre étincelle. Retour sur une année de folies.
Ce faire plaisir devient une priorité. L'excellence se démocratise, les millionnaires sont toujours là, mais, une nouvelle clientèle se crée. Celle des individus voulant profiter, eux aussi, de l'excellence des produits et des services. Mais qui sont-ils ? Simplement des bons vivants ! Ce sont des personnes qui ne sont pas blasées, des familles souhaitant offrir et partager la joie du plaisir absolu, ce sont des curieux se demandant qu'elle est la différence entre un produit de grande surface et celui d'une épicerie fine réputée… et là patatra ! Le constat est sans appel : on succombe immédiatement aux charmes du perfectionnement.
Pour que la joie soit sublime, il est nécessaire de ne pas banaliser celle-ci ou bien de toujours se rappeler du bonheur vécu la première fois afin qu'à chaque instant l'on puisse savourer le moment de magnificence envahissant nos sens lors de cette consommation exceptionnelle.
Le plaisir de vivre doit rester le seul objectif de notre passage sur terre.
Ce qui ne changera jamais, ce sont les promesses. Rappelez-vous la promesse électorale des dernières campagnes de 1998 et 2004, celle d'avoir en direct et gratuitement France 2 (Antenne 2 à l'époque) pour tous les Réunionnais.
C'était une grande promesse et avec l'arrivée des bouquets de télévision par satellite offrant une multitude de programmes métropolitains en direct ou en différé de 24 heures, leur promesse fut vite oubliée. L'objectif a-t-il été atteint ? Pas certain. Car ceux n'ayant pas d'abonnement à un bouquet de télévision par satellite se trouvent toujours dans la même situation qu'en 1998, avec seulement trois chaînes de télévision gratuites (RFO, Tempo et Antenne Réunion). Rien n'a changé ! Vous allez me parler de la TNT (Télévision Numérique Terrestre), pensez-vous que cela sera une nouvelle promesse télévisuelle pour la campagne des élections régionales 2010 ? France 2 en direct sur la TNT ? N'oublions pas que l'arrivée de la TNT est déjà prévue pour 2011.
Que va-t-on encore nous promettre ?...
La suite dans le numéro du Mémento en vente en kiosque.
RASSURER sa clientèle et/ou sa future clientèle sur sa capacité à communiquer dans un ouvrage réservé EXCLUSIVEMENT au monde de la communication est un atout indispensable. En effet, pour une entreprise dont la vocation première est la communication, comment expliquer à un client l’importance de cette fonction si au préalable elle n’affiche pas sa propre visibilité dans le seul support dédié au monde de la communication
Les “majors” adorent constater la présence de leurs prestataires dans le guide mac car cela leur procure la satisfaction de travailler avec une entreprise sérieuse, mais pas seulement car le mac offre aussi pour les annonceurs les impacts suivants :
Vers un confort de vie naturel
La Réunion est en pleine mutation et il semble que celle en cours convienne à l'ensemble des acteurs, toutes filières confondues. Nous prenons la route du développement durable, d'une vie plus pure, plus propre, tout en répondant à nos attentes de confort, de développement et d'activité économique. On a l'impression que : CA Y EST ! On a un secteur d'activité économique qui nous solidarise, celui du développement durable, de l'énergie propre et de l'écologie « moderne ». Enfin, on nous parle de quelque chose de nouveau, d'ambitieux, de réel, qui nous touche au quotidien et on a le sentiment d'en être un acteur.
Nous souhaitons tous une vie meilleure pour nous et nos générations futures...
La rentrée des Taxes
Entre la suppression de la Taxe Professionnelle dont beaucoup d’élus locaux ne souhaitent pas la disparition et la création d’une Taxe dite Carbone qui ne cesse de créer des polémiques, l’explication des projets ne fait qu’augmenter l’incompréhension.
La suppression de la Taxe Professionnelle (TP) est une promesse électorale de Nicolas Sarkozy. Cette suppression ferait le bonheur de nombreuses entreprises…, enfin en apparence car tout laisse à croire que la suppression de la Taxe Professionnelle serait directement liée à la création de celle sur l’émission de carbone.
Il ne faut pas se réjouir trop vite car le calcul de la Taxe Carbone pourrait faire regretter celle de la Taxe Professionnelle selon le secteur d’activités. Pour l’heure, nous savons que la Taxe Carbone concernerait l’ensemble des ménages et des entreprises et qu’il s’agit de taxer 32 euros par tonne de CO2 émise. Cette nouvelle taxe devrait rapporter environ 9 milliards d’euros la première année dans les caisses de l’État. C’est beaucoup mieux que la première année de la Taxe Professionnelle qui avait rapporté en 1975 environ 2,5 milliards d’euros. Bien sûr, nous sommes loin des 18 milliards versés en 2008 par les entreprises. Mais, la Taxe Professionnelle va disparaître progressivement et la Taxe Carbone augmentera aussi progressivement de 5 % par an afin d’atteindre 100 euros par tonne émise en 2030 soit un budget prévisionnel d’un minimum de 30 milliards d’euros.
Donc, la Taxe Carbone sera beaucoup plus rentable et efficace que la Taxe Professionnelle et puis c’est plus écologique, cela donne une bonne image de vouloir préserver la planète, économiser de l’énergie… Difficile de contrer cette idée de sauvegarde de la nature et cela donnera une "bonne" conscience aux nombreux taxables, une sorte de "je participe à sauver notre environnement"...
Avec l'ouverture de la Route des Tamarins, l'île de La Réunion est entrée du jour au lendemain dans une nouvelle dimension. Certes, c'est la fin du plus grand chantier européen avec un budget de plus de 2 milliards d'euros d'investissement ; mais cette Route des Tamarins révolutionne non seulement l'architecture routière, avec ses viaducs et ses ponts exceptionnels, mais également le comportement des conducteurs réunionnais face au transport et surtout toute l'économie réunionnaise.
Lorsque que vous empruntez la Route des Tamarins, on se croit sur une autoroute de Métropole, mis à part que les paysages sont époustouflants de beauté. Cette route n'est pas une simple voie goudronnée tracée dans les montagnes, mais c'est bel est bien une oeuvre d'art. Cette route a été conçue pour être belle, c'est réussie !
Il ne faudra pas beaucoup de temps aux Réunionnais pour adapter leur déplacement. S'il est vrai que cette nouvelle route révolutionne le temps des déplacements dans le secteur sud vers l'ouest et vice-versa, il faudra un peu de temps pour adapter l'arrivée le matin à l'entrée de Saint-Denis, où semble t-il les embouteillages ont augmenté du fait d'une arrivée plus importante de véhicules. Il n'est pas rare de patienter plus d’une heure sur la Route du Littoral avant d'arriver dans le chef-lieu. Il serait peut-être judicieux de revoir la synchronisation des feux tricolores ou de mettre en place, comme lorsque qu'un Ministre est présent dans le département, des agents de circulation afin de fluidifier le plus possible la circulation matinale. Un problème que la Mairie de Saint-Denis doit régler au plus vite.
