Statistiques lacunaires, manque de prévention, moyens d'action mal ciblés : la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française doivent faire mieux dans la lutte contre les violences faites aux femmes, estime la Cour des comptes dans un rapport paru. Dans ces deux collectivités, le volet répressif et le suivi des auteurs de violences conjugales reviennent à l'État, mais la prise en charge des victimes est de leur compétence. Or, "la prise de conscience par les pouvoirs politiques locaux est relativement récente", note la Cour, qui pointe notamment le manque de fiabilité des statistiques relatives aux violences conjugales sur les deux territoires...
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