Concernant l'économie locale, la Route des Tamarins a des répercussions immenses et immédiates.
Tout d'abord, au niveau du transport des marchandises entre la ville du Port et celle de Saint-Pierre, leur rotation est au minimum doublée chaque jour, passant de deux à quatre par jour. Une aubaine pour les routiers et pour les entreprises sudistes qui, grâce à cette nouvelle rapidité de livraison, peuvent désormais se développer plus rapidement. Cela a pour conséquence de revoir certains projets, d'en accélérer d'autres et surtout d'en créer de nouveaux pour ce secteur sud ayant souvent déclaré par le passé être l' « oublié » du développement de La Réunion. À l'image des Formules 1, venues faire le spectacle pour fêter la fin des travaux, La Réunion et surtout le Sud de la Réunion, sont en pleine accélération de leur développement.
Et puis l'embauche est aussi révolutionnée. Etait-il pensable qu'une entreprise basée dans la ville du Port ou de Saint-Denis, embauche un habitant du Sud ? Il était évident qu'un employeur basé à Saint-Denis avait beaucoup de difficultés à s'engager dans l'embauche d'une personne habitant si loin, au vu de la contrainte pour se rendre sur le lieu de son travail. Désormais, cette contrainte est levée et il est tout à fait envisageable d'employer un Sudiste dans le Nord et vice-versa ; ces deux extrémités étant relié désormais en 45 minutes.
En terme foncier, les terrains situés dans le Sud et à proximité de la Route des Tamarins vont prendre de la valeur grâce à leur nouvelle accessibilité beaucoup plus facile comme, par exemple, la ville des Avirons.
Donc, Monsieur Paul Vergès, Président de la Région Réunion et instigateur de cette Route des Tamarins, nous vous félicitons pour ce travail exemplaire et historique contribuant à l'évolution extraordinaire de l'île de La Réunion dans l'Océan Indien. Nous sommes fier de vous, et espérons désormais l'aboutissement d'autres grands projets que vous menez actuellement, tel que, la nouvelle Route du Littoral ; même si nous sommes conscient qu'il reste peu de temps avant les prochaines élections régionales qui auront lieu en Mars prochain. Encore bravo !
Avec l'ouverture de la Route des Tamarins, l'île de La Réunion est entrée du jour au lendemain dans une nouvelle dimension. Certes, c'est la fin du plus grand chantier européen avec un budget de plus de 2 milliards d'euros d'investissement ; mais cette Route des Tamarins révolutionne non seulement l'architecture routière, avec ses viaducs et ses ponts exceptionnels, mais également le comportement des conducteurs réunionnais face au transport et surtout toute l'économie réunionnaise.
Lorsque que vous empruntez la Route des Tamarins, on se croit sur une autoroute de Métropole, mis à part que les paysages sont époustouflants de beauté. Cette route n'est pas une simple voie goudronnée tracée dans les montagnes, mais c'est bel est bien une oeuvre d'art. Cette route a été conçue pour être belle, c'est réussie !
Il ne faudra pas beaucoup de temps aux Réunionnais pour adapter leur déplacement. S'il est vrai que cette nouvelle route révolutionne le temps des déplacements dans le secteur sud vers l'ouest et vice-versa, il faudra un peu de temps pour adapter l'arrivée le matin à l'entrée de Saint-Denis, où semble t-il les embouteillages ont augmenté du fait d'une arrivée plus importante de véhicules. Il n'est pas rare de patienter plus d’une heure sur la Route du Littoral avant d'arriver dans le chef-lieu. Il serait peut-être judicieux de revoir la synchronisation des feux tricolores ou de mettre en place, comme lorsque qu'un Ministre est présent dans le département, des agents de circulation afin de fluidifier le plus possible la circulation matinale. Un problème que la Mairie de Saint-Denis doit régler au plus vite.
Concernant l'économie locale, la Route des Tamarins a des répercussions immenses et immédiates.
Tout d'abord, au niveau du transport des marchandises entre la ville du Port et celle de Saint-Pierre, leur rotation est au minimum doublée chaque jour, passant de deux à quatre par jour. Une aubaine pour les routiers et pour les entreprises sudistes qui, grâce à cette nouvelle rapidité de livraison, peuvent désormais se développer plus rapidement. Cela a pour conséquence de revoir certains projets, d'en accélérer d'autres et surtout d'en créer de nouveaux pour ce secteur sud ayant souvent déclaré par le passé être l' « oublié » du développement de La Réunion. À l'image des Formules 1, venues faire le spectacle pour fêter la fin des travaux, La Réunion et surtout le Sud de la Réunion, sont en pleine accélération de leur développement.
Et puis l'embauche est aussi révolutionnée. Etait-il pensable qu'une entreprise basée dans la ville du Port ou de Saint-Denis, embauche un habitant du Sud ? Il était évident qu'un employeur basé à Saint-Denis avait beaucoup de difficultés à s'engager dans l'embauche d'une personne habitant si loin, au vu de la contrainte pour se rendre sur le lieu de son travail. Désormais, cette contrainte est levée et il est tout à fait envisageable d'employer un Sudiste dans le Nord et vice-versa ; ces deux extrémités étant relié désormais en 45 minutes.
En terme foncier, les terrains situés dans le Sud et à proximité de la Route des Tamarins vont prendre de la valeur grâce à leur nouvelle accessibilité beaucoup plus facile comme, par exemple, la ville des Avirons.
Donc, Monsieur Paul Vergès, Président de la Région Réunion et instigateur de cette Route des Tamarins, nous vous félicitons pour ce travail exemplaire et historique contribuant à l'évolution extraordinaire de l'île de La Réunion dans l'Océan Indien. Nous sommes fier de vous, et espérons désormais l'aboutissement d'autres grands projets que vous menez actuellement, tel que, la nouvelle Route du Littoral ; même si nous sommes conscient qu'il reste peu de temps avant les prochaines élections régionales qui auront lieu en Mars prochain. Encore bravo !
50 euros en plus pour les bas salaires à La Réunion, c'est une première en France. Après avoir connu pendant longtemps un SMIC en dessous du seuil national, ce qui est encore le cas à Mayotte par exemple, La Réunion non seulement a rattrapé son retard, mais désormais le dépasse aujourd'hui pour faire exister un SMIC plus élevé qu'en Métropole. Est-ce un test à des fins nationales ? Quoiqu'il en soit, les membres du Medef ont l'obligation en tant qu'adhérents de faire apparaître cette prime exceptionnelle pendant trois ans sur les futurs bulletins de paie. Bien entendu, beaucoup d'entreprises et d'autres organisations ne sont pas du même avis que le Medef et pour échapper à cette mesure certaines pensent tout simplement à quitter le mouvement, mais cela ne servirait pas à grand chose car il faut savoir que l'application de la mesure est rétroactive au 1er mai pour toutes les entreprises réunionnaises.
Néanmoins, existe-t-il des solutions pour les entreprises en difficultés afin de résoudre économiquement ce problème ?
Oui, il en existe même plusieurs. L'une d'elles consisterait à calculer juste : vous avez 100 salariés, l'entreprise est dans l'impossibilité au niveau de sa trésorerie de pouvoir dépenser 5.000 euros supplémentaires chaque mois pour les salaires, l'entreprise peut décider de licencier pour motif économique ou ne pas remplacer les départs (Retraites, démissions...) d’au moins 4 salariés au SMIC (peut-être moins s'ils sont payés plus que le SMIC). Autre possibilité, un peu plus complexe : créer un “roulement” à la formation, c'est-à-dire que l'entreprise, plutôt que de licencier 4 salariés, les enverrait simultanément en formation. Il existe une multitude de formations prenant en charge une très grande partie du salaire, ce qui permettrait à l'entreprise de voir venir. Encore un autre moyen, la baisse des salaires. Oui, c'est possible (cf. article L. 1222-6 du Code du travail) lorsque l'entreprise est en difficulté, elle peut baisser les salaires et cela sans concertation préalable.
Bien sûr, ces solutions peuvent paraître dures pour les salariés, mais n'oublions pas que les “patrons” ne sont pas contre l'augmentation salariale, le Medef l'a prouvé. Ils ne sont pas non plus les ennemis du social. Mais quand il est impossible d'accéder à certaines demandes, le plus souvent faites par des syndicalistes dénués de bon sens économique, il est obligatoire de trouver des solutions pour sauver son activité. Le “patron” préfèrera toujours se séparer de salariés qui auront plus de possibilités de retrouver une place ailleurs, alors que lui serait dans l'impossibilité d'entreprendre la création d'une nouvelle activité, d'autant que, faut-il le souligner, le chef d'entreprise n'a aucun droit aux allocations chômage. Sachez que tous les chefs d'entreprise souhaitent une augmentation de salaire pour leurs effectifs, il faut arrêter de croire et surtout de faire croire que le “patron” c'est le millionnaire Picsou qui ne cherche qu'à s'enrichir personnellement sur le dos des salariés. Il est clair aussi que tous ont compris qu'il sera impossible de revenir sur cette augmentation “temporaire”. On compte bien sur les syndicats pour rappeler dans trois ans qu'il n'est pas question de revenir sur un acquis social obtenu dans la lutte le poing levé et cette prime exceptionnelle se transformera alors en augmentation de salaire… Sauf pour les nouveaux Smicars réunionnais de 2012 !
Les comptes des Mairies en ligne !
Comment savoir si votre Maire gère correctement sa commune ou tout simplement pouvoir examiner les comptes de gestion de votre mairie ? Bercy vient de mettre en place, sur le site internet du ministère du Budget consacré aux collectivités, la possibilité de consulter les comptes de votre mairie. Chose rare, donc remarquable, l'Outre-mer y est intégré ! Rare car en général ce qui est fait au niveau national ne comprend pas toujours l'Outre-mer. On attend toujours, par exemple, l'intégration des tribunaux de l'Outre-mer sur le site www.infogreffe.fr. Ce site est une mine d'informations pour les entreprises de tous secteur et propose des services innovants rapides et efficaces mais malheureusement l'Outre-mer ne fait pas encore partie de la base de données....
La suite de l'édito dans le Mémento N°346, abonnez-vous !
Retrouvez toutes les bonnes adresses et informations utiles, l'histoire de La Réunion dans le guide du Mémento du Toursime édition 2009.
Baisse du pouvoir d’achat,
c’est la faute à... Martine
Qui réclame le plus de pouvoir d’achat aujourd’hui ? Ce sont les nouveaux actifs. Pourquoi ? Parce qu’ils sont moins bien payés que leurs aînés. Comment c’est possible ? C’est la faute à Martine Aubry !
Souvenez-vous, Martine Aubry, actuel premier Secrétaire national du Parti Socialiste, était la Ministre de l'Emploi et de la Solidarité de 1997 à 2000, époque où elle a mis en œuvre les 35 heures. Une époque révolutionnaire… travailler moins pour gagner plus et cela créera de l’emploi ! Le patronat à l’époque ne souhaitait pas cette nouvelle loi, déstabilisante pour l’organisation du travail, mais il fut pourtant dans l’obligation de l’appliquer.
En conséquence, si, effectivement, un « ancien » 39 heures par semaine a droit à la RTT et qu'il est payé autant pour travailler moins, le nouvel actif, lui, quand il décroche un emploi, c’est un poste à 35 heures par semaine et, bien entendu, payé 35 heures et non pas 39 comme l’ont été ses aînés. On peut imaginer l’ancienne Ministre déclarer que « s’il décroche un emploi aujourd’hui c’est grâce aux 35 heures sinon, il serait au chômage »… ça peut se défendre ?
Quoiqu’il en soit, si cette loi n’avait pas été mise en application...
La suite de l'édito du N°344 - Avril 2009 - En vente dans tous les points presse de l'Outre-mer.
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Le Projet Balladur concerne-t-il l'Octroi de Mer ?
Alors que de plus en plus de personnes accusent l'Octroi de Mer d'être la cause de la cherté des produits, il est néanmoins une ressource indispensable pour les collectivités locales. A l'origine, il s'agissait d'instaurer une taxe afin de "protéger" les produits locaux. Bien vue au départ, mais dénaturée au fil des années pour devenir une taxe d'entrée sur le territoire puis une taxe sur l'ensemble des marchandises importées et produites localement, l'Octroi de Mer représente un peu moins de 765 milllions d'euros, repartis entre collectivité régionales et communes d'Outre-Mer. Ce sont les Conseils Régionaux qui fixent le taux à appliquer sur chaque produit mais c'est la Commission Européenne à Bruxelles qui décide de ceux qui en sont exonérés.
En moyenne l'Octroi de Mer fait augmenter les prix à la consommation de plus de 6% à La Réunion et de plus de 17% en Guyane. Cette taxe est compensée par un "rabais" sur la TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée). La TVA est collectée par l'Etat, elle ne reste pas dans les caisses régionales, et ne contribue donc pas au développement des territoires concernés où elle fut collectée. En Métropole, elle est fixée à 19,6% tandis qu'à La Réunion son taux est de 8,5%...
Retrouvez l'intégralité de l'édito dans l'édition du Mémento N°343. Abonnez-vous !
Les Franciscains sauveront-ils les PME ?
De la liberté... à la Presse
Que se passe-t-il dans le monde de la presse en France ? La mise en garde à vue d'un directeur de publication de Libération dans une procédure mineure de diffamation est un fait exceptionnel : menotte, fouille corporelle, perquisition de son appartement, le tout devant ses enfants... il y a dans cette méthode plus qu'une arrestation, une démonstration. Alors, pourquoi une telle démonstration ? Si les juges veulent montrer qu'ils tiennent notre liberté entre leurs mains, eh bien c'est fait. Tenez-vous à carreau maintenant ! Alors que l'on constate des erreurs de plus en plus grossières de la part des tribunaux qui infirment, des décisions au lieu de les confirmer, un simple mot qui fait toute la différence. La Presse le sait mieux que personne ce que la signification des mots ont pour conséquence. Les juges et l'appareil administratif sont actuellement en train d'apprendre ce que leurs actes ont comme conséquence sur la vie des citoyens. Les mots face aux actes voilà le combat ! Et si la Presse arrête de colporter ses actes à travers ses mots la liberté n'existera plus et la soumission régnera dans une ambiance de dictature morale.
Mais ce n'est pas fini, car la Presse a toujours été un contre-pouvoir et l'ambition, jamais avouée, des plus grands hommes politiques est de la contrôler. Avoir un grand média vous portant aux cimes des meilleurs des meilleurs, l'as des as... de la politique : le pied !
Notre Président désignera lui-même le nouveau patron de France Télévisions. Je vous rassure tout de suite, il ne placera en aucun cas quelqu'un de compétent(e) mais un ami(e)...
La suite dans le Mémento. Abonnez-vous !
De la liberté... à la Presse
Que se passe-t-il dans le monde de la presse en France ? La mise en garde à vue d'un directeur de publication de Libération dans une procédure mineure de diffamation est un fait exceptionnel : menotte, fouille corporelle, perquisition de son appartement, le tout devant ses enfants... il y a dans cette méthode plus qu'une arrestation, une démonstration. Alors, pourquoi une telle démonstration ? Si les juges veulent montrer qu'ils tiennent notre liberté entre leurs mains, eh bien c'est fait. Tenez-vous à carreau maintenant ! Alors que l'on constate des erreurs de plus en plus grossières de la part des tribunaux qui infirment, des décisions au lieu de les confirmer, un simple mot qui fait toute la différence. La Presse le sait mieux que personne ce que la signification des mots ont pour conséquence. Les juges et l'appareil administratif sont actuellement en train d'apprendre ce que leurs actes ont comme conséquence sur la vie des citoyens. Les mots face aux actes voilà le combat ! Et si la Presse arrête de colporter ses actes à travers ses mots la liberté n'existera plus et la soumission régnera dans une ambiance de dictature morale.
Mais ce n'est pas fini, car la Presse a toujours été un contre-pouvoir et l'ambition, jamais avouée, des plus grands hommes politiques est de la contrôler. Avoir un grand média vous portant aux cimes des meilleurs des meilleurs, l'as des as... de la politique : le pied !
Notre Président désignera lui-même le nouveau patron de France Télévisions. Je vous rassure tout de suite, il ne placera en aucun cas quelqu'un de compétent(e) mais un ami(e)...
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Plus de 3.000 contacts (Tél, mail, fax, mobile) sont disponibles dans cette édition. Le Guide Mémenbat est l'outil indispensable des professionnels et des particuliers pour choisir son entreprises du bâtiment. Que ce soit du gros oeuvre à la plomberie toutes les entreprises sont répertoriées par secteur d'activité et par région géographique.
La notion de savoir-faire est extrêmement importante dans le monde du luxe. Lorsque l’on évoque les noms de Vuitton, Rolex, Cartier, Ferrari… nous savons immédiatement que ces produits font partie de l’élite, que ce sont des produits de haute qualité et exceptionnels. Quand nous nous offrons une montre Cartier, par exemple, nous avons une totale et absolue confiance dans le produit de la marque car ses produits sont fabriqués en France et la marque Cartier est reconnue pour détenir un savoir-faire exceptionnel et ancien.
Il faut se mettre à compter
Lorsqu'on baisse le prix de vente d'un produit, n'importe lequel, il se vend en plus grande quantité. L'essence est un exemple fédérateur de cette évidence et c'est aussi un produit essentiel pour nos déplacements, car sans déplacements pas d'activité possible. Donc, si le prix de l'essence baisse, il y a fort à parier que la consommation augmentera.
En Métropole, il a été constaté pendant l'été dernier auprès des loueurs de bateaux, scooters, etc. une très forte réduction de leur activité, uniquement liée au prix de l'essence. Une année catastrophe pour ces entreprises qui ne réalisent leur chiffre d'affaires qu'à cette période. Par conséquent, il y a eu une baisse des recettes des taxes du produit pétrolier, ce qui a eu pour effet une révision du prévisionnel des dépenses, car il y a de l'argent en moins dans les caisses et forcément il faut redéfinir les projets ou les marchés en cours...
L'intégralité de l'édito se trouve dans le Mémento. Abonnez-vous.
Le mac (manuel des acteurs de la communication) est un guide innovant, dynamique, regroupant les acteurs de la communication sérieux. Vous y retrouverez toutes les informations nécessaires pour faciliter vos recherches sur les agences de communication, les photographes, les imprimeurs, les lois en vigueur... Il est nécessaire aujourd'hui d'offrir aux professionnels un outil qui leur ressemble : efficace, sérieux et prestigieux ! Le mac est non seulement un outil très utile pour les professionnels, mais aussi et surtout est le meilleur moyen de promotion du secteur de la communication.
Retour à la réalité pour ce monde virtuel
La chute est rude. La crise que traverse le secteur financier mondial était-elle prévisible ? Les conséquences nous
prouvent que non, mais on a le sentiment que tout le monde se doutait de quelque chose sans vouloir, évidemment, que cela arrive.
La finance de nos jours se vit avec de l’argent virtuel, votre banque vous prête de l’argent qui elle-même l’a emprunté à une autre banque, qui à son tour l’a emprunté à une autre… il est fort à parier que certaines se sont vu prêter leur propre argent, un comble ! Les financiers (banques, organismes de crédits…) sont entrés, malgré eux, dans un système très lucratif mais forcément très risqué. Prêter de l’argent que l’on a pas, à des personnes peu solvables voilà la chute du système américain. Mais alors, pourquoi la France est-elle touchée ? Nous n’avons pas de pétrole, mais on a de l’argent. Dexia a frôlé la faillite, pas parce qu’elle faisait de mauvaises affaires - les affaires de Dexia sont bonnes - mais une seule a plombé immédiatement les comptes : celle concernant le prêt de 500 millions d’euros à Lehman Brothers entraînant une perte sèche. Le plus grave ce n’est pas la perte de ces millions d’euros mais celle de la confiance détenue par Dexia auprès des autres banques qui lui prêtaient de l’argent pour assurer son activité. Donc panique à bord !
Le système actuel, satisfaisant pour tout le monde, l’Etat Français y compris, est de créer de l’argent virtuel, un monde où les milliers de milliards d’euros ne sont que des chiffres et en réalité cet argent n’existe pas, car il vaut mieux créer de l’argent virtuel plutôt que de l’inflation. C’est comme votre compte sur Livret, vous pensez certainement que votre épargne est “tranquillement” en train de faire des petits…
La suite est dans le Mémento.
Est-ce le début des nouvelles taxes ?
Le Président de la République nous l'avait promis : "les taxes n'augmenteront pas !". C'est vrai, elles n'augmentent pas... elles se créent. Personne ne se doutait qu'il était envisageable de prendre la décision de créer de nouvelles taxes, même la gauche est totalement désappointée. Une petite partie de la droite est bien en colère et ne comprend pas, ou plus du tout, cette nouvelle politique consistant à faire un "coup à gauche", un "coup à droite". On ne sait plus quoi penser. Va-t-il y avoir d'autres nouvelles taxes ? Apparemment oui, car une de 5% devrait voir le jour concernant cette fois l'épargne salariale. A ce sujet, c'est comme le CNE (Contrat Nouvelle Embauche), tout a été entrepris auprès des chefs d'entreprises pour qu'ils incitent leurs salariés à opter pour cette épargne et au final ils se font taxer....
La suite est dans le Mémento.
Nous l'avions évoqué dans le Mémento 324, tout juste après le Conseil des Ministres tenu en Corse, pourquoi pas un Conseil des Ministres à la Réunion ? Quelques semaines plus tard Nicolas Sarkozy déclara qu'il en organiserait un dans l'Outre-Mer. Malgré l'expérience corse, qui ne fut pas excellente, et les avis défavorables de nombreux conseillers, il est difficile de changer le souhait du Président des Français. Et c'est tant mieux, car il s'organise pour le premier trimestre de l'année prochaine une réunion du Conseil des Ministres à l'île de La Réunion.
Un fait exceptionnel quand on sait l'importance que représente, non pas la réunion elle-même, mais plutôt l'organisation des déplacements de ses acteurs. Effectivement, vous avez déjà aperçu cette organisation lorsque qu'UN Ministre vient à La Réunion, alors imaginez le déplacement de 16 Ministres et 4 Secrétaires d'Etat en même temps ! Sans compter l'acteur principal le Président de la République. Sécurité, programme, confort… tout doit être parfait pour chacun des Ministres et ils n’en attendent pas moins. Donc, quels sont les problèmes envisageables ?
Vers la fin des privilèges
Le système de majoration de retraite des fonctionnaires d'Etat dans certains territoires d'Outre-Mer, instauré en 1952, sera modifié. En clair, il n'y aura plus de majoration pour les fonctionnaires prenant leur retraite dans l'Outre-Mer. Cette majoration de retraite, dite “indemnité temporaire de retraite” (ITR), varie entre 35% et 75% et était versée aux retraités titulaires d'une pension civile ou militaire de l'Etat résidant dans certaines collectivités d'outre-mer (La Réunion, Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Polynésie française et Wallis et Futuna). Alors, fini les installations pour cause d'indemnité car nous le savons il en existe un certain nombre se déclarant dans tel ou tel département d'outre-mer alors qu'en réalité ils vivent ailleurs...
Bien avant l’internet ou les nouvelles technologies, nous devons faire face à un problème de taille, et, non des moindres, le transport de marchandises et de personnes. Un vieux débat qui revient au devant de la scène dû à l’augmentation du prix du pétrole. Certains me diront : mais ce n’est pas un sujet d’actualité ! Il serait préférable de s’occuper en priorité de nouvelles techniques numériques, de favoriser la mobilisation, d’offrir la Télévision Numérique Terrestre (TNT)… sauf que tout développement économique, tout dynamisme économique passe en premier lieu par le transport, le mouvement. Et plus le réseau est fluide, plus l’économie a des chances de se développer facilement…
Tout le monde sait qu'en France il y a trop d'effectifs dans la fonction publique et surtout parmi les enseignants. Affirmer que si le gouvernement ne remplace qu'un poste sur deux pour diminuer l'effectif de l'enseignement ce serait une catastrophe pour l'avenir de nos jeunes que l'on retrouvera dans des classes à plus de 45 élèves. C'est dur à entendre de la part des élèves envoyés dans les rues par leur professeur car les professeurs le savent mieux que personne “le” pourquoi de ce sureffectif ! Arrêts maladie, absences injustifiées à répétitions, vacances prolongées, formation bidon… toutes les excuses sont bonnes pour ne pas aller à l'école, bel exemple. C'est même devenu une tradition et même pire, une obligation de soumission de la part des nouveaux professeurs, ceux qui voudraient en faire “trop”… Trop de quoi ? Trop de présence. Tous les parents connaissent aujourd'hui l'angoisse de la rentrée scolaire, sans parler de la fin scolaire. Est-ce que le professeur de mon enfant sera présent à la rentrée ? Dans combien de temps sera-t-il absent pour que je puisse gérer mon emploi du temps en fonction du sien ?
La Droite réunionnaise déplore l’attitude de Nassimah Dindar concernant son élection à la présidence du Département de la Réunion. Mais, franchement, la vraie question est : Messieurs n’était-ce pas là une stratégie courante lors de vos précédents mandats ? Vous êtes tombés dans votre propre piège et l’erreur monumentale que vous avez commise, cela malgré toutes vos expériences électorales, est d’avoir sous-estimé votre adversaire. Soyez “gentleman” en acceptant cette défaite et plutôt que de combattre Nassimah Dindar, faites amende honorable et battez-vous pour la Réunion et les Réunionnais aux côtés de la Présidente.
Passons aux choses plus sérieuses, La France est-elle ou va-t-elle subir une crise économique ? Nous entendons ici et là que notre pays va entrer dans une crise. François Fillon, puis Christine Lagarde, la Ministre de l’Economie, déclarent que “non”, “il y a des perspectives revues à la baisse - comme la croissance - mais pas de crise à l’horizon 2008”. La crise de la France est simple, elle est psychologique. Nous les Français, on aime déclarer que ça ne va pas...
Un énième projet de réforme est à l’étude actuellement. Il concerne la réforme de la Cour des Comptes et des Chambres Régionales des Comptes (CRC), un enjeu considérable parce qu’il concerne l’utilisation de 250 milliards d’euros et de 70% de l’investissement public. Dans ce projet, remis par Philippe Séguin au Président de la République début février, la suppression d’au moins la moitié des CRC est envisagée. Il se murmure même que cela pourrait aller jusqu’à la suppression des trois quarts. Les CRC ont pour principale mission le contrôle de la gestion des collectivités locales et assurent ainsi la fiabilité de l’utilisation de l’argent public des citoyens, que nous sommes, afin de nous rassurer sur une éventuelle mauvaise gestion et ainsi éviter tout dérapage extraordinaire. Elles fournissent aussi aux pouvoirs publics leur expertise budgétaire et jugent les comptes publics. Les Chambres Régionales des Comptes ont été créées en 1982, lors de la première phase de la décentralisation. Leurs membres ont le statut de magistrats. Le Premier Président de la Cour des comptes est aussi président du Conseil supérieur des CRC…
Les constructions en cours, telles que la route des Tamarins ou encore le Pôle Océan, chantier du centre-ville de Saint-Denis, ont besoin de ciment, d'agrégats, de béton... pour ériger les édifices. Problème : La Réunion est bientôt en pénurie ! Les entreprises du bâtiment comme Lafarge, Holcim ou encore SCPR ont besoin de trouver de nouveaux gisements, un seul est disponible mais personne, ni la mairie de Saint-Paul, ni la Région, ni même l'État n'osent autoriser ces entreprises afin qu'elles puissent extraire les matières premières nécessaires pour les chantiers en cours et surtout futurs. Quelles solutions auront ces entreprises face à cette incohérence politicienne ? Faire aboutir de grands projets sans pour autant autoriser l'extraction de matières premières pour leur réalisation. Mais le temps viendra où l'absurdité d'une telle situation sera de mise car importer des agrégats alors que la Réunion en a de disponibles immédiatement est le pire scénario envisageable...
Le rapport de la commission de Jacques ATTALI préconise la baisse significative des prix. Et, dans son rapport, la commission favorise la multiplication des implantations d'enseignes et propose de donner le pouvoir aux grandes surfaces de réaliser des ventes à perte. Les commerçants urbains ne voient pas d'un bon oeil le fait de donner cet avantage, car ils ne pourront pas suivre. Quelles peuvent être les conséquences d'une telle pratique concrètement ? Aujourd'hui, la majorité des fournisseurs des grandes surfaces sont déjà extrêmement fragilisés face au pouvoir suprême de la grande distribution qui adopte le plus souvent l'attitude “c'est ce prix-là ou rien !”. Et lorsque le fournisseur voit le tarif auquel la grande surface vend ces produits, il a de quoi se demander pourquoi son prix de vente est aussi bas à l'origine. Oh, bien sûr, il y a la manutention, la publicité... qu'il faut régler en plus pour certains fournisseurs, sans compter ceux qui ont carrément un salarié mis à disposition dans la grande surface pour prendre en charge les coûts de mise en rayon de son produit... et j'en passe.
Le groupe Caillé a l’intention ferme de racheter le groupe Dindar. Cela s’est fait lors d’une rencontre comme toutes les autres, sauf que la discussion entre Massoum Dindar et François Caillé a tourné à une proposition de participation de ce dernier dans le Groupe Dindar.
La famille Dindar avertie, en discute et, les “anciens” n’ayant plus les moyens d’investir pour la nouvelle génération, ont décidé, en grande partie, de céder leurs parts du groupe familial en faveur de Caillé. Ils ont besoin d’investir dans des projets immobiliers et le rachat de leurs parts tombe à point nommé car leur projet nécessite d’importants investissements.
Le Groupe Caillé déjà représentant exclusif des marques Peugeot, BMW... deviendra majoritaire dans le groupe Dindar et détiendra ainsi la représentation d’autres marques comme Opel, Fiat, Rover... Être majoritaire au sein du groupe Dindar est une condition impérative. Le Groupe Dindar inclut les enseignes telle que Dindar Confort et Dindar Informatique, deux enseignes n’ayant rien à voir avec l’automobile mais sont concernées dans cette vente. Ces deux autres activités pourraient être éventuellement cédées ultérieurement par le Groupe Caillé...
Le mac (manuel des acteurs de la communication) est un guide innovant, dynamique, regroupant les acteurs de la communication sérieux. Vous y retrouverez toutes les informations nécessaires pour faciliter vos recherches sur les agences de communication, les photographes, les imprimeurs, les lois en vigueur... Il est nécessaire aujourd'hui d'offrir aux professionnels un outil qui leur ressemble : efficace, sérieux et prestigieux ! Le mac est non seulement un outil très utile pour les professionnels, mais aussi et surtout est le meilleur moyen de promotion du secteur de la communication.
Les Créatives organisent la 7ème édition du concours des meilleures créations publicitaires des Dom-Tom et de l’océan Indien. Ce concours est réputé avec des prix très convoités. Si le but est de promouvoir et de valoriser le travail des agences publicitaires, le concours se transforme au fil des années par une compétition entre annonceurs.
Les agences publicitaires constatant l’effet positif, et surtout négatif pour les perdants, sur leur “budget”, certains préfèrent ne plus s’inscrire, en inventant toutes sortes de prétextes bien arrangés. Du coup, ce sont les annonceurs qui jouent le jeu du concours à leur place. Il n’y a qu’un pas pour constater que ce sera l’annonceur qui invitera son agence à la soirée de remise des prix.
Encore et toujours le “budget” qui paie, alors que cette soirée est conçue, certes, pour remettre des prix aux meilleurs mais surtout donner à l’agence de publicité un moyen de remercier son client de sa confiance en l’invitant dans une soirée qui est entièrement consacrée au marché de la publicité dont il est l’un des acteurs.
Certaines agences réunionnaises prennent beaucoup trop au sérieux ce concours convivial.
Je pense qu’il est nécessaire de revenir à un principe basique : amusons-nous ! Mon conseil est très simple, si vous n’aimez pas votre travail : arrêtez tout et tout de suite !
Avez-vous passé de bonnes vacances ?
Pendant que la majorité d'entre nous était en vacances, Bercy a planché sur un projet d'impôt minimum du revenu inspiré du modèle américain. Les vacances de Sarkozy avec les Présidents Bush en sont-elles pour quelque chose ? Rien n'est moins sûr ! Quoiqu'il en soit, pour de nombreuses personnes la rentrée est synonyme de calcul de leur imposition afin de dénicher la meilleure solution investissement/défiscalisation/rentabilité. Car si les Français n'aiment pas payer d'impôt, ils adorent défiscaliser en devenant propriétaire de quelque chose de concret, de visible. Des solutions de défiscalisation existent comme, par exemple, l'achat de logement neuf ou de matériel informatique... pour ce qui est du concret. Mais d'autres solutions tout aussi connues comme l'assurance vie ou les PEA... sont aussi de très bonnes solutions. Il existe pourtant une solution presque inconnue concernant directement les entreprises…
Un contrat de 435 millions d'euros
La France espère que la Polynésie Française retrouve «une stabilité politique qui lui est indispensable pour relever les défis du développement économique», selon un communiqué. Ce contrat, d'un montant de 435 millions d'euros, sera officialisé fin octobre, début novembre par Nicolas Sarkozy qui fera spécialement le déplacement. Le Président polynésien Gaston Tong Sang, élu en décembre 2006, bénéficie d'un climat de relative stabilité politique après l'élection de deux autonomistes investis par l'UMP aux législatives. Gaston Ton Sang a demandé que le Président de la République soit accompagné par une délégation de chefs d'entreprises et souhaite que la Polynésie soit la vitrine de la France dans le Pacifique. Ce contrat portant sur la période 2008-2012, et financé pour moitié par l'État, permettra la construction, entre autres, de 240 logements par an à partir de 2008...
C'est fini !
Enfin, voici le temps des élections terminé... du moins pour quelques mois d'ici la réactivation des campagnes pour les municipales. Notre Président s'est mis au travail et il veut du concret ! Cela fait plaisir de ressentir une telle énergie. Depuis son entrée à l'Elysée, il est vrai que Nicolas SARKOZY n'a pas chômé. S'il veut revaloriser le travail, c'est très bien parti. Les entrepreneurs sont conscients qu'il y a un virage qui se dessine dans le paysage social et économique de notre pays. Le Président affiche son ambition, et les décideurs le comprennent, car il parle comme s'il dirigeait une entreprise en voulant gérer la France de façon à ce qu'elle devienne plus productive et plus efficace. Ce sentiment de dynamisme rayonnant donne l'envie d'entreprendre et, enfin, nous avons un pays qui se réveille et se modernise...
Qui sont les perdants ?
La large victoire de Nicolas Sarkozy prouve que La France veut être plus performante, plus dynamique et que le travail soit revalorisé. La France a besoin de favoriser les entreprises pour créer de l'emploi. Si nous pensons savoir qui a voté pour Nicolas Sarkozy, il ne faut pas se tromper sur les électeurs de Ségolène Royale. Parmi eux, beaucoup ont voté « contre » Sarkozy et absolument pas « pour » Ségoléne Royale. Mais qui sont véritablement les électeurs de cette gauche ? Les fonctionnaires ? Les candidats à la Présidence de la République Française ont toujours des « pensées » très favorables pour les fonctionnaires représentant des millions de bulletins de vote. On pouvait croire, fut un temps, que face à leur mobilisation, aucune élection ne pouvait leur échapper. Ce temps est aujourd'hui révolu et la gloire du bulletin de vote de la fonction publique est terminée !...
La robotique le nouvel enjeu
Devenir propriétaire est le rêve de la majorité des Français. Une maison à soi, où l'on pourrait bien vivre, où l'on aurait l'esprit plus tranquille. Construire ou acheter, le but est de devenir propriétaire. Pourquoi cet engouement ? En général, constituer un patrimoine est le reflet d'une vie réussie, d'une vie de travail récompensé par les biens acquis et il n'y a pas meilleure acquisition que son habitation. C'est l'ultime but. Ce patrimoine sera transmis aux enfants afin qu'ils puissent commencer leur vie dans de meilleures conditions et ainsi leur donner la possibilité d'agrandir les propriétés familiales ou de les améliorer. D'autres, plus aventuriers, préfèrent la location, la sensation de liberté, le pouvoir de s'en aller quand bon leur semble, ne pas vouloir se fixer à un lieu, profiter de la vie avec le moins de contraintes possibles, sans attaches. Pourtant, ces deux personnages si différents ont un point commun. Que l'on soit propriétaire ou locataire, les taches ménagères sont les mêmes ! Personne ne peut y échapper. Le ménage, le repassage, passer l'aspirateur...
Aux urnes citoyens !
Le ministère de l'intérieur a annoncé que 44,5 millions de français étaient inscrits et sont appelés à voter pour l'élection de notre futur Président de la République. Cela équivaut à une augmentation globale de 4,2% d'inscrits soit plus de 1.785.082 électeurs supplémentaires par rapport à la liste électorale établie au 1er Mars 2006. Mayotte se distingue avec 23% d'augmentation, c'est la plus grande hausse d'inscriptions enregistrée. On peut affirmer que ces nouveaux inscrits sont des personnes voulant à coup sûr s'exprimer en votant et qu'il y aura parmi eux très peu d'abstentions. Nouveaux inscrits, cela veut dire aussi novice en matière d'élection et je me demande si les sondages n'influenceraient pas le vote de ce nouvel ensemble particulier d'électeurs. Les sondages... un grand et éternel sujet de débat. Pour les produits, les comportements, le marketing... ils sont absolument indispensables et aident à la réflexion et à l'amélioration d'un produit ou d'un service. Concernant une élection, ils ne signifient plus du tout la même chose...
Des milliards de promesses
La campagne pour la présidence de la République Française bat son plein. Madame Ségolène Royal et Monsieur Nicolas Sarkozy font des promesses se chiffrant en milliards. Mais peut-on croire que les Français sont à ce point crédules ? Les candidats promettent monts et merveilles... s'ils sont élus. Entre réductions d'impôts, création de multiples budgets spécifiques selon les branches d'activités... on parle de dizaine de milliards d'euros pour améliorer la vie quotidienne des français. Question : Pourquoi est-il soudain possible de trouver autant d'argent dans les caisses de l'Etat ? Il ne me semble pas avoir entendu un candidat annoncer que telle ou telle taxe va augmenter... sauf Jean-Marie Lepen qui a déclaré que les cotisations sociales seront plus chères pour les étrangers en situation régulière travaillant en France que pour les français. Les promesses, c'est bien, il en faut car elles font partie d'un programme, mais concrètement, où en est-on ? Pouvons-nous croire, un seul instant, que cet argent, non budgété aujourd'hui, sera disponible après l'élection...
Qu'est-ce qui a sauvé la Réunion en 2006 ?
Le chikungunya a plombé le moral et l'image de la Réunion. Mais pas son dynamisme économique. Malgré un bilan touristique médiocre pour 2006, La Réunion n'est pourtant pas en grandes difficultés. L'économie touristique réunionnaise a toujours été représentée comme un secteur clé. Pourtant, force est de constater que le département, dans son ensemble, ne subit pas de crise économique. Alors, la question est évidente : Qu'est-ce qui a sauvé la Réunion ? Il est difficile de croire que seuls les 60 millions d'euros accordés par l'Etat vers les entreprises du tourisme ont évité une crise. Comment la Réunion s'en sort ?...
L’éthanol bientôt disponible ?
Rouler au bio-carburant est possible à la Réunion. Dans le secteur énergétique, cela peut ressembler à une bombe car, dans très peu de temps, peut-être d'ici la fin de l'année 2007, vous pourrez acheter dans les grandes surfaces vos granulés d'éthanol et “fabriquer” votre propre carburant. Le principe est simple, il suffit de le mélanger avec de l'eau.
C'est extraordinaire ! Un bémol : cela ne fonctionne pas avec les moteurs diésel, mais nous n’en sommes qu'aux prémisses et, quand l'engouement sera réel, les stations-service s'adapteront, contraintes et forcées, à cette nouvelle demande. On affirme qu'il ne reste plus que 60 ans avant l’épuisement des ressources en pétrole...
La notion de savoir-faire est extrêmement importante dans le monde du luxe. Lorsque l’on évoque les noms de Vuitton, Rolex, Cartier, Ferrari… nous savons immédiatement que ces produits font partie de l’élite, que ce sont des produits de haute qualité et exceptionnels. Quand nous nous offrons une montre Cartier, par exemple, nous avons une totale et absolue confiance dans le produit de la marque car ses produits sont fabriqués en France et la marque Cartier est reconnue pour détenir un savoir-faire exceptionnel et ancien.
Téléphoner à moindre coût est désormais possible grâce à internet. Nous commençons à voir fleurir des entreprises proposant des tarifs très attractifs. Souvenez-vous, il n'y a pas si longtemps, une dizaine d'années, la minute de communication téléphonique vers la Métropole coûtait plus de 1,5 euros (10 francs), sans compter l'abonnement. Aujourd'hui, vous pouvez appeler gratuitement, sans aucune limite de temps et n'importe où dans le monde (uniquement vers des téléphones fixes) grâce à “skype”. Skype est le précurseur de la communication gratuite sur la “toile”.
Ce service reste gratuit jusqu'à la fin de l'année 2006 et, à partir du 1er janvier 2007, il faudra s'abonner pour 10 euros par mois pour continuer de téléphoner. Et même, si quelquefois la communication se coupe ou que le son n'est pas de bonne qualité, ce sont des défauts que l'on pardonne facilement. Pour plus de confort, et afin d'assurer un service maximal, des prestataires fleurissent et proposent des tarifs très attractifs pour l'installation d'équipements professionnels.
Le chikungunya vous attend
La destination de la Réunion n'est pas rassurante. Le chikungunya est toujours présent et tous les indicateurs laissent à penser, selon François Baroin, Ministre de l'Outre-Mer, que l'épidémie va reprendre comme l'année dernière. Il est clair que, maintenant, en termes de communication, le ministère sait qu'il vaut mieux prévoir le pire.
Nous sommes, donc, condamnés à « attraper » cette maladie. D'abord, parce qu'actuellement il n'y a pas assez de malades pour réaliser le vaccin et, d'autre part, il sera presque impossible d'y réchapper car les spécialistes prévoient que plus de 75% de la population sera contaminée à « terme »...
Un conseil, préparez vos lotions anti-moustiques, la bagarre va être rude !
Très bien joué !
Il aura suffit que le Président du Conseil Régional déclare que la Région propose de contribuer, en partie, au financement de la route du littoral et de rappeler au gouvernement l'électorat important que constitue l'île de la Réunion en vues des futures élections, pour accélérer de manière exceptionnelle la décision de l'Etat sur le projet B1 (Réalisation d'une nouvelle voie composée de digues en mer et d'un tunnel). Sur les quatre projets, “B1” est le moins coûteux et le plus rapide à réaliser.
Cet homme est extraordinaire, alors que certains le voyaient mourant, il a fait aboutir le projet de construction de la route du littoral en quelques jours. Il a réussi à décrocher un nouveau chantier exceptionnel pour la Réunion d'environ 930 millions d'euros..
Les rendez-vous ratés !
- Premier rendez-vous raté d'Oscar Témaru, Président Polynésien indépendantiste avec Jacques Chirac. Selon les chargés de communication de la présidence de la Polynésie, “ce faux bond est dû à un très malheureux problème de communication”. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'Oscar Témaru avait tout fait pourtant pour obtenir ce rendez-vous en tête à tête avec le Président Français, allant jusqu'à menacer...
- Deuxième rendez-vous raté, celui de Marine Le Pen ....
- Enfin, le dernier rendez-vous raté, celui des vacances à la Réunion. Aucun homme politique n'est venu passer ses vacances à la Réunion. Jacques Chirac avait pourtant l'habitude d'y séjourner depuis plusieurs années. Est-ce l'effet du chikungunia ? ...
Le juge et l’entreprise, amis ou ennemis ?
On dit souvent que le Juge est “le fossoyeur des entreprises”. On lui reproche de ne pas bien connaître le monde de l’entreprise et que, bien souvent, il ne veut pas faire d’effort pour sauver une société en difficulté, préférant le redressement judiciare ou la liquidation.
Nous avons rencontré le Président du Tribunal de Grande Instance de la Réunion, Pierre Lavigne, qui nous affirme, qu’aujourd’hui, une nouvelle procédure, régie par les dispositions du code du commerce, peut sauver les entreprises en difficultés passagères c’est la procédure de conciliation...
Immigration = racisme ?
Savez-vous où se trouve la plus grande maternité de France ?
A Mayotte ! Oui, Mayotte atteint le taux record annuel de naissances de notre nation. Pourquoi ? Cette petite terre est proche de l'archipel des Comores, où viennent de se dérouler les élections Présidentielles, et subit l'assaut, depuis de nombreuses années, de futures mamans préférant braver tous les interdits pour accoucher dans de bonnes conditions et profiter des avantages français.
Il existe deux façons de combattre l'immigration clandestine :
La première, en allouant des budgets français ou européens aux pays les plus défavorisés afin qu'ils puissent se moderniser et, dans cette optique, avoir l'espoir de faire baisser l'exode de leur population, comme, par exemple, pour les Comores où la France subventionne en totalité la construction d’un hôpital...
Quel avenir pour les syndicats ?
Les syndicats sont-ils encore aussi puissants en France que l'on pourrait le penser ? Avec une baisse constante du nombre d'adhérents depuis plus de 20 ans comme, par exemple, la CGT qui est passée de 2,377 millions d’adhérents en 1975 à environ 700.000 en 2005, les syndicats rentrent petit à petit dans une crise.
Pourquoi ? Cela peut s'expliquer, qu'aujourd'hui, les PME sont devenues les premiers employeurs en France… Alors, comment font les syndicats pour faire adhérer ? Eh bien ! Ils font de la publicité. Comment ? Vous n'avez jamais vu une publicité d'un syndicat ? Mais si, quand vous regardez la télé, vous voyez des banderoles, des tee-shirts, des autocollants, des casquettes... tout ce qui faut pour que l'on sache qui défile et qui organise la manifestation. Et les cortèges familliaux doivent être strictement respectés car les syndicats ne se mélangent pas !...
Français de seconde zone !
Le constat est lourd : le chikungunya comptabilise plus de décès (directs ou indirects) à la Réunion que la grippe aviaire dans le monde entier.
Face à ce constat accablant, le gouvernement démontre, au travers de sa gestion de la crise, une inaptitude à soutenir les Français de l'île de la Réunion pour résoudre rapidement cette situation sanitaire majeure connue de longue date…
…Avec le temps, la visite de Dominique de Villepin ressemble plus à un plan de communication qu'à un plan de sauvetage. Son but était, très probablement, de “calmer” la presse nationale accusant le gouvernement de considérer La Réunion comme une France de seconde zone.
La seule chose à faire est de nous prouver le contraire : rapidement et concrètement !
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